Les Européens Et Les Amérindiens

« cannibales » par rapport aux européens. Michel de Montaigne fait appel à trois exemples permettant de mettre en relation la barbarie de ceux nommés « sauvages » avec celles des européens. Il introduit son texte en disant qu’il est chagriné de voir que les européens, remarquant à juste titre la barbarie des amérindiens, ne voient pas leurs propres fautes. Il va ensuite au cours de l’extrait hiérarchiser la barbarie des amérindiens par rapport aux européens,

Sauvage dans l’Amérique, de Louis-Armand de Lom D’Arce de Lahontan (1703). Question : Le type de relation qu’entretiennent les Européens et les Amérindiens est-il le même dans Extrait de Voyages en Nouvelle-France, de Cartier et dans Extrait de Dialogues de monsieur le baron de Lahontan

texte les biens matériels sont mis en évidence. Les maisons, technologie… Classes sociales chez les Européen il y a des pauvres qui souffre et ont de la difficulté à survivre alors que les Amérindiens vivent tous presque également. Les Amérindiens court chasse et se défendent ils réussissent mieux à survivre avec moins. Il démontre bien qu’ils sont capables de survivre sans la technologie des Européens. *toujours évité de répondre qu’avec une partie du texte il faut répondre avec le plus d’information

JEN Koki 1SMP1Dissertation La Renaissance est une période de l’histoire européenne du XVe au XVIe siècle, caractérisée principalement par le développement des arts, des sciences, et par le retour aux valeurs de l'Antiquité. De nombreux écrivains engagent une réflexion sur l'homme et la société avec l’apparition du courant humaniste. Montaigne, philosophe, écrivain et humaniste a écrit les Essais, auxquels il a passé les dix dernières années de

Texte 9 EssaisProblématique : comment Montaigne, à travers une argumentation bien construite, réhabilite les amérindiens, valorise leur culture et critique les européens. Mouvement du texteAxe 1 : Critique de l’ethnocentrisme et prémisses du «mythe du bon sauvage» l.137 à 173 Le passage s’ouvre avec la thèse que notre auteur affirme avec force : l.137 utilisation du pronom personnel je et verbe

s.) I. Les causes des Grandes découvertes 1. Les principales raisons A la fin du XV° s,, les Européens partent à la découverte de nouvelles terres. Plusieurs raisons expliquent ces voyages : – ils ont lu le livre des Merveilles écrit par Marco Polo au XIII° s, : cet homme a vécu plus de 17 ans en Chine et décrit l'Asie comme un monde merveilleux et regorgeant de richesses, Ainsi, les Européens ont soif de découvrir cet univers et espèrent s'enrichir. – ils souhaitent découvrir de nouveaux

rôle qu’on jouer les Amérindiens lors de la bataille du Long Saut. Cette bataille a été livrée en mai 1660 par 17 colons de la Nouvelle-France avec 40 alliés Hurons et 4 Algonquins contre plusieurs centaines d’Iroquois dans un fortin abandonné, sur la rivière des Outaouais au Long-Sault.1 En faite, Dickinson s’intéresse principalement sur l’apport des Amérindiens durant cette bataille. Ainsi, l’auteur croit que l’étude de cette bataille a été peu traitée sur l’apport des Amérindiens, car selon lui, la

conquistadors et amérindiens. En quoi ce récit fait la critique du colonialisme ? Le premier mouvement du texte révèle le discours espagnol, le second reprend la réponse des hommes du nouveau monde et le lecteur comprend

paix et la prospérité. Dans ce contexte favorable, les Européens peuvent établir une nouvelle approche avec le monde qui les entoure. Ce nouveau rapport est d’abord d’ordre géographique : les Européens explorent des mers et des océans et mettent au jour des terres qu’ils ne connaissaient pas jusque là mais qu’ils s’empressent de coloniser. En quoi ces siècles peuvent-ils être considérés comme un tournant dans le rapport au monde des européens ? Pour pouvoir répondre à cette question, il faut

Un nouvel horizon : l’élan européen vers l’Atlantique A. Des découvertes majeures - L’expansion ottomane a été facilitée par des rivalités qui opposaient les souverains européens : Désintérêt des souverains ibériques (Espagne et Portugal), car ceux-ci étaient occupés à repousser les musulmans d’Espagne Reconquista qui s’achève par la Prise de Grenade en 1492. Leurs intérêts perdus en Méditerranée les forcent à se lancer vers l’Atlantique pour trouver la route qui doit mener vers