Les Européens Et Les Amérindiens

Monsieur le baron de Lahontan et d’un Sauvage dans l’Amérique (p.22-23) de Lahontan? Point de vue critique : Non, malgré que dans les deux textes, il est bel et bien sujet d’une confrontation entre deux peuples, l’identité et les valeurs des européens sont significativement différentes dans les deux textes. Sujet posé : Le thème de la confrontation est présent dans les Récits de voyage (p.17) de Cartier et dans les Dialogues de Monsieur le baron de Lahontan et d’un Sauvage dans l’Amérique

STADEN OU UN EUROPÉEN CHEZ LES TUPINAMBA Grégory Wallerick, doctorant en Histoire moderne à l'Université Lille 3 – Charles de Gaulle. Résumé : Durant les tentatives de conquêtes initiées au cours du XVIe s., les Européens ont l’occasion de découvrir cet Autre qui peuple un territoire empli de chimères et d’espérance. Certains événements, relatés par des voyageurs à leur retour sur le Vieux Continent, concernent l’immersion de rares Européens dans le milieu amérindien. L’histoire de

cultures indiennes d’Amérique ont disparu avec l’arrivée des européens mais aussi parce que les indiens eux-mêmes savaient que leur existence avait une durée limitée, que leur culture portait en elle les éléments de sa propre fin. Ainsi furent-ils soumis à leur destinée. 3. Le « rêve » consiste en une vérité, en une philosophie, en une réalité différente. On sait qu’aujourd’hui on retrouve dans notre culture les mêmes idées des amérindiens, ils étaient donc plus évolués sur l’aspect scientifique

autour de Terre-Neuve découle de la découverte de Jean Cabot. Il a propagé la nouvelle que de nombreux bancs de poissons étaient autour de Terre-Neuve. Cette nouvelle, s’est répandue en Europe très rapidement. Un nombre considérable de pêcheurs européens venaient chaque année pêcher la morue à cet endroit. À cette époque, les Anglais étaient peu nombreux à pêcher au large de Terre-Neuve. Ceux-ci étaient largement surclassés par les Français qui envoyaient à tous les ans de 60 à 90 bateaux dans ce

Caractéristiques • Nom Français: Ogopogo • Nom Amérindien: n'ha-a-itk, « démon du lac » • Taille: environ 20m • Ressemble à un plésiosaure (dinosaure marin) • Habitât: lac Okanagan (C-B) L’histoire (l’ancienne) Bien avant l'installation des premiers européens, des légendes amérindiennes mentionnaient déjà l'existence de Naitaka (salish : N'ha-a-itk), un « monstre » apparenté à un gigantesque serpent hantant les eaux du lac. N'ha-a-itk était supposé habiter sur le

Introduction 3 vagues de colonisation européenne Vague 1 (XVe-XVIe siècle) : Colonisation hispano-portugaise (concerne essentiellement l’Amérique du sud) Vague 2 (XVII-XVIIIe siècle) : Colonisation française, anglaise, hollandaise (concerne essentiellement l’Amérique du nord) Vague 3 (XIXe siècle) : Colonisation de l’afrique et de l’asie Bilan I- Conséquences immédiates: un lourd bilan II- Conséquences à moyen terme: les difficultés liées à la décolonisation (n’est plus au programme)

Un Amérindien, ou Indien d'Amérique, est un des premiers occupants du continent américain ou un de leurs descendants. En 1492, l’explorateur Christophe Colomb pense avoir atteint le sous-continent indien, alors qu’il vient de débarquer en Amérique. C'est dans ce contexte que les Européens nommeront brièvement ce territoire les Indes occidentales, pour les différencier de celles dites orientales. À cause de cette confusion, on continue d’utiliser le mot « Indiens » pour parler des populations du Nouveau

Ainsi il serait intéressant d’étudier l’image proposée des amérindiens et des européens dans ce texte. Nous observerons tout d’abord la confrontation des deux argumentations, ensuite nous analyserons la critique européenne. Enfin nous examinerons l’éloge du mode de vie indien. Dans cet extrait Montaigne confronte deux civilisations à travers deux discours distincts. Celui des espagnols

Montaigne écrit, est désigné dans le texte par « nous » et désigne la population européenne sachant lire, ce qui ne représente qu’un faible pourcentage d’habitants à cette époque. L’auteur se démarque rapidement de ses lecteurs en marquant son désaccord avec le communément admis en utilisant encore une fois le pronom « je ». Montaigne donne donc son avis tout en cherchant de convaincre. Il cherche à persuader les européens que les « sauvages » ne sont des « barbares ». Pour cela il utilise le registre

l'idée , pour le 2e voyage, de retrouver les 39 hommes laissés sur place. La découverte de Christophe Colomb, et les grandes découvertes en général, ont eu de grands impacts, tant sur les européens que sur les autochtones. La découverte de l’Amérique élargit considérablement l’horizon intellectuel des Européens ; la terre est plus grande qu’ils ne la concevaient. Les gens prennent alors conscience que des cultures et des mondes différents existent. La nature peut être immense : il y a en effet des