Les Effares

Premières acquisitions / Premières questions La couverture : Que représente la première de couverture (le drapeau nazi et un garçon portant l’étoile jaune sur laquelle on lit le mot Juif) ? Quels sont les élèments dramatiques de l’illustration (regard effaré du garçon dont la silhouette semble écrasée et est à demi-cachée, ombre projetée du titre). On fera remarquer que les trois mots du titre reprennent les couleurs du drapeau. Feuilletage : La lecture du prologue permettra d’approcher la situation

prouver à quel point son âme est mauvaise, il décide de montrer au peintre le portrait qui se trouve dans le grenier. CHAPITRE XIII L'auteur du tableau croît au début qu'il n'est pas devant son oeuvre. Puis, il reconnaît sa signature. Il est effaré par la laideur du portrait. Il implore Dorian de prier et de changer de comportement. L'autre, agacé par cette réaction, prend un couteau et le plante dans la gorge du peintre. Puis, il quitte le grenier en laissant le corps tel qu'il est. Il pense

arrête son métier pour un accident, c’est triste. Embarcation : bateau de petite taille Ecume : mousse blanchâtre se formant à la surface d’un liquide Brise : vent frais, léger et régulier. Hagards : adjectif qualifiant une personne qui a l’air effaré, hébété Roidi : raidi Vareuse : veste ample, caban Hémorragie : écoulement de sang en dehors de la circulation naturelle Spasmes : contraction musculaire qui peut toucher un à plusieurs muscles Aiguë : fine, pénétrante Putréfaction : pourrissement

peut se demander dans quelle mesure cet auto-portrait est réaliste; dans quelle mesure nous n'assistons pas à la construction d'un mythe, où Rimbaud le fils de famille se métamorphose en  un pauvre orphelin semblable aux personnages du poème "Les effarés".        Un adolescent révolté, ivre d'espace et de liberté : le poème est placé sous le signe de l'énergie libératrice : les poches ne sont pas trouées mais "crevées"; non par les mains mais par les "poings" de l'adolescent. La révolte jette le

Acte 4 scène 5 : Ruy Blas, don Salluste Scène V - Ruy Blas, don Salluste. Don Salluste, posant la main sur l'épaule de Ruy Blas. Bonjour. Ruy Blas, effaré. À part. Grand Dieu ! Je suis perdu ! Le marquis ! Don Salluste, souriant. Je parie Que vous ne pensiez pas à moi. Ruy Blas. Sa seigneurie, En effet, me surprend. À part. Oh ! Mon malheur renaît. J'étais tourné vers l'ange et le démon venait. Il court à la tapisserie qui cache le cabinet secret et en ferme la petite porte au

Et il entra comme chez lui dans la masure des Vallin. La vieille mère lavait ses tabliers ; le père infirme sommeillait près de l’âtre. Tous deux levèrent la tête, et le jeune homme dit : — Bonjour, papa ; bonjour, maman. Ils se dressèrent, effarés. La paysanne laissa tomber d’émoi son savon dans son eau et balbutia : — C’est-i té, m’n éfant ? C’est-i té, m’n éfant ? Il la prit dans ses bras et l’embrassa, en répétant : — « Bonjour, maman. » Tandis que le vieux, tout tremblant, disait, de

paraître, comme pour la promenade du dimanche, d'ailleurs, Joseph se rappelle de ce départ comme d'une promenade du dimanche, mêmes odeurs, même rituel… Ils partent mais ils ne sont pas plus décontractés que lorsqu'ils sont sur la jetée, le père est effaré, il surveille les bagages, la mère est inquiète, c'est moins fort que le père, mais elle n'est pas tranquille elle non plus. Et vient l'ordre de marche,d'abord le père, puis la mère et la fille non mariée, puis joseph et enfin le nouveau couple….comme

Commentaire de texte Louis-Ferdinand Céline, auteur né en 1894 et mort en 1961, est l’un des plus écrivains les plus traduits et diffusés dans le monde. À la suite de sa rencontre, en 1926, avec la danseuse américaine Elizabeth Craig, Céline écrit son premier roman en 1932 : Voyage au bout de la nuit . Ce dernier lui vaudra le prix Renaudot. Le roman débute lorsque, après avoir vu défilé un cortège militaire, Ferdinand Bardamu, un étudiant en médecine décide

entrepris.VH présente l’Académie française comme une vieille femme aristocrate, qui a peur du changement.· Au vers 3, le poète personnifie l’Académie de manière péjorative, en la qualifiant d’« aïeule et douairière, cachant sous ses jupons les tropes effarés ». On retrouve le champ lexical de la vieillesse, « aïeule », « douairière », « jupons ». Il insiste sur le côté castrateur, fermé de cette institution, obsolète et autoritaire.· Au vers 5, on observe une métaphore, qui fait référence à l’ancien temps

Napoléon. On organisera minutieusement des manifestations « spontanées » avec obligation d'y assister, le peuple sera inondé de merveilleuses statistiques prouvant à quel point tout marche pour le mieux dans le meilleur des mondes etc. Et un jour, c'est effarés que les animaux verront entrer Napoléon marchant sur deux pattes parmi eux. Et Napoléon tiendra un fouet en main !…