Les Aspects Comiques Dans Dom Juan

1662 – 1666 Ecriture de « L’école des femmes » (1662) dont le sujet est relativement grave et déchaîne un scandale. Par la suite, furieux des attaques dont il est victime, Molière écrit des pièces à caractère grave comme « Tartuffe » (1664), « Dom juan » (1665) et « Le Misanthrope » (1666). Elles déchaînent les foudres des religieux et des politiques. • 1666 – 1673 Il revient à des sujets plus classiques comme « Les femmes savantes » en 1672. Molière meurt peu après la représentation

la forêt des expériences -elle va forcer le Ciel à se manifester ; elle s'insère ds la problématique du contrat dont toute la pièce décline les différents aspects. Introduction et conclusion de la lecture analytique n° 1 : LA SCENE D'EXPOSITION Dom Juan s'ouvre sur une scène de discussion entre le valet de done Elvire et celui de Don Juan. Le spectateur va apprendre l'identité des deux interlocuteurs et quels sont les éléments de l'intrigue qui opposent la maîtresse de Gusman au maître de

différentes du rôle. Au moment de la création de la pièce, Tartuffe fut joué par Ducroisy qui se présentait comme un homme d'une quarantaine d'années, de belle carrure, doté de prestance et quelque peu adipeux. Il s'était fait une spécialité des emplois comiques et permit donc à Molière de faire rire de son personnage. Deux tendances après lui se sont dessinées: l'une a voulu accentuer le côté farcesque de Tartuffe jusqu'à la caricature; l'autre au contraire donna à Tartuffe une dimension dramatique

Pour comprendre mieux ce travail, on peut le partager en trois parties : le prétexte, le contexte et le texte. LE PRETEXTE Les sources : L’auteur se base sur différentes œuvres pour écrire le Bourgeois Gentilhomme : La vraie Histoire comique de Francion, de Charles Sorel, Nuées, d’Aristophane, la Sœur de Rotrou et Discours physique de la parole, de M. de Cordemoy. La scène où apparaît M. Jourdain comme Mamamouchi, dans l’acte IV, ressemble à l’histoire de Charles Sorel : M. Jourdain

sur scène. L'identification au théâtre permet d'instruire, de mettre en garde et de réaliser une réflexion sur soi-même. Nous avons démontrer que s'identifier à un personnage nous aide à mieux le comprendre, cela délivre également d'autres aspects du texte. Nous allons voir qu'au contraire, instaurer de la distance est indispensable pour juger de manière objective. En effet garder une distance public-personnage permet de garder à l'esprit que le texte de théâtre est généralement une

données par le paratexte. ⇨ source biographique : attention à ne pas faire simplement un récit de la vie de l’auteur qui n’aurait rien à voir avec le texte = les informations doivent être pertinentes, c’est-à-dire éclairer le texte ou l’un de ses aspects (pourquoi ou pour qui il a été écrit, dans quelle circonstance particulière de la vie de l’auteur…) ⇨ contextes historiques et sociologiques (texte évoquant un événement historique, une classe sociale, un problème de société ? quelle image en

genre littéraire en vogue au XVIIe siècle. Le burlesque est caractérisé par l'emploi de termes comiques, familiers voire vulgaires pour évoquer des choses nobles et sérieuses (héroï-comique le décalage inverse, qui consiste à traiter un sujet vulgaire en style noble). Le sens du mot a évolué au cours des époques et selon les arts concernés). « Burlesque » se dit aujourd'hui couramment pour désigner un comique exagéré, extravagant qui repose généralement sur un décalage entre la tonalité et le sujet traité

pièce, mais elle n'est jamais ridiculisée et a quand même joué un rôle d'intrigante envers monsieur Jourdain à la fin de l'histoire. Lucile est la fille de M. Jourdain. Elle représente dans cette pièce, un des principaux contrastes. Elle garde les aspects fragiles de la jeune fille amoureuse, naïve. Nicole, la servante, forte de son rire et de son caractère paysan, parle devant son maître d'une façon décontractée et sans complexe, comme la plupart des servantes apparaissant chez Molière. Cléonte

le décoder, tout au moins l’enseigner, ce qu’il n’indique pas clairement. Apprendre les signes et savoir les détourner, s’en servir à double sens est pourtant l’art du libertin, ce pour quoi on le dit diabolique. Cet usage du langage cache tout un aspect superficiel du libertinage, qui joue avec les apparences, et peut-être s’emprisonne dans son masque. Dans la perspective d’analyser la pertinence de cette définition nous examinerons le projet libertin d’abord en tant qu’éducation des circonstances

compose de dialogues et se caractérise par la double énonciation (les personnages dialoguent entre eux, mais à travers leurs paroles, l'auteur s'adresse aux spectateurs). La double énonciation se manifeste notamment dans le quiproquo (malentendu comique, le spectateur connaissant ce qu'ignore le personnage) et l'ironie tragique (le héros tragique ne discerne pas la menace qui pèse sur lui et dont le spectateur est informé). LES DIFFERENTES REPLIQUES - une tirade est une longue réplique; - une stichomythie