Les Causes Du Fanatisme

l'innocence et son souci farouche de préserver la femme de toute impureté ne valorisent que le «nous» impérieux de la gent masculine. Il fait une analyse de la dépopulation de l’univers à laquelle le XVIIIe siècle a cru. Aux causes particulières (épidémies et famines), succèdent les causes générales : c'est en les recensant qu'il en vient à condamner la polygamie musulmane et l'oisiveté des eunuques et des esclaves (lettres 114-115). Il exprime ici un idéal de mesure qui réprouve ce gâchis d'énergie, entonne

rougissent : enchaînement des causes et effets derrière un paravent. Candide est chassé du meilleur des mondes par le baron. Compagnon(s) Militarisme Chap.2 ALLEMAGNE (HORS DU CHATEAU) recrutement forcé, le militarisme, les châtiments corporels. Candide devient malgré lui soldat de l'armée Bulgare. Compagnon(s) La Guerre Chap.3 ALLEMAGNE (ROSSBACH) la guerre, son absurdité, ses horreurs, le chant du Te Deum. Candide s'enfuit et passe en HOLLANDE. Hypocrisie et fanatisme d'un pasteur Huguenot qui prêche

Ainsi, dans de multiples domaines, les inégalités, l'intolérance, le non-respect... continuent de sévir et de causer le trouble. Le 20ème siècle aura par exemple à nouveau montré l'existence de racisme et d'esclavage : dans les camps nazis et staliniens. Ces mouvements dictatoriaux apparus ont de nouvelles définitions des races, et établiront des échelles de race des Hommes. Ce fanatisme et cette ignominie se seront développés dans plusieurs pays et auront causé la mort de millions de personnes.

technologiques Les persistances de sous développement (Afrique) La famine, les épidémies, les catastrophes, tsunami Les guerres ethniques Le déséquilibre Nord/Sud Les guerres du pétrole Permanence des conflits dit de base (fanatisme, religieux, terrorisme internationales) Les mouvements migratoires (Tinusiens vers Italie) Fruit de la misère et de nos pressions Uniformisation culturelle * La part de lumière sur la toile de fond La France Il existe un

- La critique du fanatisme religieux : il apparaît comme l’une des causes principales d’intolérance et d’injustice. · La critique de l’injustice : oncritiquait l’arbitraire et la cruauté des parlements. · La critique de l’inégalité : les philosophes dénoncent la société fondée sur les privilèges

naturellement de savoir penser. L’observation des hommes dément pourtant cette certitude, confirmant l’observation de Paul Valéry selon qui « penser est une exception à une règle générale : ne pas penser ». En effet, superstitions, croyances occultes, fanatismes sont des phénomènes courants qui s’enracinent dans l’absence de jugements rationnels et la persistance des individus au niveau du sentiment et de la croyance. Dans ces conditions, peut-on apprendre à penser ? « Apprendre à penser », cette expression

rang de « boucher », il n’est plus excusable qu’il soit Bulgare ou Abare ! L’épopée est raillée et le jeune Candide fuit en vain vers un territoire plus propice à l’exercice de la philosophie de son maître Pangloss : « raisonner [ ] des effets et des causes ». 6. L’ironie irrigue complètement le texte. On a déjà vu comment elle mine les deux premières phrases. Dans la suite du texte, le nombre de victimes est faussement légitimé par le fait que ce sont des « coquins » qui « infectent » la surface du

ne pense pas librement parce que je suis soumis à des pulsions ou à des passions. Par exemple : un prisonnier n'a pas la liberté de mouvements mais tant qu'il garde la conscience de lui même, qu'il n'est pas « sous influence » ( d'une drogue d'un fanatisme, d'une secte) il est libre donc dans sa pensée. Au contraire, un homme apparemment libre de ses mouvements, en parfaite santé, et riche peut quand même être esclave de ses préjugés, de ses passions, de ses névroses. C'est alors que se pose la question

alors un moyen de rendre la vie plus supportable. VOLTAIRE ET LA RELIGION Voltaire se qualifie comme un déiste : il croit en Dieu. Selon lui, Dieu est nécessaire à l'ordre du monde. Toutefois, Voltaire n'a pas l'âme religieuse. Il lutte contre le fanatisme, l'intolérance, les dogmes, la hiérarchie de l'Église et le culte catholique. Il préfère croire que tous les Hommes sont les enfants d'un même Dieu universel, ce qui appelle à la tolérance mutuelle. La religion qu'il propose est une religion naturelle

action. C’est en cela que consiste sa transcendance, sa liberté. Autrement dit, l’homme n’est libre que s’il donne un sens à sa vie, ici et maintenant, dans le monde tel qu’il est. C’est pourquoi Sartre a toujours été un philosophe engagé dans des causes de son temps. Il fait partie du courant des philosophes qui partagent cette idée, nommés existentialistes. Sachant cela, il est intéressant de regarder sa biographie : pendant la seconde guerre mondiale, en 1941, il fonde un mouvement de résistants