Les Fables Anouilh

« Du Souverain » et enfin d’un extrait d’Antigone, de Jean Anouilh. À partir de ces trois extraits, les deux premiers datant du XVII° siècle et le dernier du XX°, la question se pose de savoir qu’elle conception du pouvoir y est décrite. Dans les trois exemples, on remarque une description du pouvoir absolu, pouvoir représenté métaphoriquement en ce qui concerne La Fontaine et La Bruyère, de manière directe en ce qui concerne Anouilh. Le monarque chez La Fontaine se retrouve en effet sous les

corpus soumis à notre étude se caractérise par sa forte amplitude diachronique puisque les textes ont été publiés entre 1668 et 1984. Il présente également une unité générique puisqu'il s'agit de 4 fables signées de La Fontaine, auteur du XVII° que l'on peut rattacher au classicisme français, de Jean Anouilh et de Jacques Charpentreau, écrivains du XX°. Ces textes, qui se présentent comme des réécritures, offrent cependant une diversité thématique. Les deux versions de l'apologue "Le Chêne et le Roseau"

Sujet : Estimez-vous, comme le prétend Anouilh dans sa préface des Fables, qu’écrire des fables soit une « entreprise futile » ? La Fontaine a longtemps écrit pour les enfants, notamment pour le dauphin qui était seulement âgé de sept ans à l’époque. Ainsi, on pourrait être amené à penser que la fable n’est qu’un divertissement puéril dépourvu d’esprit et de profondeur. Mais les fables qui constituent l’autre partie de son œuvre (à partir du livre VII) sont destinés à un public d’adultes et

versifies, ont été particulièrement prises par les moralistes du XVIIème siècle. Pour apporter son mot à ce sujet, Jean-Jacques Rousseau confirme, dans Émile ou De l'éducation, que les fables instruisent les hommes. Cependant, il affirme qu'elles ne sont pas destinées à tout public, notamment aux enfants. Les fables peuvent-elles être efficaces pour informer et leur permettre de mieux vivre en société? En dépit de cela, sont-elles destinées à n'importe quel public? Nous allons tout d'abord voir quelles

L'APOLOGUE Problématique : en quoi l'apologue est-il un genre argumentatif efficace pour éduquer, divertir et dénoncer ? Support : groupement de textes Objets d'étude : convaincre et persuader ; les formes et les fonctions de l'apologue (fables, contes, romans) Perspectives d'étude : - étude de l'argumentation et des effets sur le destinataire - genres et registres - intertextualité Méthodo et devoirs : - questions de corpus - commentaire littéraire Devoir maison

morale ». Toutefois, celle-ci peut appeler contestation : peut-on dire que les fables ne servent qu’à « illustrer » une leçon de morale ? N’est-il pas trop hâtif de conclure que leur seule fonction est d’expliciter par l’exemple un principe de vie ? Certes, la fable permet de clarifier ces principes parfois abstraits, mais ce serait sous-évaluer leur force que de les condamner à la simple illustration morale. Aussi, les fables n’existeraient-elles pas avant tout afin de servir d’appui à la réflexion du

 CORPUS HOMME ROSEAU Objet d’étude : Les genres de l’argumentation du XVIème siècle à nos jours. Document A : Le Chêne et le Roseau », Fables, Livre I, Jean de La Fontaine. (1668) Document B : « Le roseau pensant », Pensées, Blaise PASCAL. (1670) Document C : « Le chêne et le roseau », Fables, Jean Anouilh. (1962) Question : L’image du roseau transmet-elle, dans ces trois textes, la même vision de l’homme? Le Chêne et le Roseau », Jean de La Fontaine. (1668) Le Chêne un

II) L’apologue court le risque d’être ambigu. -Vérité cachée c’est au lecteur de la découvrir. -La morale est parfois en décalage avec le texte (trop commune ou non heureuse trop complexe). -Le lecteur ne décode pas convenablement. EX : Jean Anouilh Le chêne et le roseau. III) Malgré ses avantages l’apologue n’est pas nécessairement la forme d’argumentation la plus claire et la plus efficace. -Certaines vérités sont mieux représentées par d’autres formes argumentatives. EX : Molière (Dialogue

Introduction : ( chapeau ) Nous avons tous en tête des fables de La Fontaine apprises à l’école primaire : « La Cigale et la Fourmi », « Le Corbeau et le Renard », « La Grenouille qui se veut faire aussi grosse que le bœuf »…Mais, après quelques années d’oubli, en classe de première, les programmes les rappellent à notre souvenir : en effet, quel meilleur exemple de l’apologue que les Fables de La Fontaine ? Et pourtant, si Rousseau revivait de nos jours, il interdirait formellement à son Emile

ces texte ont a affaire a une Chêne et un Roseau qui signifie alors la loi du plus fort face au plus faible, mais aussi la loi de la nature pour ces deux végétations. Jean de La Fontaine a écrit cette fable puis Jean Anouilh la réécrite a sa manière Nous allons comparer les deux fables en commençant par celle de Jean de La Fontaine: La Fontaine décide de faire parler en premier dans sa fable Le Chêne pour montrer directement son signe d'autorité envers le Roseau. Dans sa manière de parler on ressent