Les Européens Et Les Amérindiens

après la disparition du pont terrestre de la Béringie. Rapidement, les européens ont commencé à explorer le continent au détriment de ses habitants autochtones : à la fin du XIXe siècle, on ne compte plus que 250 000 Amérindiens sur les 2 à 20 millions estimés au XVe siècle sur le territoire des États-Unis actuels[2]. Certains estiment le nombre d'Amérindiens vivants sur l'ensemble du continent lors de l'invasion européenne (ou "Découverte de l'Amérique") à 100 millions[3]. La découverte par

millions d’habitants est le troisième pays le plus peuplé du monde. L’histoire du peuplement du continent nord-américain est indissociable de celle de l’immigration, les autochtones (Amérindiens, Inuits, Aléoutes) ne constituant plus, aujourd’hui, qu’une minorité de la population. Depuis l’arrivée des premiers colons européens (avec des esclave d’Afrique), au XVIème siècle, plus de 50 millions d’immigrants se sont installés aux États-Unis. Au début ils s’installent sur les côtes puis ils vont conquérir

indigènes. Il décrit d'abord les combats que se livrent les populations amérindiennes et nous montre une image sanglante de la guerre. Il nous parle des traditions guerrières des indigènes et symbolise le partage de la chair des vaincus comme un rituel ancestral par une vengeance. II) Dans ce deuxième mouvement, l'auteur rapporte le point de vue occidental des amérindiens mais renverse les points de vue en qualifiant les Européens de « plus barbares que les barbares ». Il ajoute même un sentiment de

l’initiative de Charles Quint. Dans son roman, Jean-Claude Carrière met en scène les principaux protagonistes du débat historique, à savoir le théologien Sépulvéda et le Dominicain Las Casas : le débat historique portait sur la manière d’évangéliser les Amérindiens. Jean-Claude Carrière imagine un débat portant sur leur nature même : sont-ils des hommes à part entières ou des êtres inférieurs ? Le passage étudié, tiré du chapitre 7 aborde explicitement cette question. En quoi cet extrait révèle-t-il deux conceptions

alors qu'il apprit l'existence de l'Amérique et des Amérindiens. Dès lors, il colonisa ces territoires et malmena les Indiens d'Amerique. Comment ont-ils perçu et traité cette civilisation ? Les Grandes Découvertes mirent en valeur de nouveaux territoires, à l'opposé, cela affecta séverement la population. Des progrès sensibles ont été accomplis, au Moyen-âge, dans les domaines de la connaissance de la Terre et de la navigation. Les Européens du Moyen-âge étaient restés jusqu'au 13 ème siècle tres

d'échanges et d'interconnexions, d'abord avec les Amériques aux XVe et XVIe siècles, mais aussi avec l'Asie et l'Afrique. L'expansion européenne entraîne plusieurs conséquences : la découverte par les occidentaux d'autres peuples et d'autres cultures, une ouverture au monde symbolisée par des cartes de plus en plus précises ; l'émigration d'aventuriers et de colons européens vers d'autres continents qu'ils vont commencer à européaniser : apporter leurs valeurs, leur culture et leurs croyances aux peuples

d'échanges et d'interconnexions, d'abord avec les Amériques aux XVe et XVIe siècles, mais aussi avec l'Asie et l'Afrique. L'expansion européenne entraîne plusieurs conséquences : la découverte par les occidentaux d'autres peuples et d'autres cultures, une ouverture au monde symbolisée par des cartes de plus en plus précises ; l'émigration d'aventuriers et de colons européens vers d'autres continents qu'ils vont commencer à européaniser : apporter leurs valeurs, leur culture et leurs croyances aux peuples

manière d’évangéliser les Amérindiens, Jean-Claude Carrière imagine un débat portant sur leur nature même: sont-ils des hommes à part entiers ou des êtres inférieurs? ------------------------------- Le passage étudié, aborde explicitement cette question. Et différentes thèses sont exprimées: Celle de Sépulvéda est explicite : « les habitants du nouveau Monde sont des esclaves par nature ». Celle de Las Casas est implicite mais par opposition sa thèse est: les Amérindiens sont des Hommes à part entière

premiers contacts entre Amérindiens et Européens ont pu être le plus souvent amicaux, à en croire les témoignages qui nous sont parvenus, très rapidement les relations se tendent ouvrant la porte à des rapports fondés sur la force et la violence, à l’image du sort dévolu à Natividad sur l’île d’Hispaniola qui ne parvient à se maintenir que quelques mois.À ce titre, la conquête menée par les Ibériques sur les divers espaces où ils entrent en contact avec les mondes amérindiens renvoie d’abord à un épisode

et culturelle : selon l'IBGE (Institut brésilien de géographie et statistiques), il y a au Brésil 47,7% de blancs, 43,1% de métis, 7,6% de noirs et environ 2% d'Asiatiques et d'Amérindiens. Un grand nombre de brésiliens sont descendants de pays européens, principalement d'Italie8, d'Allemagne9, d'Espagne et du Portugal. À l'instar de son voisin nord-Américain, les États-Unis, le Brésil est un pays a majorité chrétienne (89%), principalement catholique. Avec 123 millions de fidèles, il s'agit de la