Les Immeubles Haussmannien

Paris. S6 Paris, début XIXème + les grands travaux d’Haussmann Fiche : Vrai ou Faux + image immeuble Haussmann Paris au XIXème siècle Napoléon III décide d’aérer la ville pour mieux y circuler, la rendre plus propre et l’embellir. C’est le préfet Haussmann qui est chargé des aménagements. Il détruit des quartiers entiers et construit de longs et larges boulevards. Il fait fabriquer de beaux immeubles avec des cours intérieures. S7 Paris, ville lumière + le 1er métro On construit la Tour Eiffel

sollicite l’aide du préfet Haussmann. Ce préfet met donc en œuvre un projet colossal pour rénover la capitale française. Quelles on été les rénovations de Paris durant le second empire ? Pour répondre a cette questions le Paris d’avant les travaux haussmanniens vous sera présenté dans un premier temps puis dans un second temps les transformations effectuées. I-Le Paris d’avant les transformations : A-Un Paris insalubre : Au milieu du XIXème siècle

sont remplies de bourgeois, qui ne regardent pas directement le spectateur. Les hommes portent tous des chapeaux haut-de-forme ce qui montre qu’ils appartiennent à la bourgeoisie. Toutes les rues se ressemblent, tout comme les bâtiments dits « Haussmanniens » et les personnes. Les parisiens sont tous vêtus d’habits sombres. Il n’y a aucune couleur vive dans le tableau. b. Interprétation Caillebotte peint une vision triste et grise de Paris. A travers les expressions des personnages, on ressent

reflets de la pluie sur le trottoir et les pavés du quartier de l'Europe qui est représenté. Notons également l’abondance de formes géométriques, rectangles et triangles plus particulièrement notamment au niveau des parapluies, des pavés et des immeubles. >Émile Zola, qui avait jusque là émit des critiques très sévères sur le travail de Caillebotte, écrivit à propos de ce tableau : « Enfin, je nommerai M. Caillebotte, un jeune peintre du plus beau courage et qui ne recule pas devant les sujets

partie comme une ville médiévale : • Le centre de Paris est très congestionné, il est pauvre et dangereux: Paris est une ville malade • Les bâtiments sont trop hauts par rapport à la largeur des rues : pas de soleil et pas de lumière; d'où des immeubles humides et insalubres • De nombreux "bidonvilles" parsèment Paris : Ménilmontant, la Petite Pologne (sud de la Plaine Monceau) : des baraques et des masures, des ruelles recouvertes de boue et de fumier, • L’île de la Cité est particulièrement

considérable. Cet acte, connu sous le nom de commission Siméon, a été occulté des chroniques parisiennes. Notre invité Nicolas Chaudun est le premier à utiliser ce document. Cette prise en compte l’amène à contester à Haussmann la paternité de la ville haussmannienne ! En d’autres termes, à considérer Haussmann avant tout comme un parfait exécutant. Une crise urbaine Les grands travaux d’Haussmann sont nés de la crise urbaine et pas seulement d’une volonté abstraite de grandeur. La crise, de nature structurelle

nord-ouest, en prise directe sur le quai, s’élève le bâtiment « Branly ». Avec son mur végétal conçu par Patrick Blanc, ce bâtiment principalement administratif, se dresse sur cinq niveaux Sa façade, dans le prolongement direct de l’immeuble Haussmannien contre lequel il est appuyé, se courbe et s’affine pour s’effacer devant la palissade de verre protégeant le jardin. Côté cour, la façade vitrée est couverte de brise-soleil mobiles coulissant sur des arêtes de couleur orange. Le bâtiment Auvent

de Paris Gigantesque entreprise totalitaire de modernisation de la capitale - Paris Haussmannien habille Paris Participe à son atmosphère, lui donne une empreinte comme les canaux de Venise, les bossages de Florence, les volutes de Prague…. Par la même, les quartiers qui sont exsangues de la bêche Haussmannienne deviennent pittoresques : Montmartre, Le Marais… La ville avant Haussmann Le chantier haussmannien n’est qu’une continuité Paris en urbanisme est ce que l’on appelle une ville spontanée

suivants : au premier plan, il y a les deux raboteurs alors que le troisième ouvrier est exclu au deuxième plan à gauche de la toile ; au dernier plan, on voit le fond de la pièce avec son balcon qui nous laisse apercevoir la rue et les immeubles parisiens (haussmanniens). Le peintre a volontairement laisser un espace vide au centre de l’œuvre accentué par la lumière qui souligne la séparation des ouvriers. - Outils / Techniques utilisé(e)s : Le peintre a utilisé la peinture à l’huile pour avoir

(1700-1760) Le style Louis XVI (1760-1790) L'immeuble révolution (1790-1800) Le style Empire (1800-1815) Le style restauration (1815-1830) Le style Louis-Philippe (1830-1850) Le style Haussmannien (1850-1870) L'immeuble Post-Haussmannien (1870-1895) Derniers feux Haussmanniens (1895-1914) L'Art Nouveau (1895-1914) De L'Art Nouveau à l'Art Déco Le style Art Déco (1920-1930) Le style Art Déco, précurseur des années 30 Les années 30 (1930-1939) L'Habitat social