Les Identités Meurtrières Chapitre 4

Sylvie RACHET Lycée Fresnel, Paris Iannis RODER Collège Pierre-de-Geyter, Saint-Denis (93) Responsable de formation, Mémorial de la Shoah, Paris (75) David VODISEK Lycée Robert-Schuman, Metz (57) SOMMAIRE 1 Cartes Étude 1 Étude 2 Étude 3 Étude 4 Leçon 1 Leçon 2 Leçon 3 Croissance économique et mondialisation .............................................................................................................................................................. 6 Des économies-mondes

Pays du Vaucluse Henri-Pierre Jeudy, chargé de recherche, Cnrs (Laios) Jean-Didier Urbain, professeur, Université de Versailles-Saint Quentin en Yvelines tel-00266547, version 1 - 24 Mar 2008 2 tel-00266547, version 1 - 24 Mar 2008 3 4 Remerciements tel-00266547, version 1 - 24 Mar 2008 Je remercie pour nos discussions, leurs lectures, leurs conseils, et leurs critiques et / ou leurs corrections : Marc Abélès, Marc Augé, Irène Bellier, Justine Bourgeois, Nadège Chabloz, Michèle

l'émergence d'une norme juridique criminelle britannique en 1801 "feminicide", "meurtre de femme" repris en tant que "meurtre de femme en tant que telle", en 1974 "féministement" par Orlock, dont se serviront également Russell, Caputi et Sanford (voir chapitre autres langues plus bas) - 1853 à 2015, long passage en quarantaine, tout en chipotant pour caler féminicide du bout des lèvres en édition 2015, notre ami Petit Robert n'est pas encore à la page et ne fait qu'entrebâiller la porte de la cage, ;

mémoriel ou imaginaire? ... 39 CHAPITRE II TRISTE TOPIQUE: GIL COURTEMANCHE ET L'INVESTISSEMENT POSITIF 45 2.1 Hiérarchisation des témoignages et stratégies discursives de légitimation.......... 45 2.1.1 De la Topique au topos: construction d'un appareil persuasif.. 2.1.2 Stratégies de persuasion et le rôle privilégié du stéréotype 2.2 Un dimanche à la piscine à Kigali ou l'investissement positif du topique du reporter de guerre .4 7 49 52 2.2.1 Portrait

essor des droits fondamentaux « provoque la perplexité », au risque de devenir « le concept flou d’une génération de juristes » [3]. Si Gregorio Peces-Barba y voit la notion « la plus précise et la plus pertinente des formes linguistiques possibles » [4], d’autres auteurs pointent l’« absence cruelle de concordance entre les niveaux de langage de l’univers juridique », insistant sur « la banalisation [qui] détourne le fondamental de sa vocation première qui est de distinguer les droits qui en sont pourvus

essor des droits fondamentaux « provoque la perplexité », au risque de devenir « le concept flou d’une génération de juristes » [3]. Si Gregorio Peces-Barba y voit la notion « la plus précise et la plus pertinente des formes linguistiques possibles » [4], d’autres auteurs pointent l’« absence cruelle de concordance entre les niveaux de langage de l’univers juridique », insistant sur « la banalisation [qui] détourne le fondamental de sa vocation première qui est de distinguer les droits qui en sont pourvus

Initiation aux sciences criminelles Chapitre I : Définition des sciences criminelles Section 1 : Un fait divers : une tentative d’approche des sciences criminelles X est né en 53, a eu une enfance difficile. Y né en 85 et a aussi eu une enfance difficile. X est battu et donc placé dans une famille d’accueil ou il développe un trouble de la personnalité, va dans des foyers ou il est tantôt battu tantôt celui qui battait. Condamné par le tribunal pour enfant Nantes dans une affaire

fiction au service de l’idéologie……………………….............................. 1-3 : Socialité et idéologie …………………………………………………………. 1-4 : Médiations et idéologie……………………………………………………….. 1-5 : co-texte et idéologie comme dimension de la socialité………………………. 1-6 : Le projet idéologique …………………………………………………………. DEUXIÈME PARTIE : Références Intertextuelles et Socio-historiques CHAPITRE I I-1 : De l’intertexte au texte ……………………………………………………….. I-1-1 : La Peste, un projet idéologique bien mûri :…………………………….. I-1-2

« stratégie » demeure tout aussi imprécise. Elle ne peut plus se satisfaire, dans son sens classique, de « coordonner les moyens militaires et logistiques pour un plan de campagne »[3] . Ce point de vue, affirmant qu’il n’y a de stratégie que militaire[4], semble désormais inadapté et limitatif. La stratégie est davantage la « conception et l’exécution d’une action collective en milieu conflictuel »[5], ou mieux, « l’action humaine finalisée, volontaire et difficile »[6] . La stratégie reconnaît le potentiel

condamnation (chapitres I-IX). Il décrit sa cellule qui ressemble déjà à un tombeau : sur les murs, les condamnés qui l'ont précédé ont griffonné des inscriptions (chapitres X-XII). Il assiste au ferrage des forçats et à leur départ pour le bagne de Toulon (chapitres XIII-XV). Il entend la complainte en argot que chante une jeune fille (chapitres XVI). Il ne souhaite plus qu'une chose : fuir, s'évader ! (chapitre XVII). On lui apprend que son exécution aura lieu le jour même (chapitres XVIII-XIX).