Les Forces Du Taylorisme

marque le passage d’une phase où le capitalisme s’est développé en utilisant une main-d’œuvre dépendante à une phase où la bourgeoisie capitaliste doit compter avec une classe ouvrière qui prend conscience, s’organise, impose un nouveau rapport de forces. Cette affirmation se développe dans le cadre d’une transformation plus large de la société provoquée par la salarisation, l’urbanisation, la croissance du nombre des travailleurs, la résitance à l’oppression et à l’exploitation, les grèves, les

flânerie et ne concevait pas qu'on puisse ne pas être heureux au travail à la chaîne. Son paternalisme et ses dérives autoritaires générèrent Le Fordisme. Du taylorisme au fordisme s'est ajoutée une dimension. Nous retiendrons néanmoins du fordisme ces deux caractéristiques: 1- C'est une organisation de la production basée sur le taylorisme, à laquelle s'ajoute un fractionnement extrême du travail à la chaîne pour obtenir plus de rendement. 2- C'est aussi un niveau de salaire suffisant pour générer

définir comme la déshumanisation qui résulte des rapports de production capitalistes, c’est à dire des rapports qu’entretiennent les propriétaires des moyens de production (les capitalistes, la bourgeoisie) et ceux qui leur vendent, contraints et forcés, leur force de travail (les prolétaires). Marx donne trois exemples d’aliénation au niveau du travail : - l’ouvrier est dépossédé du produit de son travail , il lui devient étranger. - Le travail qu’il réalise lui est extérieur : « dans son travail

moyens productifs qualifée de « taylorisme arythmique » (Urgense, 1982). Le « taylorisme » cubain (Selva, 1993) avait la particularité de dépendre d’un rapport salarial en contradiction avec la discipline au travail. Les postes de travail, largement standardisés et répondant à des normes fixes de production, ne recevaient pas en flux continu les outils, composants et pièces détachées en provenance des pays de l’Est. D’où l’« arythmie » et l’inefficacité dudit taylorisme qui combinait les ruptures d’approvisionnement

trois formes (régulation par anticipation, par alerte, par erreur). B. La théorie du management Elle apparaît suite à la croissance forte du Japon. Le japon bénéficierait d'un avantage organisationnel. Il s'agit en fait de la critique du taylorisme. Cette structure reposait sur une main d'oeuvre sans qualification, or cette catégorie de la force de travail s'est amoindrie. Il s'agit de développer l'autonomie des salariés et leur créativité. Il faut également mieux utiliser les équipements

qu'une « coopération amicale » entre le patron et les travailleurs pour augmenter la plus-value, permettra d'accélérer à la fois les bénéfices de l'un et les gains des autres. Objectif, par parenthèse, assez éloigné de l'image négative qui colle au taylorisme de fait, la réalité sera moins idyllique. Beaucoup d'entrepreneurs vont profiter à sens unique d'une doctrine qui aboutit souvent à la déshumanisation des tâches. Mais cela n'empêchera pas le système Taylor d'envahir la planète. Si le mangement

peuvent affirmer que « la guerre commencée en 1914 ne ressemble à aucune de celles qui ont eu lieu dans le passé », car, au cours du premier conflit mondial, la mobilisation de « l’arrière », c'est-à-dire la réunion de toutes les forces, des personnes et des territoires qui ne se retrouvaient pas sur le champ de bataille, apparut indispensable pour mener la guerre. La mobilisation économique de l’arrière fut exceptionnelle. L’économie était entièrement tournée

confiance * Aspects relationnel fondés sur la peur de la sanction et récompense * Comportement hostile * Mal être au travail * Voir conflits sociaux * Pas de participation collective aux décisions, * Rejoins l’idée du Taylorisme * Pas de profil type mais sont souvent âgés Autoritaire paternaliste : * Autoritaire mais plus proche des collaborateurs * Relation fondées sur la confiance * Peut consulter ponctuellement ses collaborateurs, même si il reste

du travail de l’employé ou encore au sein de l’entreprise où il travaille dans le but de faire évoluer cette personne tantôt individuellement, tantôt professionnellement. Il y a plusieurs années, et même encore aujourd’hui, la prédominance du taylorisme dans notre façon d’organiser notre travail influence le type de formation auquel les travailleurs auront droit. Nous avons au Québec une certaine tendance à définir en ses tâches les plus simples un travail donné. Une formation sur le tas est donc

1864-1920. 1. Doctrine. Il met au point une théorie sur les structures d’autorité afin de classer les organisations. Il se demande pourquoi les individus obéissent aux ordres. Il fait la distinction entre le pouvoir qui est l’aptitude à forcer l’obéissance et l’autorité qui est l’aptitude à faire observer volontairement les ordres. Dans un système d’autorité, les subordonnés acceptent les ordres parce qu’ils sont légitimes. 2. Les types d’organisation. Weber distingue trois types