Les Emprunts Lexicaux

hommes ! » | 5 10 15 | | | Etude du poème « Mélancholia » de Victor Hugo Introduction : Ce poème, datant de 1838 (mais certainement composé en plusieurs fois entre 1834 et 1855), appartient au recueil « Les contemplations ». Il emprunte son titre « Mélancholia » à une gravure de l’artiste allemand Dürer (1471-1528) représentant un ange triste et pensif. Tel est en effet l’état d’esprit du poète quand il contemple la société de son temps. Ce long poème, dont nous n’étudions qu’un

Les mots sont forts dès le début du récit, ils expriment le ressenti de Chabert qui revit , une nouvelle fois, son cauchemar. Impression d’étouffement qui ne peut laisser son interlocuteur, ni même le lecteur indifférent. On observe les champs lexical de la mort : “ mourir ”, “ méphitique ”, “ cadavres ” (trois fois), “ je gisais ”, “ silence ”, “ tombeau ”, “ les morts ”, “ os ”, “ périssais ”, “ terre ”, “ sang ”. Chabert capte l’attention, sans même le vouloir, il est absorbé par son discours

Credo m'est interdit, Et n'ai plus que ce que voyez. Lecture lexico-sémantique : Le champ lexical utilisé est l’argent. Vocabulaire spécifique à l’argent et tout ce qui s’en suit. Lecture morphosyntaxique : Le temps utilisé est l’indicatif présent. Il exprime sa pauvreté et tous ses états d’âme au moment même. Lecture stylistique : Utilisation de plusieurs métaphore (j’ai vécu d’argent emprunté). Lecture rythmique et phonique : Les strophes sont composées de trois douzains. La métrique

marqué par le lexique repose sur un socle scientifique marqué avec 18 occurrences l 1 -8-9-10-11-14-15-18-20-22-23-24-25-28-30 du verbe « étudier » à « chirurgiens » . Zola veut se poser en scientifique rigoureux et précis d'où cet habillage langagier emprunté au scientisme environnant, alors que la démarche de romancier invalide, dès le départ, cette prétention. Enfin le romanesque latent s'exprime ouvertement, bien que réprimé, il s'exhibe pour emporter finalement toutes barrières qui ont été dressées

vers 8, le poète introduit un nouveau personnage : la fourmi. Celle-ci est qualifiée par une mise en apposition de voisine de la cigale, le mot voisine rimant par une rime suffisante avec famine. On ressent la détresse de la cigale avec le champ lexical de la privation « famine, quelque grain, subsister ». Dans les vers 9 et 10, La fontaine utilise le discours indirect pour nous rapporter les faits de la cigale : celle-ci supplie la fourmi en utilisant le participe passé « priant » qui fait allusion

trace d'une autre langue I. Un peu de théorie Emprunt Code-switching ou Alternance des codes Eléments linguistiques d'une langue (langue donneuse) s'intercalant au sein d'éléments linguistiques d'une autre langue (langue matrice) Elément d'une langue, généralement un item lexical, intégré au système linguistique d'une autre langue (Hamers/Blanc, 1995 : p. 204) Code-mixing ou Mélange des codes Transfert d'éléments, allant de l'item lexical à la phrase entière, d'une langue (langue donneuse)

d’échappement [italique qui souligne l’importance de ce mot] et par un génie de l’équivoque qui pourraient servir à définir l’homme. Maurice Merleau-Ponty, Phénoménologie de la perception Coloration des connecteurs logiques Coloration des champs lexicaux : de la culture, de la nature, des sentiments, du langage Le travail préparatoire au brouillon : à remettre avec votre rédaction au propre (comptez une heure de travail) - Lire le texte plusieurs fois - Thème et thèse du texte. Dans ce texte, il

pour personnifier la vie. Comment by Martin Manseau: Mettre une phrase complète pour la mise en situation avant la citationDans un deuxième temps, la progression de l’être s’implante dans le vocabulaire choisi par Nelligan. Premièrement, les champs lexicaux de la nature et du vieillissement sont jumelés ensemble dans des phrases pour dévoiler l’évolution de la vie. D’ailleurs, le romancier utilise la première strophe pour traiter le stade de l’enfance : « Las d'avoir visité mondes, continents, villes

l’échange en mimant une réponse du tac au tac, spontanée. 5) Il s’agit enfin d’un dialogue passionné, ce que souligne d’une part la ponctuation expressive (notamment les points d’exclamation) et, d’autre part, les procédés oratoires directement empruntés au discours qui marquent la forte implication du locuteur, comme les énumérations et anaphores du dernier paragraphe. 6) Il s’agit cependant d’un dialogue faussé : Hugo n’accorde pas vraiment de poids aux arguments de l’adversaire, qui ne peut

l’échange en mimant une réponse du tac au tac, spontanée. 5) Il s’agit enfin d’un dialogue passionné, ce que souligne d’une part la ponctuation expressive (notamment les points d’exclamation) et, d’autre part, les procédés oratoires directement empruntés au discours qui marquent la forte implication du locuteur, comme les énumérations et anaphores du dernier paragraphe. 6) Il s’agit cependant d’un dialogue faussé : Hugo n’accorde pas vraiment de poids aux arguments de l’adversaire, qui ne peut