Les Apports Et Les Limites Du Modèle Taylorien

La diversité des compétences requises : le savoir être (leader charismatique), le savoir faire (maitriser son domaine) III/ Le management dans son contexte A / La diversité des modes de management Il n'existe pas de modèle de management unique, idéal mais une multitude de modèles spécifiques à chaque organisation. ( =la contingence) Le mode de management varie en fonction de l'age, la taille de l'org. de l'environnement, de sa technologie, de sa structure, de la composition du capital. Exemple

hiérarchique de Fayol 2. Structure fonctionnelle de Taylor 3. Structure hiérarcvhico-fonctionnelle 4. Structure matricielle ii. Les configurations structurelles flexibles 1. Pyramide inversée 2. Structure poly cellulaire 3. Entreprise en réseau c. Modèles organisationnels i. Ecole classique de management ii. Ecole des relations humaines (Mayo) iii. Ecole sociologique iv. Ecole managériale 2. L’individu dans l’organisation a. L’individu au travail i. Approche par caractéristiques psychologiques ii.

accomplissent une carrière, doivent obéissance à leur supérieur hiérarchique et travaillent dans un secteur spécialisé. Cette définition correspond au sens wébérien du concept de bureaucratie. Cette dernière apparaît ainsi comme la plus conforme au modèle de la rationalité légale, notamment parce qu'elle s'appuie sur des règles juridiques, permet une meilleure prévisibilité et repose sur un savoir précis. Mais des dérives de la bureaucratie ont également été mises en évidences par les sociologues

69 Comment la communiquer ............................................. 69 Le déploiement de la démarche ..................................... 70 VI © Groupe Eyrolles Chapitre 5 – Élaborer le modèle de la cohérence stratégique interne .................................... 49 Le modèle est une dynamique ....................................... 49 Hiérarchiser et faire du lien ............................................ 49 Les étapes de construction de la cohérence stratégique interne

Introduction du chapitre 2 A. Le sommet stratégique B. Les subordonnées C. La culture organisationnelle n Conclusion du chapitre 2 Illustration : le modèle l Oréal n 2 Introduction du chapitre n Le dirigeant est un homme qui gouverne d autres hommes. Quels que soit son génie, quels que soient les progrès rendus possibles par les multiples modèles, la contrainte humaine est là, présente. La stratégie doit être mise en uvre par une collectivité humaine. L action collective passe par le cerveau humain

Division du travail // Taylor - Hiérarchie importante : chaque personne rapporte à son supérieur sans sauter la ligne hiérarchique (différent de Taylor) 7 - Centralisation des pouvoirs  Ils sont tous dans une seule main. Il va proposer un modèle caractérisé par un clivage : dirigeants (autorité naturelle) + exécutants (// Taylor). Nouveauté : Il y a 5 fonctions de la direction ou responsabilités clés du chef : prévoir, organiser, commander, coordonner et contrôler. Un dirigeant obtient les

en double relation avec les individus et les normes du groupe. Cette stratégie correspond à une logique d'acteurs, qui se traduit par des relations quotidiennes de pouvoir, d'origine organisationnelle ou culturelle. Le choix du modèle interactionniste Dans le modèle interactionniste, les normes changent en fonction du déterminisme de l'environnement individuel, du système global et de l'intention stratégique de l'acteur. Finalement, il s'agit de comprendre les stratégies des acteurs en fonction

précision et, bien sur, une stricte hiérarchie (Cf. F. KAFKA "le château" ou "le procès"). Ce modèle, selon Weber, est à la fois le plus efficace et le plus égalitaire : chacun est traité de la même manière. L'absence de sentiments humains est la garantie même de l'équité. En lui conférant une légitimité juridique, Weber garanti à cette bureaucratie une totale indépendance vis-à-vis du pouvoir politique. Le modèle bureaucratique weberien a inspiré l'organisation des grandes administrations (et la rédaction

doit profiter à l’ensemble de la nation. Les deux sont d’accord sur un point : c’est l’importance du travail. Le travail comme source de la richesse. Chez Marx, le travail est l’objet d’un conflit entre salariés et capitalistes. Le capitaliste apporte les moyens de production. Les salariés apportent leur force de travail. La rencontre entre les 2 (travail et capital) est l’objet d’un conflit qui porte sur la répartition des fruits du travail.
Pour Marx, cette répartition se traduit par la théorie

associés aux objectifs de l’expérience, d’avoir pu exercer un minimum d’initiative et de s’être sentis solidaire d’un groupe où règne l’émulation interne a eu un effet bénéfique sur la productivité des employées. Ceci rompt avec l’hypothèse taylorienne de l’intérêt individuel. Critique : De plus, d'autres peuvent se trouver très à l'aise dans des tensions conflictuelles. Par ailleurs, l'O.D. en particulier, mais plus généralement l'ensemble de la théorie, repose sur une foi non prouvée et un