Les Mots Disent Ils Les Choses

Scène 1 : Alceste reproche à Philinte de soutenir les défauts du genre humain. Le sujet de la dispute entre les deux hommes est le genre humain. Philinte se défend en disant qu'il faut vivre avec son temps, et qu'un homme seul ne peut pas corriger les choses. Philinte prend position en défendant le genre humain, contrairement à Alceste qui le blâme. Les exemples précis employés par Philinte sont les comparaisons avec les animaux (rage des loups, carnage des vautours...). Alceste apparaît comme ridicule

humain ? Celui-ci est-il réductible à un simple outil de communication ? Si tel était le cas, le langage ne serait qu'un moyen d'extérioriser nos pensées, si bien que celles-ci préexisteraient à l'expression. Pourtant, pourrions-nous penser sans les mots ? On s'interrogera ici sur le lien étroit existant entre langage et pensée. Ceci nous amènera aussi à nous demander s'il est possible d'envisager de la pensée intraduisible. Dans ce cas, qu'en est-il des pouvoirs du langage ? N'est-il pas limité et

laisser le lecteur sur la crête d’un savoir ou d’une méditation. Le roman s’est développé au rythme du monde, dans la frénésie du réalisme qui l’oblige à refléter nos préoccupations. La fable connaît un tout autre rythme. Les événements de la fable disent une chose et en sous-entendent bien d’autres. Tout comme l’attaque d’un épervier par un autre sous-entendait l’attaque de l’oasis. Curieux roman. Porte-t-il bien son titre? Je ne sais pas. Il me semble que le personnage de l’Alchimiste, bien qu’il

qui ne relèvent pas toujours de la sagesse. «je le pense seulement à voix basse, je ne le dit pas tout haut, dans mon fort intérieur je dis toutes sortes de choses interdites y compris des gros mots comme merde et putain et bon Dieu, les petits amis de ma mère parlent souvent comme ça devant moi ( ce que j’apprécie),ils disent des gros mots et critiquent le gouvernement et fument des cigarettes et appellent maman Krissy au lieu de Kristina et ça ne les dérange pas le moins du monde qu’elle est une

Il y a tant d’années que je vis ; j’aurai aimé mourir il y a mille ans, quand le poète pointait son œil sur le cours de la vie, quand elle s’éternisait sous les pinceaux de l’Artiste. Après tout ce temps il reste si peu de choses, si peu de saveurs à désirer ; que les saisons passent vite, je ne vois plus rien, rien que des couloirs machiavéliques et dantesques. Et je me souviens de ces paroles, trainantes et matérialistes sur l’avenir du monde, sa prophétie du capitalisme et de ce vent du changement

Devoir 2F (15 %) Première partie [   /70 points] Mise en situation Aux funérailles de sa grand-mère, une jeune fille entend les propos de la parenté, qui est fortement touchée par le décès. Les uns disent que la mort est une libération et que l’âme de la grand-mère ira rejoindre celles des personnes décédées, dans une sorte de paradis où les âmes continuent d’exister pour l’éternité, sans corps pour troubler la sérénité de leurs pensées. Ainsi, la grand-mère pourra rejoindre les gens qu’elle

mépris de toute raison, la folie. Il faut donc distinguer une conduite sage, du "sage". Il est bien facile de prétendre que les sages, cela n'existe pas ; mais on sait bien ce que peut représenter une conduite droite et intègre, car nos remors nous disent bien souvent qu'en telle occasion, nous aurions pu agir avec plus de sagesse et moins d'emportement ou de précipitation. Nous voyons autour de nous, dans la haine et la violence, combien la sagesse fait trop souvent défaut aux hommes. Nous savons

------------------------------------------------- Éthique a l’usage de mon fils Chapitre 3. Fais ce que voudras Ordres et habitudes ne suffisent pas, et les caprices n’y peuvent rien La liberté, c’est pouvoir dire «oui» ou «non »; je fais telle chose ou je ne la fais pas, quoi qu’en disent mes chefs ou les autres; cela me convient et je le veux, cela ne me convient pas et donc je ne le veux pas. La liberté c’est décider, mais aussi – ne l’oublie pas – se rendre compte qu’on décide. La réponse a la question «pourquoi vais-je faire cela

sont vos points forts ? 4. Qu’est-ce qui vous motive à venir travailler chez nous ? 5. Où vous voyez-vous dans cinq ans ? Et dans 10 ? 6. Pourquoi voulez-vous quitter votre employeur ? 7. Qu’avez-vous à offrir de plus qu’un autre ? 8. Citez trois choses que votre manager précédent désirerait modifier chez vous. 9. Etes-vous disposé à déménager ? 10. Etes-vous prêt à voyager ? 11. De quelle réalisation êtes-vous le plus fier ? 12. Expliquez-moi votre plus grosse erreur. 13. Quel est votre job de rêve

cette époque donc Moliere insinu ici que les médecins ne savaient point parler Latin mais sortaient des mots inventé comme ici. "Voila un bras que je me ferais couper tout à l'heure, si j'etais vous" (ligne 74) "Vous avez là un oeil droit que je me ferais crever, si j'etais a votre place" (ligne 79). Moliere veut montrer par ces conseilles du medecins que la médecine fait toute sortes de choses inutiles qui ne serviront probablement pas a guérire la maladie. Avec des justifications assez anormales