Les Apports De Keynes

prix : concurrence pure et parfaite, il faut que l'offre et la demande soient élastique : forte croissance de la demande et diminution quand les prix baisses. C'est le principe établi de l'offre et de la demande. 2‐Macro‐économie Ce que conteste Keynes et les Keynisiens c'est l'idée néoclassique selon laquelle l'équilibre se réalise automatiquement sur tous les marchés, par un mécanisme que vous venez de voir, la flexibilité des prix. Les arguments développes par les keynésiens sont multiples

Alfred Marshall 1842-1924) F.von Hayek (1899-1992) Microéconomie Gérard Debreu (né en 1921) Kenneth Arrow (né en 1921) Monétarisme Milton Friedman (né en 1912) Nouveaux classiques Robert Lucas (ne en 1937) Keynésianisme John Manyard Keynes (1883-1946) Joan Robinson (1903-1983) Nicholas Kaldor (1908-1986) Synthèse keynésianisme/néoclassiques John.R.Hicks (1904-1989) Paul Samuelson (né en 1915) Ecole des conventions

POLITIQUES ECONOMIQUES PARTIE 1 : TRANSFORMATIONS ECONOMIQUES ET SOCIALES : CONCEPTS FONDAMENTAUX SUR LE FONCTIONNEMENT D’UNE ECONOMIE ET APPORTS THEORIQUES DES DIFFERENTS COURANTS CHAPITRE I : CONCEPTS FONDAMENTAUX SUR LE FONCTIONNEMENT D’UNE ECONOMIE A. Introduction Pour produire des biens ayant une valeur et les répartir on utilise des ressources rares. On évolue dans un monde de rareté rempli de biens économiques. Rareté : état où les biens sont en quantité limitée. Il faut qu’une

endogène (résulte d’une plus ou moins grande activité économique) et création lié à la politique monétaire de la banque centrale (création monétaire exogène, elle dépend de la création monétaire de la banque centrale). Selon l’importance que l’on apporte aux mécanismes, on dira que la création monétaire est endogène ou exogène. La monnaie est essentiellement crée par l’activité de crédit. Cela s’analyse par le bilan de la banque. Toute opération va se traduire par une modification de l’actif et du

ressources rares à usages alternatifs. * Approche du keynésianisme : paradoxe par rapport aux autres approches. La théorie microéconomique nous donne toutes les solutions à un problème, d'un autre côté, nous avons la théorie macroéconomique qui apporte des conclusions inconciliables, il n'y a aucune passerelle entre les deux. 1. Première Partie : La pensée classique : origine et développement Chapitre 1 : Les précurseurs Section 1 : Les courants mercantilistes * Un ensemble

publics peuvent servir l’intérêt collectif = favoriser la production des particuliers en développant les moyens de communications. Le rôle principal de l’Etat est d’assurer le respect de la propriété privée. 4- K. Marx (il a énormément utilisé les apports des classiques mais il n’est pas un classique). C’est le prototype de l’homme du 19e s. Né en 1918 en All et mort en 1983. Il est d’abord un philosophe. Au départ, il était démocrate et est devenu un militant révolutionnaire. Il a voulu mettre

l’ensemble des 44 nations alliées. Un observateur soviétique était également présent. Les deux protagonistes principaux de cette conférence ont été John Maynard Keynes, qui dirigeait la délégation britannique, et Harry Dexter White, assistant au secrétaire au Trésor des États-Unis, qui avaient tous deux préparé un plan d'ensemble. Le plan Keynes fut ébauché dès 1941 et préparait un système monétaire mondial fondé sur une unité de réserve non nationale, le bancor. La partie américaine mettait en avant

fonction du travail fourni. • - c - Le keynésianisme: • Il tire son nom d'un économiste britannique, John Maynard KEYNES. Sa théorie connaît son essor dans le contexte de la crise de 1929, à un moment où la théorie libérale atteint ses limites dans la résolution de cette crise. • Les fondements de la théorie keynésienne sont : • Les dysfonctionnements du marché livré à luimême : Keynes démontre que, contrairement à la théorie classique, le marché n'est pas capable de s'autoréguler, et que les déséquilibres

modèle néoclassique d’une économie concurrentielle, le chômage est décrit comme « volontaire » ou frictionnel. On dit qu’il est volontaire lorsqu’un individu refuse un emploi qu’il juge insuffisamment payé alors que le surplus de production qu’il apporte à l’entreprise ne peut permettre de lui accorder une rémunération supérieure. Dans l’optique néoclassique, le chômeur fait alors un arbitrage entre les avantages du travail (le salaire, la sociabilité) et les désavantages (le coût des transports,

gouverneurs, qui siège à la Banque centrale européenne (BCE). Ce Conseil est constitué d’un bureau dirigé par Jean-Claude TRICHET à la tête d’un directoire. Le maintien de la stabilité des prix doit être atteint (objectif principal). Le SEBC peut apporter son soutien à d’autres objectifs tels la cohésion sociale et l’emploi[10] (objectifs secondaires). Il y a donc une véritable hiérarchie dans les objectifs. L’objectif va jusqu’à être quantifié avec l’IPCH (indice des prix à la consommation harmonise)