Les Moralistes Du Xviieme Siecle

Valdenaire 1ère ES 2 Alexy Dm de Français Faire le commentaire littéraire du texte de Jean de La Bruyère extrait de l’ouvrage: Les Caractères. Au XVIIème siècle, le moraliste Jean de La Bruyère est un auteur à la mode. Il a su se faire connaître par son unique ouvrage: Les Caractères publié en 1688, le principe même du mouvement actuel: le classicisme. Ce texte fait la description d’un personnage nommé Iphis; comment l’auteur parvient-il à nous donner une image amusante des défauts

des romans fleuves et baroques et fait de passion amoureuse et de ses conséquences, le ressort principal de l'intrigue romanesque tout en faisant une analyse psychologique des personnages. Les colorations de ce roman sont classiques et l'aspect moraliste est novateur pour cette époque. L'action prend place sur le fond historique de la cour d'Henri II où l'activité première est l'activité galante. Dans cet extrait du 1er tome du roman, Mme de Lafayette nous instruit sur l'éducation partuculière de

Commentaire comparé sur Dom Juan de Molière Acte I scènes 1 et 2 Jean-Baptiste Poquelin, dit Molière est celui qui a marqué l’histoire du théâtre et de la comédie française. Comédien, dramaturge et grand auteur du XVIIème siècle, il a peint les vices de ses contemporains et les plaies de la société de son temps à travers ses nombreuses pièces. L’une d’elles, Dom Juan , est représentée pour la première fois le 15 février 1665, une pièce dans laquelle l’auteur aborde le libertinage et

XVIe SIECLE LES PRINCIPAUX MOUVEMENTS LITTERAIRES Par J.E. Gadenne (www.lettres.net) (page 1/2) DATES (environ) PRINCIPES et CARACTÉRISTIQUES XVIIe SIECLE XVIIe SIECLE XVIIIe SIECLE XIXe SIECLE XIXe SIECLE LA PLEIADE Courant poétique formé par un groupe de sept poètes. Nom emprunté à une constellation de sept étoiles 1549-1560 - Création d’une grande poésie en langue française qui puisse rivaliser avec la poésie grecque et latine - Admiration pour l'Antiquité et pour l’Italie (en

XVIe SIECLE XVIIe SIECLE XVIIe SIECLE XVIIIe SIECLE XIXe SIECLE XIXe SIECLE LA PLEIADE LE BAROQUE LE CLASSICISME LES LUMIERES LE ROMANTISME LE PARNASSE Par J.E. Gadenne (www.lettres.net) (page 1/2) Courant poétique formé par un groupe de sept poètes. Nom emprunté à une constellation de sept étoiles Conception artistique née dés la fin du XVIème siècle. Le mot vient du portugais barroco “perle irrégulière”. Idéal esthétique et humain représenté

A travers ces pages, l’auteur tente de donner une sorte de photographie des habitudes culturelles dans les milieux populaires des XVIIe et XVIIIe siècles. Les ressources n’étant pas nombreuses et l’oralité étant encore très présente durant cette époque, l’historien n’a pu nous rendre qu’une image restant floue. Néanmoins, certains écrits sont parvenus jusqu’à nous, permettant de mettre à jour une littérature souvent restée dans l’ombre. Il existe effectivement une ville où les livres bleus ont trouvé

XVIe SIECLE LES PRINCIPAUX MOUVEMENTS LITTERAIRES XVIIe SIECLE XVIIe SIECLE XVIIIe SIECLE XIXe SIECLE XIXe SIECLE LA PLEIADE Courant poétique formé par un groupe de sept poètes. Nom emprunté à une constellation de sept étoiles 1550-1560 - renouvellement de la poésie française. -Admiration pour l'Antiquité. - Volonté de redonner à la langue française des chefs-d’oeuvre dignes des Grecs et des Latins. - Affirmation de la mission du poète, serviteur de la Beauté. -lyrisme; -sentiment

d’aimable, et dès qu’un beau visage me le demande, si j’en avais dix mille, je les donnerais tous ». L’amour a sur lui un pouvoir fatal et inévitable, que traduisent les mots « ravit » , « cède », « entraîne », ou encore « charmer », qui a au XVIIème siècle un sens fort et veut dire « envoûter », « ensorceler ». Le libertin a besoin de cet envoûtement. Paradoxalement si le séducteur est actif et dominateur lorsqu’il attaque ses proies, il est passif dans le désir. III-Art de l’amour, art de

l’on promène le long d’un chemin ». C’est ainsi que l’on peut concevoir la littérature, un reflet de l’humanité et du monde qui l’entoure. En effet, à travers les siècles, plusieurs auteurs ont publié des chefs-d’œuvre dépeignant avec minutie les réalités de leur société contemporaine. C’est notamment le cas des romanciers du XIXème siècle, adhérant aux mouvements réaliste et naturaliste, qui décrivent à travers leurs ouvrages, de manière scientifique et rigoureuse, la vie à leur époque. Ainsi, Emile

la frontière qui les sépare est si mince, si perméable qu’ils fondent l’un dans l’autre. Dans ce sens, La Rochefoucauld précise dans sa onzième maxime écartée : « la fin du bien est un mal ; la fin du mal est un bien. » Au-delà du pessimisme du moraliste janséniste qui réduit le bien à un paraître de la nature humaine, le parallélisme qui structure la maxime établit une égalité entre ses deux valeurs antithétiques qui ont paradoxalement une seule « fin », une seule finalité : le bien individuel ou