Les Apports De Bale Iii

La Voix de Finance Numéro 2 Numé Mars 2012 Le journal interne des collaborateurs Finance Le Dossier du Trimestre - De Bâle I à Bâle III Au sommaire : Le Dossier du Trimestre : De Bâle I à Bâle III p.1 à 12 - Introduction - Les évolutions règlementaires - Bâle chez BGL BNPP et Finance Dans notre 1ère édition, nous avons pu constater à quel point les évolutions considérables des 40 dernières années dans le monde de la Finance avaient bouleversé les outils et méthodes de travail

Financières Les Accords de Bâle I Rédigé Par : Daoudi Mohammed Amine Sekkali Badreddine El Miloudi Wiam Année Universitaire 2011-2012 Encadré Par : Mr Bentahar Abdellah Les Accords de Bâle I Sommaire Introduction……………………………………………………………………………......3 Axe I : Historique du comité de Bâle ………………………………..…………….....…..4 I – Naissance du comité de Bâle……………………………………………………..…..4 1- Naissance du comité de Bâle …………………………………………….......….4 2- Présentation du comité de Bâle……………………………………………….....5

dimension publique. Pour commencer, il est alors essentiel de définir le contexte actuel afin de mieux saisir toute l’ampleur de la question à traiter. Le concept de solvabilité à toujours était présent dans la sphère financière et bancaire (Bâle I date 1956), et repose sur un principe fondamentale qui doit être respecté: un établissement de crédit ne peut prêter au-delà de ces réserves et donc dépasser un ratio imposé afin de ne pas mettre en péril l’épargne de ses clients. Seulement, en vue

Internationaux (BRI) dont le siège est à Bâle (Suisse) a établi des  que toutes les banques doivent respecter.  : un ratio est un rapport, une fraction, qui s’exprime par un pourcentage. Les règles du Comité de Bâle Un premier ratio a été créé dès 1988. On l’appelle ratio de  (ou ratio Cooke) : Ce ratio se mesurait en comparant le niveau des engagements d’une banque (crédits et autres placements) au montant de ses fonds propres (capital apporté par les actionnaires et profits de la banque)

L'impact de Bâle III sur le financement des PME www.cefip.be Autres études CeFiP : Rapport Octroi de crédit 2011 et versions antérieures: http://www.cefip.be/FILES/FR/9_1_octroi.html 15ème baromètre CeFiP – février 2012 et versions antérieures : http://www.cefip-kefik.be/FILES/FR/10_7_KeFiK_en_de_crisis.html Enquête Financement des PME 2010 et versions antérieures : http://www.cefip.be/FILES/FR/9_2_enquete.html Études CeFiP à venir : Cartographie de la transmission d'entreprises en Belgique

Deutsche Bank, European Banking Association, French Banking Federation, Goldman Sachs et JP Morgan Chase, les grandes agences de rating. Propositions du comité de Bâle 1) Amélioration du capital des banques Le comité de Bâle entend ici s’attaquer à la qualité des fonds propres. Les capitaux propres représentent l'argent apporté par les actionnaires à la constitution de la société ou ultérieurement. Il était jusqu’ici possible pour les banques de choisir ce qu’elle décidait de considérer à

.......................................................................... 9    Chapitre I : les accords de Bâle et le risque de crédit ................................................................................. 13  Section 1 : Bâle I et la réglementation algérienne .................................................................................. 14  Section 2 : les accords de Bâle II « une analyse du contenu » ................................................................ 20  Section 3 : le système de notation interne

2.3. Banque de Financement et d’investissement…….…………………...11 3. Objectifs du groupe Société Générale……….……….……….……………13 II. LA REGLEMENTATION BANCAIRE : BÂLE……….……….……….………17 A. 1988 : Bâle I……….……….……….……….……….……….…...…….……17 1. Les risques……….……….……….……….……….……….……...…….17 2. Le ratio……….……….……….……….……….……….……….……….18 B. 2004 : Bâle II……….……….……….……….……….……….………..……19 1. Les piliers……….……….……….……….……….……….…………….19 1.1. Pilier I : Les exigences minimales en fonds propres pour couvrir le

fonctionnement des marchés financiers. Le secteur bancaire est, actuellement, un des secteurs les plus règlementé. Il existe des garanties autres que la règlementation prudentielle pour limiter la propagation des crises systémiques et les risques apportés par les institutions financières. Ainsi, la banque centrale peut jouer son rôle de « prêteur en dernier ressort » en apportant une aide financière à une institution en crise mais encore considérée comme solvable. Il existe également un moyen d’action

la mise en œuvre de Bale II : On admet que le processus est complexe pour se confronter aux dispositions de l’accord de Bale II. C’est l’une de ces importantes initiatives d’affaires stratégiques qui nécessitent l’appui de tous les intervenants du métier (les autorités bancaires, les dirigeant des organismes financiers, les cadres des métiers…) pour aider à la planification, à la détermination et la mise en place des processus nécessaires. L’accord de Bale II nous apporte des contraintes méthodologiques