Les Objectifs Du Gatt

se sont longtemps opposés à une proposition provenant du G33, un groupe de 46 pays « en développement », dont l'objectif annoncé visait à leur permettre de soutenir les paysans et leur agriculture, réduire les risques de famine et atteindre leurs objectifs du millénaire en termes d'alimentation. Dans le but d'assurer leur « sécurité alimentaire », ces pays, l'Inde en tête, exigeaient de pouvoir mettre en œuvre des politiques d'achats de stocks à prix administrés, de subventions agricoles et de mesures

point de vue de ceux qui détiennent ces capitaux, la possibilité de pouvoir les placer partout dans le monde permet de diversifier leurs risques sur plusieurs types de pays. La mondialisation financière est bénéfique puisqu’elle va satisfaire les objectifs à la fois des emprunteurs et préteurs, ce qui devrait déboucher sur plus de croissance, de profit… Selon cette théorie, on a un intérêt très important à la développer et notamment du côté de ceux qui détiennent les capitaux (entreprises, banques

de certains pays et mise en place de politique de rigueur dans certains pays (Grèce récemment). Crée en 44 à Breton Wood. Banque Mondiale : Finance le développement des pays en voie de développement, pour objectif : tous le monde participe au commerce international. OMC : Succède au GATT en 95. Principe : Close de la nation la plus favorisée CAD si un pays accorde un avantage à un pays il est obligé de l’accorder à l’ensemble de l’OMC. Pour accroître les échanges. La règle de réciprocité

commerce international Le 30 octobre 1947, douze pays industrialisés et onze PED signent un accord général sur les tarifs douaniers et le commerce (GATT : General Agreement on Tarif and Trade). Il s’agit d’assurer les principes du libre-échange par la réduction des tarifs douaniers et autres formes décourageant les échanges. Les principes fondamentaux du GATT encouragent les pays et plus spécifiquement les PED à choisir le libre-échange. En effet le principe de la non-discrimination entre partenaires

| | | Durée : 60 h |OBJECTIF OPERATIONNEL DE PREMIER NIVEAU | |DE COMPORTEMENT

moyens pour réaliser ses objectifs politiques, sécuritaires, économiques, sociaux, ... Pour concrétiser sa prétention, il a mis sur pieds des mécanismes de tout genre, reposant sur les finances publiques : la fiscalité, la non fiscalité, la parafiscalité et plusieurs autres systèmes financiers pourvoyeurs des recettes publiques à travers les budgets. Par là, plusieurs théories peuvent être considérées comme source d'inspiration afin d'atteindre avec succès ses objectifs. Gilbert PILLOT définit le

pour lutter contre la pauvreté - aides - financement - conseils ( 1 – L’EVOLUTION DU COMMERCE INTERNATIONAL 27/01/10 Le cadre institutionnel des échanges internationaux (suite) Les différentes organisations internationales Les accords du GATT – 30 octobre 1947 - 23 pays signataires Libéralisation des échanges et suppression progressive des barrières douanières Réduction des restrictions quantitatives ou qualitatives aux échanges Principe de non-discrimination et de réciprocité : - Clause

Balance commerciale, des capitaux, des paiements - Balance des transactions courantes - FAB, CAF - CNUCED - Coefficient d’ouverture sur l’extérieur, coefficient de dépendance - Compétitivité - Effets prix, effets volume - Firmes Multinationales - FMI - GATT - Investissements directs, investissements de portefeuille - List F. - NPI - Paradoxe de Leontieff - Pôles de compétitivité - OMC - Position Monétaire Extérieure - Solde commercial - Taux de couverture - Théorème d’Heckscher-Ohlin-Samuelson - Théorème

chaque pays d’adopter une politique monétaire qui maintient un taux de change de sa monnaie avec une valeur fixe (plus ou moins 1%) en termes d’or. 5- OMC Aujourd’hui 153 pays membres. Représente 90% du commerce international. Anciennement le GATT. Arrive après l’Uruguay round, qui est un cycle de 8 ans durant lequel les pays n’arrivent pas à trouver d’accord. Etape d’un cycle : 1- Fixation du programme de négociation 2- Négociation pour trouver un accord (1 pays = 1 voix) 3-

préoccupations sont reconnues dans la CDB comme légitimes et interdépendantes dans le cadre plus vaste du développement durable. La Convention traite de la biodiversité à l’échelle des composantes génétiques, des espèces et de l’écosystème. Ses trois grands objectifs sont « la conservation de la diversité biologique, l’utilisation durable de ses éléments et le partage juste et équitable des avantages découlant de l’exploitation des ressources génétiques ». La Convention reconnaît que les collectivités autochtones