Les Emprunts Lexicaux

amoureuses sous le nom d'Elvire. Le poète qui revient seul l'année suivante demande au lac de lui restituer le souvenirs des merveilleux moments passés ensemble dont il a du garder la trace. Notre poète se rend compte que revenant sur l'itinéraire emprunté avec son amie, l'abbaye de Hautecombe, la fontaine intermittente, le souvenir du passé revient avec force et ne semble pas avoir été altéré par le temps qui fuit. Ce poème fut en partie écrit sur place sur la colline de Tresserve qui domine le lac

regarde également les didascalies) Il se cache la figure dans les mains et pleure. - La famille et le lien du sang : (cf Le Cid). Le motif de la vengeance promise aux ancêtres + les ombres pour le trône et pour punir un ennemi (Ubu) Les Champs lexicaux de l’honneur : vengeance, et que cette épée que je te donne n’ait de repos que quand elle aura frappé de mort l’usurpateur / de la noblesse : roi, noble race, le premier roi fondateur de la maison ≠ vilain, vile crapule, vagabond honteux (sens médiéval

et pouvait prêter à confusion entre les vrais et les faux dévots. Pour combattre l'hypocrisie, Molière a choisi de présenter un faux dévot. Donc, bien que Molière s'en défende, la religion semble être un thème important de la pièce. Le champ lexical emprunte de nombreux termes à la religion : Dieu y est constamment invoqué, on parle de péché, d'enfer, de tentation, de dévotion, de repentir, de pardon, de charité, de conscience et de bénédiction. Cléante, dans la scène V de l'acte I attaque férocement

« Le mariage agnes... » « A son superieur... » « lorsqu'il jette sur elle un regard serieux » Il s'appuie sur des exemples repetitifs ( l. 16-17-18 ) accumulation d'exemples. Enfin il s'appuie sur des clichés emprunter a la religion : Les images de l'enfer et le champ lexical qui correspond « si votre ame les suit... elle sera blanche et nette ; vrai partage du diable... bouillir dans les enfer ; celeste bonté ». Question 2 : La conception du mariage selon Arnolphe Tel qu'arnolphe

rappeler à une manœuvre militaire qui a pour but de surprendre l’ennemie). Par ailleurs, lors de cette scène d’exposition, on retrouve des emprunts à deux univers théâtraux familier des spectateurs (à savoir la tragédie et la comédie). Les personnages sont proches du pouvoir (la reine, Don Salluste…) comme dans les tragédies classiques. On note ainsi un champ lexical propre au pouvoir : « règne » ; « chef » ; « reine » ; « présidente ». Une tragédie raconte très souvent la chute brutale d’un personnage

organisation des « obsèques », observation d’un protocole, de l’étiquette pour « la cérémonie ». Rapport hiérarchique, titres « rois », « reine », »prévôts » et cérémonie de condoléance. -Référence littéraire, historique, mythologique emprunté au monde humain, champs lexical religieux (« profane », « immolez »). II. La satire lucide du fabuliste 1. L’implication de La Fontaine -Il intervient fréquemment dans son récit, prend a témoin son lecteur (« jugez » v.11), Souligne sa longue digression

muse jadis inspiratrice toute puissante. Malgré la forme lyrique et traditionnelle qui domine (le sonnet pour trois poèmes sur quatre), ces quatre poèmes n’ont pas tous la même vocation ; le sonnet de Baudelaire vise,paradoxalement, malgré son champ lexical très présent de la mort (avec des termes comme « fosse », «tombeau», « les morts ») semble fait pour charmer la muse auquel s’adresse ce poème : par l’originalité des rimes (la rime en « oir », spécialité baudelairienne est peu employée dans le reste

grand,             Du mode Que tout pied quitte et prend !   Statuaire, repousse L’argile que pétrit             Le pouce, Quand flotte ailleurs l’esprit ;   Lutte avec le carrare, Avec le paros dur             Et rare, Gardiens du contour pur ;   Emprunte à Syracuse Son bronze où fermement             S’accuse Le trait fier et charmant ;   D’une main délicate Poursuis dans un filon             D’agate Le profil d’Apollon.   Peintre, fuis l’aquarelle, Et fixe la couleur             Trop frêle Au four

particularités du style célinien, qui tend à s'approcher de l'émotion immédiate du langage parlé en associant des tournures de phrase orales à un mélange de registres de langue, employant des termes tantôt soutenus, tantôt familiers ainsi que des emprunts au vocabulaire argotique. Ce roman s'apparente à de nombreux égards à un roman picaresque et est empreint de la vie de Céline. Il relate les aventures de Ferdinand Bardamu, double littéraire de Céline, à la suite de son engagement dans la Première

forme grammaticale le titre de l’œuvre se présente-t-il ? Interprétez l’article défini devant « garçon » et identifiez le groupe nominal « en pyjama rayé ». Demandez-vous pourquoi l’auteur a choisi de le réduire à son vêtement. • Menez une recherche lexicale sur le mot pyjama. N’a-t-il servi toujours qu’à désigner un « vêtement de nuit ou d’intérieur » ? Quels autres habits s’en rapprochent ? • Qu’évoque pour vous l’expression « le garçon en pyjama rayé » ? Que pourrait raconter, selon vous, une histoire