Les Immeubles Haussmannien

arriver au bout des surprises qu’elle m’offre. Mes yeux ne cessent de s’émerveiller de ce qu’ils voient. Je marche au hasard depuis la gare, sans penser à rien, l’esprit libre, simplement ébloui par les façades des splendides et imposant immeubles haussmanniens, les étalages et les boutiques qui se déversent sur les trottoirs. Souvent, les odeurs provenant d’une petite brasserie guident mes pas. Elles chatouillent mes narines et lorsque je rentre dans mon appartement, elles sont toujours présentent

Monet a choisit de reproduire une scène rurale parisienne. Le tableau représente un boulevard réputé et chic de Paris : le Boulevard des Capucines. On y observe la foule parisienne grouillant sur la neige des trottoirs, aux pieds des immeubles Haussmanniens. On peut imaginer que certains se retrouvent à la terrasse d’un café que l’on pense apercevoir à la gauche du tableau. On remarque que le peintre se situe au dessus de la scène : il a donc un point de vue surélevé par rapport aux passants

Préfecture et l'Arc de Triomphe, cette allée possède une prestance incontestable de par ses nombreux magasins chics, ses immeubles aux toits d'ardoise, ses façades décorées de sculptures qui rappellent le style des immeubles parisiens. Longue et droite, cette allée, tout comme la rue de la Loge, est l'un des axes les plus empruntés de Montpellier et qui est caractéristique du style Haussmannien de la fin du XIXe siècle. Ses 14 mètres de largeur traverse le centre de la ville et vous conduira au point le plus

de nombreux soulévelement quand à la conservation d'immeubles qui sans étres des monuments, sont des témoignages du passé de Paris. Certain ont reproché à Napoléon III de faire disparaitre le "Paris médiéval" ( travaux de Hausmann --> paysage Haussmannien ) travaux pourtant nécessaire à l'hygiène ( égouts ) et à la circulation des hommes. B) UN PATRIMOINE VARIE, DES USAGES MULTIPLES. -Identité française, identités Parisiennes XIXe et début XXe --> volontée de préserver le patrimoine

d’urbanisations. Le centre de la ville est très congestionné, il est pauvre et dangereux. Les problèmes d’hygiènes sont également très présent et liés à plusieurs facteurs : l’inexistence de réseau d’égouts et d’adduction d’eau, l’insalubrité des immeubles humides qui s’entassent dans des rues trop étroites, les ruelles parsemées de boue, de fumier et d’eau croupie, les bidonvilles qui parsèment la ville, les quartiers qui sont surpeuplés. Tous ceci favorise les épidémies comme celle du choléra qui

parties bien distinctes, la première étant celle dont les commerces donnent sur l’extérieur, la deuxième étant celle à laquelle on va s’intéresser, qui est couverte et qui se greffe entre les interstices laissés vacants par les immeubles qui l’entour. Ces immeubles sont des immeubles de bureaux ou d’habitations qui conservent cependant leurs entrées indépendantes. Il s’encastre donc dans l’îlot défini par la rue Gallieni où se trouvent trois entrées, la rue le Corbusier, où l’on trouve aussi trois entrées

au niveau de l'architecture et l'urbanisme s'observe entre l'Est et l'Ouest de Paris. Les prix de l’immobilier explosent à Paris…Acheter un logement à Paris est devenu impossible pour la plupart des Français…7500 euros le m² en moyenne les immeubles Haussmanniens s'opposent aux grands ensembles.…Paris, qui ne compte déjà plus que 5% d’ouvriers, est désormais aussi inaccessible pour les classes moyennes sans patrimoine, notamment les jeunes… De plus, au XIXe siècle, quand les usines se sont concentrés

l’espace et l’action L’histoire se déroule à Paris durant le Second Empire et la restauration Haussmannienne de la ville. Le temps est important car c’est grâce aux travaux qu’Aristide Saccard s’est enrichi : lorsque Aristide s’est abbatu sur Paris, son frère Eugène Rougon lui a trouvé une place a l’Hôtel de ville et donc a regarder les projets du baron Haussmann. Avec sa fortune, il achète à bas prix des immeubles entiers car ils seront rachetés à prix d’or par la ville pour les détruire afin de construire

Les quartiers populaires d'origine médiévale sont détruits sous l'influence de Napoléon III. Réaménagement par Haussmann. préoccupation au niveau sanitaire. facilitation de la circulation (transport, air, eau ..) “Les grandes percées haussmanniennes.” continuité de l'axe E/O (Bercy à l'Est → La Défense à l'Ouest) avec Baubourd (cf page 72-73), l'Arche de la Défense, Le Musée d'Orsay, le Musée du Quai Branly.. Le Paris actuel porte l'empreinte des choix faits à chaque époque, constructions

de l'Est à l'Observatoire (boulevards de Strasbourg, Sébastopol, Saint-Michel). Haussmann a comme idées de ne pas toucher au rues mais de passer à l'intérieur. Il déplace cependant le boulevard Saint Germain. Il exproprie, rase, puis reconstruit immeubles et boulevards dont un qui porte son nom, le boulevard Haussmann. Et tout ça grâce aux empreints de la population. Mais cette transformation connait un débordement dû à un manque d'ambition. La constructions de monuments augmentes, Paris passe de