Les Apports De Keynes

Les principaux courants de pensée économique Mots clés : Boyer Robert Démarche normative Demande effective Division du travail Ecole de Chicago Ecole de l’économie de l’offre Ecole de l’économie publique Equilibre économique Individualisme Intérêt Keynes John Maynard Liberté économique Loi des débouchés Lucas Robert Marx Karl Modèle homo oeconomicus Néo-keynésiens Nouvelle école classique Plus value Rente foncière Ricardo David Salaire Say Jean Baptiste Smith Adam Théorie de la valeur Théorie quantitative

mondiale de richesses et l’étendue des marchés. John Maynard Keynes (1883/1946) Présentation : anglais ayant étudié les mathématiques mais principalement intéresse par l’économie, il participe aux discussions sur le traité de Versailles mais n’est pas satisfait par le dénouement de ce dernier. Keynes fonde la macroéconomie moderne et participe à la conférence de Bretton Woods. Résumé Cours : I) Sous-emploi et demande selon Keynes A : Une nouvelle analyse du chômage L’analyse libérale ne

filet de protection. De plus ce système vise à réduire les inégalités mais aussi à stimuler la croissance en dynamisant la demande. Selon John Maynard Keynes les impôts incitent à travailler davantage et a être plus productif pour gagner un revenu équivalent a celui que serait son revenu sans impôts. Donc sa Théorie Générale, il évoque que cela stimule la demande et donc la croissance. Une répartition

les revenus. Externalité : effet externe à l’agent Quel auteur va ê le premier à préconiser l’intervention de l’Etat ? Dans notre société, on a des biens indivisibles qui sont nécessaires à la collectivité mais pas indispensable en privée. Avec Keynes va poindre l’idée que l’Etat a une légitimité. A partir de là, le rôle de régulateur de l’Etat va être acceptée. C’est avec l’émergence de la pensée keynésienne que seront mises en évidence les nouvelles missions de l’Etat en matière de régulation

: les causes sont-elles endogènes ou exogènes ? Quelle est la place des phénomènes monétaires et financiers ? Il y a indéniablement multi-causalité ; il n'empêche que beaucoup d'études théoriques n'abordent qu'un point précis. Chaque théoricien apporte sa pierre à l'édifice et il y a peu de vue globale. Ainsi, l'enjeu de cette analyse est d'en connaître les origines pour favoriser l'essor et limiter la crise. I. LES CAUSES EXOGENES Les causes exogènes renvoient à des phénomènes extérieurs

keynésienne John Maynard Keynes (1883-1946) observe la grande crise des années 1930 et considère que les mécanismes autorégulateur du marché ne peuvent permettre de résoudre les problèmes de chômage et de déflation c'est-à-dire une baisse cumulée des prix et de la production. Keynes ne résonne donc pas en termes de marché mais sous un angle du circuit économique qui met en relation les grandes variables économiques. Keynes se trouve donc en rupture avec l’approche néoclassique. Keynes effectue un raisonnement

*Les néoclassiques s’inscrivent ainsi dans la lignée des classiques. En effet, on montrera d’abord que des lois économiques sont communes aux deux courants de pensée avant de mettre en exergue les approfondissements que les marginalistes ont pu y apporter. A) Des lois économiques communes : D’abord, les néoclassiques comme les classiques s’accordent sur les bienfaits du commerce extérieur et de l’échange marchand entre les nations. Ils s’opposent donc aux mercantilistes qui pensent que les termes

Les fuites monétaires et le rôle de la Banque Centrale 3) La théorie quantitative de la monnaie 53 53 53 53 54 55 56 56 58 59 VIII . Le modèle IS-LM I Keynes et la remise en cause du modèle néoclassique 1) La remise en cause des postulats classiques 2) Les principales hypothèses méthodologiques de Keynes. II Le multiplicateur Keynésien III Le modèle IS-LM de Base 61 61 61 61 62 62 I . Objets et Méthodes de la Macroéconomie Introduction : -Quel est le taux

économiques placent la rationalité au cœur de leurs recherches. En témoigne le nombre de prix Nobel attribués aux économistes qui ont consacré la majeure partie de leurs travaux à l’analyse des choix individuels, je cite entre autres (John Maynard Keynes en 1974, Herbert Simon en 1978 et Robert Lucas en 1995). Au fait, la question n’est pas uniquement du ressort de ces célèbres économistes ; car l’actualité regorge d’évènements qui ne manquent pas d’interpeller quant à la présupposée rationalité des

est incertaine. L’économie keynésienne est monétaire, caractérisée par une tendance au déséquilibre à court terme. L’intervention de l’Etat peut dès lors être nécessaire pour garantir des objectifs tels que le plein-emploi. Attention, en aucun cas Keynes ne souhaite une intervention constante de l’Etat. I) L’apparition des économies de marché L’économie marchande repose sur l’échange monétaire et recouvre deux réalités : - « L’économie marchande simple »(Marx), est composée de petits producteurs