Les Apports De Keynes

La flexibilité et chômage  La mondialisation de l’économie et l’apport des technologies de l’information et de la communication ont contribué à faire évoluer le paradigme de développement en prenant en compte deux concepts clés, tels la société du savoir et le développement humain durable. Dans ce nouveau paradigme, le marché du travail sera structuré non plus par la gestion de la tension entre l’économique et le social mais par la recherche de leur complémentarité. Définition des concepts :

historique et intellectuel 2. La « révolution keynésienne » et son interprétation 3. Apogée et déclin du « keynésianisme » 111 111 112 113 Pour aller plus loin : un auteur, une œuvre 29 John Maynard Keynes et la Théorie générale de l’emploi, de l’intérêt et de la monnaie 1. John Maynard Keynes 2. La Théorie générale de l’emploi, de l’intérêt et de la monnaie 115 115 116 Pour aller plus loin : les contemporains 30 Les « post-keynésiens » et l’approche de la circulation 1. La relation

 –  Les  analystes  contemporains  XX°  siècle  .........................................................................  17   2.1  Justification  macroéconomique  de  l’intervention  publique  chez  Keynes  ........................  17   2.2  L'apport  de  Beveridge  ............................................................................................................................  18   2.3  L'économie  du

intéressés à certaines questions économiques, en particulier : la puissance des Etats, l’enrichissement des marchands et le commerce international. A. Smith ne verra dans la doctrine mercantiliste qu’un tissu d’erreurs, d’autres auteurs comme J. M. Keynes estiment qu’il s’agit là de conceptions fondées sur le bon sens. Nous étudierons le mercantilisme à partir de quatre thèmes : l’époque, la doctrine, les variantes nationales et les critiques des mercantilistes tardifs. La période mercantiliste se

favoriser le processus révolutionnaire et conduire à la fin du capitalisme. - La troisième explication est l'explication de Keynes pour qui cette crise est une crise de sousconsommation. Sa pensée économique est née de la crise de 1929 et est exprimée dans son oeuvre majeure : Théorie générale de l'emploi, de l'intérêt et de la monnaie parue en 1936. Cependant, Keynes intervient dans les années 30 en critiquant les politiques de déflation et en prenant le contre-pied de l'analyse libérale conventionnelle

dans de nombreux domaines : militaire, commerce, science, etc…Ainsi, le féodalisme recule petit à petit au profit de l’autorité royale, qui commence elle aussi à perdre son pouvoir absolu dès 1214 avec la Magna Carta. La révolution industrielle apporte une croissance sans précédent, tirée par de nombreuses innovations, contredisant la loi des rendements décroissants associée à la stagnation des niveaux de vie de Malthus qui gouvernait jusque là. Le progrès technique (Solow) est si important que

néoclassique : on peut comprendre la globalité en s’intéressant aux comportements individuels. Analyse keynésienne : ce qui se passe au niveau global n’est pas applicable au niveau individuel. Le point de départ de la macroéconomie, c’est l’ouvrage de Keynes, «  la théorie générale de l’emploi, de l’intérêt et de la monnaie », publié en 1936. En 1936, c’est la plus grande crise économique de l’histoire née en octobre 1929, a la bourse de NYC. Cela débute par un effondrement des cours de bourse (Krach)

quand la demande baisse de moins de 10 %, on dira que la demande est inélastique Exemple : le carburant, le tabac 3 - La fonction de consommation Keynésienne L’école classique s’intéresse à la rationalité du comportement individuel alors que Keynes étudie la consommation au niveau macroéconomique, au niveau National. Il observe que la fonction de consommation est fonction du revenu national : C = f ( Y ) Il observe la loi psychologique fondamentale : « En moyenne et à la plupart du temps

Les Keynes et les keynésiens Les néo-classiques et les classiques : leurs points en commun sont le rôle du marché Ici on ne peut pas faire confiance au marché, ni aux mécanismes Keynes donne une place au rôle de l’état et ça c’est très important, car l’état a était oublié, car la naissance des théories classique, prône le libéralisme, mais sur le plan humain, les thèses libérales ( 18/19 siècles ) dans ce cas la l’état qui avait le mauvais rôle s’étant transformé au 19eme c’est Keynes qui lui

point le plus manifeste entre l'analyse de Keynes et de Marx car on peut évoquer le processus d'accumulation entre les deux sections. On peut évoquer la thèse de Marx à la sous-consommation car il y a une tendance du capitalisme c'est la tendance à la paupérisation du capital. Face à ces problèmes de débouchés la tendance est de dire que ce sont toutes les entreprises impérialistes qui vont trouver des débouchés ailleurs. Conclusion : Les apports de Marx au niveau de la croissance montre