Les Effets Du Jugement De Divorce

obligatoire prend fin de 3 façons : Au bout d’un an automatiquement Par déclaration au Procureur de la République si le besoin de protection cesse. Par radiation de la déclaration médicale du Procureur de la République. B- Sauvegarde de justice par jugement: Art. 433 C. Civil Dans ce cas, le juge des tutelles peut placer une personne sous sauvegarde dans 2 hypothèses: Une personne à besoin d’une protection juridique temporaire ou d’être représentée pour l’accomplissement de certains actes déterminés

l’alliance. Elle repose sur 2 éléments : le mariage et la filiation. Définition : le droit de la famille est un ensemble de règles patrimoniales et extrapatrimoniales qui vont régir le couple et les enfants. Pour le couple, c’est le mariage et le divorce, le Pacs et le concubinage. Pour l’enfant, c’est la filiation et l’autorité parentale. Le cadre s’adapte à chaque famille. Le droit de la famille régit aussi l’obligation alimentaire. L’enfant est-il indispensable pour fonder une famille ? oui pour

l'autorité parentale :
 * Dans la famille légitime, l'exercice est conjoint si les parents sont mariés, vivants (logique!), non séparés et que l'autorité parentale n'est pas dévolue à un tiers. L'exercice est également conjoint si les époux sont divorcés ou séparés de corps sauf exception par décision du juge. * Dans la famille naturelle, on distingue trois cas d'exercice conjoint : - Depuis la loi du 8 janvier 1993 : art. 372 : L'autorité parentale est exercée en commun par les deux parents s'ils

que les nouvelles pratiques fassent l’objet d’une règle qui servira de référence pour que la société fonctionne et régule ses comportements. Portalis, juriste français ( 1746- 1807) déclarait que " les familles sont les pépinières de l'Etat ". En effet, s'il apparaît que le vingtième siècle à vu l'institution familiale demeurer relativement stable, l'époque contemporaine à quand à elle, singulièrement modifié le modèle familiale. Le droit intervient ainsi proposant à la société un système de normes

LE RAPPEL DES PROCEDURES DE DIVORCE Tout au long du siècle, le nombre de divorce connait une croissance non négligeable. La divortialité était en 1885 de 4081, y compris les séparations de corps. En 1950, les divorces étaient déjà au nombre de 34663, 72974 en 1977 et en 2007, 134497 divorces ont été prononcés. Le divorce est le mode de rupture du mariage en vertu d’une décision de justice, qui peut être obtenue soit à la suite d’un accord entre époux, soit pour des causes objectives, prévues

Evolution du divorce en France Plan I) Le divorce avant la seconde guerre mondiale a) Réformes historiques. b) Le divorce dans les mœurs. II) Le divorce à partir de la seconde guerre mondiale jusqu’au XXIème siècle a) Réformes historiques b) Le divorce dans les moeurs III) L’évolution du modèle familiale en France à travers le divorce a) Vers la fin des années 50'  b) vers la fin du xxème siècle INTRODUCTION Le divorce est la rupture du mariage

Divorce ==> Loi du 21 avril 2007 Il y a deux causes de divorce : A. Désunion irrémédiable : art.229 Elle procède de trois sous causes : 1. Désunion irrémédiable prouvée (§1) La preuve est apportée par toutes voies de droit. Lé législateur n’a pas exclu l’aveu (>< séparation de fait = art.1255§4). Il y a une controverse pour le demandeur mais elle est acceptée pour le défendeur car c’est un fait qui est invoqué contre lui. Cette forme est plutôt l’exception. 2. Sur demande conjointe

personnes, de sexe différent ou de même sexe, qui vivent en couple ». Ceci ne confère aucun effet juridique au concubinage. Les concubins sont considérés par la loi comme des célibataires mais la jurisprudence leur a accordé dans certains domaines une protection particulière. La Cour de Cassation a rappelé dès 1953 que « la rupture du concubinage ne peut pas justifier l’allocation de dommages et intérêts ». En effet, la rupture seule ne peut donner droit à réparation. Le droit à réparation du préjudice

: aucune valeur juridique parce que ce devoir est d'ordre public mais peut être pris en compte par les juges pour atténuer la fraude en cas de divorce - en dehors de tout accord : si l'un des époux décide de partir comme ça on appellerait ça une « rupture unilatérale de vie commune » elle constitue en principe une faute et donc une cause de divorce - l'époux parti ne saurait être contraint de revenir par la force ou par une incitation financière (astreinte) - l'époux

l’argent. C’est un critère simple puisque la loi va définir les actes graves. Cependant cela va être extrêmement figé, par exemple acheter une baguette de pain * Soit on se réfère aux conséquences économiques de l’acte envisagé. On va regarder quels effets cet acte aura sur l’ensemble du patrimoine. Ici c’est du cas par cas, cependant l’avantage est que l’on peut adapter le choix. Le code napoléon, le code civil, a opté pour la première possibilité en 1804, il a fait des listes d’acte et pour les actes