Les Differents Types De Contentieux Selon Réné Chapus

Titre 4 Titre 5 les procédés administratif Titre 6 responsabilités administratives Chapitre IV Bibliographie : I- Ouvrages et manuel généraux : 1- DEBBASCH (CH.) et COLIN (N.) droit administratif, economica, paris : 2- CHAPUS (R.) droit administratif général T1 éd, MONCHRETIEN : Paris 3- DENIS (SEGUI) droit ad général éd, CEDA T2 et 3 4- GAUDEME () d a éd, LGDJ 5- RIBERO (J) et WALINE (J) d a précis DALLOZ, Paris 6- DEN (G) d a puf , Paris II- Manuel

marchés publics, n'ont pas été retenues. De même, ne sera pas traité le cas des entreprises publiques faisant ou ayant fait l’objet d’une privatisation mais toujours chargées de missions de service public. Sont également exclus de cette étude tous les types de personnes publiques : établissements publics, GIP, etc. - Diversité des secteurs d’activité concernés : les organismes privés chargés d’une mission de service public ont investi un champ très large. Certains domaines présentent un intérêt

entier, c’est-à-dire qu’il dispose de sa logique de raisonnement et de principes propres. C’est un Droit non pas dérogatoire mais un Droit autonome à côté du Droit privé et l’administration répond du respect de ce Droit devant des Tribunaux qui sont différents que ceux compétents pour trancher les litiges entre particuliers : les juridictions administratives. Ce qui caractérise le système français, c’est donc l’existence d’un Droit administratif plus l’existence d’un juge administratif. Ces deux entités

Donc pas un contreseing, mais tous signent ensemble. Idée à exclure est le caractère unilatéral d’un acte qui découle du nombre d’auteurs => c’est faux. Définir l’acte par rapport à son but. Un acte pris par l’administration peut avoir deux buts différents, soit l’acte va être destiné à régir les relations réciproques que les auteurs de l’acte peuvent avoir. Soit l’acte adopté par l’administration est destiné à régir le comportement de personnes qui sont étrangères à la prise de l’acte, qui ne sont

sur la valeur de cette liberté. Mais en raison de la qualité de personne publique, cette liberté est limitée, notamment parce que les personnes publiques ne peuvent pas contracter dans tous les domaines et elles ne peuvent pas recourir à tous les types de contrats. §1 : La liberté contractuelle Accord de tous les auteurs, sur l’existence d’une telle liberté au profit des personnes publiques. Certains auteurs prennent le soin de souligner que cette liberté en raison de ses titulaires spécifiques

travaux de construction ou d’aménagement portant sur des immeubles et effectués par l’administration dans l’intérêt général ». Il faut retenir que la définition des travaux publics se distingue de la définition d’ouvrage public, ainsi que le souligne René Capitant en se référant à la double notion de travail public (article RDP, 1929, page 507). L’ensemble des travaux réalisés par l’administration pour son compte ne se ressemblent pas. On trouve des travaux identiques à ceux réalisés par une personne

Montchrestien - Bertrand Seiller, droit administratif 2 tomes !!! Flammarion - René Chapus Définition : ensemble de règles de droit qui concernent spécifiquement l’activité de l’administration. Ces règles sont spécifiques en ce qu’elles ne concernent que l’administration. Elles concernent à la fois l’organisation de l’administration et ses relations qu’elles tissent avec ses administrés. Les différentes administrations passent chaque année commandent entre 120 et 150 milliards d‘euros

Qu'est-ce que le droit? "Droit" ; 2 significations principales : "telle ou telle personne a des droits" => faculté d'accomplir certaines actions, et toute personne aura possibilité de la défendre si on tente de la lui contester : en France, règle selon laquelle les administrés ont droit de contester légalité, une décision de l'admin devant le juge admin. Cette règle = "principe général du droit" par le Conseil d'Etat en 1950. Peut rester en justice, saisir juge admin afin de contester une décision

textes – et ensuite une fonction de prestation conduisant à fournir des services et des biens aux membres de la collectivité moyennant, notamment, la perception d’un impôt. L’administration n’existe juridiquement que par la personnalité morale des différentes structures qui la composent. La personnalité morale de l’État est considérée comme un postulat (= une hypothèse théorique de base) ; celle des collectivités territoriales vient de la Constitution, et celle des autres entités, comme les établissements

mains du souverain : Le roi est le législatif, l’exécutif et le juridictionnel. C’est pour cela que l’on a souvent cette analyse selon laquelle il n’y aurait pas eut de droit administratif sous l’AR : Le souverain pouvait n’en faire qu’à sa tête. Attention quand même l’action du souverain est encadrée un minimum. 2) La reconnaissance de la spécificité du contentieux administratif Sous l’AR il existe des règles qui permettent de comprendre comment est organisée l’administration, dont la violation