Les Apports De Keynes

2.1) Les qualifications macroéconomiques de l’intervention publique chez Keynes. Selon Keynes, si on laisse fonctionner librement l’économie de marché, par toute une série de raisons d’ordre structurel, la situation qui va apparaître est un équilibre de sous-emploi. On va voir apparaître un écart déflationniste. On n’aura donc pas une pleine utilisation des facteurs de production. L’objectif de Keynes est de revenir vers l’équilibre de plein-emploi pour satisfaire les dépenses publiques

employeurs. Protection de l’emploi : Tous les coûts de licenciement. Salaire minimum : il limite la flexibilité des salaires réels. Allocations chômage. 11 Chômage = L* - LD’ Le chômage ne provient pas d’une insuffisance de débouchés comme chez keynes. L’idée que les entreprises sont dis exposées à embaucher plus de travailleurs et elles pourraient écouler sans difficultés la production supplémentaire mais elle ne le font pas car ce n’est pas rentable avec un salaire réel = W/P*. Elles préfèrent

penser que c’est la continuité du mouvement classique. Cependant, il y a une rupture et non pas une continuité. On appel utilité marginale, relativement à un individu et un bien donné, le supplément ou l’accroissement d’utilité ou de satisfaction apporté à l’individu par l’entrer en possession d’une unité supplémentaire du bien en question. L’utilité marginale suppose mesurable la satisfaction de chacun, les économistes emploient se qu’ils appellent une fonction d’utilité : U. C’est une fonction qui

attentant aux libertés individuelles, le confortent dans sa conviction personnelle d’un libéralisme économique social et non dans un socialisme libéral. * T.R. Malthus, en s'appuyant sur le rôle fondamental de la demande, et annonçant en cela Keynes, entrevoit une possibilité de déséquilibre. Il met en cause la loi des débouchés (Say) en affirmant que la demande peut être inférieure à l'offre. Dans les faits, il n’est pas du tout vrai que les produits soient toujours échangés contre du travail

à faire : Dresser le bilan de la Banque centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO) VI -LA DEFINITION DE LA MONNAIE 6-1) La théorie Le problème de la définition de la monnaie est de regarder ce que la théorie peut nous apporter. Cette approche de la théorie nous amène deux éléments de réflexion : a) Définition de la monnaie basée sur ses rôles distinctifs Nous savons que l’actif monétaire doit pouvoir jouer les rôles de moyens d’échanges et de réserves de valeurs. Du

chez Smith. A) La division du travail La 1ère question que se pose Smith au début de son ouvrage est de savoir quelles sont les causes de la richesse des nations. Il identifie deux facteurs : « L'habitude, la dextérité, l’intelligence que l'on apporte au travail » : la puissance productive et la proportion entre travail productif et travail improductif. C'est le travail qui consiste à produire des biens physique (travail productif). Le facteur déterminant est la puissance productive. L'exemple

laquelle l´ATR réagissait. L´ATR s´en efforce en intégrant des dimensions sociale, institutionnelle et historique. Ce courant de recherche se formait autour de Michel Aglietta et Robert Boyer qui en étaient les premiers creusets, Benjamin Coriat qui a apporté des aspects plus sociologiques et Bruno Amable qui a exprimé le point de vue marxienne (dans son livre Les cinq capitalismes). Mais c´étaient Gérard De Bernis qui a introduit la régulation comme le mot. Il l´a tiré de la biologie et ensuite appliqué

opportunités de profit. Les penseurs de l’époque ne s’attachent pas à décrire des mécanismes économiques mais cherchent à définir leur moralité chrétienne. SAINT THOMAS D’AQUIN (1225-1274): « prix juste ». Activité commerciale légitimée par un apport réel de richesse au produit via sa transformation, son transport ou par son caractère vital pour la survie du marchand et de sa famille. II. La naissance de l’économie moderne A. Le mercantilisme Développement des idées mercantilistes

l'expérience des travailleurs sont perdus pour l'entreprise. En termes de salaire, la théorie du “ salaire d'efficience ”, qui résulte d'un approfondissement de l'analyse libérale - et, à ce titre, part aussi de la rationalité des agents -, apporte un autre argument. Si l'on situe les relations employés-entreprises en termes de dons et de contre-dons, le salarié qui a le sentiment d'être “ bien traité ” par l'entreprise, et concrètement bien payé par rapport aux entreprises concurrentes

son analyse, l’évolution de la population et la relation bt l’évolution de la population et des ressources. La population croit beaucoup plus vite que les ressources, insuffisance de la subsistance. Malthus intègre la notion de demande effective. Keynes reprendra cette notion de demande effective et utilisera cette notion pour fonder sa propre théorie. Le demande effective : il s’agit de la demande anticipée par les entrepreneurs à partir de laquelle ils fixent leur demande de production. Comment