Leibniz Ph00

l’universalité de sa loi et en chercha toute les conséquences. Il publia ses résultats en 1686 dans « Philosophiae naturalis principia mathematica ». Sur le continent, la philosophie cartésienne(3) étant largement répandue, l’écrit fut très mal accueilli : Leibniz(XI) se posa comme adversaire alors qu’Huygens ne leur fit crédit que pour les astres. Malgré tout, Maupertuis(XII) et Voltaire(XIV) lui accordèrent crédit. En Angleterre, Newton fut couvert d’honneur. Charles II étant mort, Jacques II monte sur le

La vision qui nous est montrée par Voltaire de cette guerre est alors d’une part esthétique, mais il faut évidemment relever le ton ironique, car ici, le philosophe critique l’optimisme défendu par Leibniz, en comparant la guerre à un spectacle divertissant. Nous avons alors montré comment Voltaire valorise ironiquement cette guerre, mais il nous montre ensuite une vision cruelle et pathétique de celle-ci. C’est une vision réaliste de l’horreur du

décembre 1642 J – 20 mars 1727 J)N 1 est un philosophe, mathématicien, physicien,alchimiste et astronome anglais. Figure emblématique des sciences, il est surtout reconnu pour sa théorie de la gravitation universelle et la création, en concurrence avec Leibniz, du calcul infinitésimal. En optique, il a développé une théorie de la couleur basée sur l'observation selon laquelle un prisme décompose la lumière blanche en unspectre visible. Il a aussi inventé le télescope à réflexion composé d'un miroir primaire concave appelé télescope

"Harmonie" / "enfer" => contraste, antithèse. Lorsqu’il décrit les attaques, il utilise un ton très sec, purement objectif. Le narrateur se contente de citer les faits sans indignation, ce qui est plus efficace. Il y a quelque part une critique de Leibniz avec des phrases ironiques "ôta du meilleur des mondes environ 9 à 10 000 coquins qui en infectaient la surface". Il veut dire par ici que Si "tout va bien dans le meilleur des mondes", les morts ne peuvent être que des "coquins" mais es ce une raison

L’un des objectifs de Candide ou l’Optimisme, conte philosophique de Voltaire (1759), est la critique de l’optimisme métaphysique de Leibniz qui, simplifié par certains de ses disciples, affirme que notre monde est le meilleur des mondes possibles. Pour dénoncer cette conception à ses yeux erronée, Voltaire ménage des rencontres et des voyages à son héros qui, du paradis illusoire du château de Thunder-ten-tronckh à la morale plus réfléchie du jardin final, en passant par le pays d’Eldorado, va découvrir

transformant e e a les multiplications en additions. Newton, en essayant de g´n´raliser la formule du binˆme au cas n´gatif ou e e o e non entier, invente le d´veloppement en s´rie: e e 1 = 1 − x + x2 − x3 + x4 − x5 . . . 1+x Il invente aussi, avec Leibniz, le calcul diff´rerentiel et le calcul int´gral, et r´sout les premi`res ´quations e e e e e diff´rentielles. e Tout le 18`me si`cle est occup´ ` r´soudre des ´quations diff´rentielles vari´es, venues en particulier de la e e ea e e e e m´canique. C’est

LE JARDIN - EXTRAIT CHAPITRE 30 ------------------------------------------------- CANDIDE - VOLTAIRE Voltaire a écrit Candide en 1759. Ce conte philosophique appartient au siècle des Lumières. Dans ce conte Voltaire critique la philosophie de Leibniz, où le sous-titre de l’œuvre est Candide ou l’optimisme. Cet extrait correspond à l’explicit, il clôture les multiples péripéties de Candide, il est aussi le remède à tous les maux. Après avoir acheter une petite métairie, Candide consulte un derviche

attaque-t-il l'optimisme philosophique ? Le conte de Candide a été écrit au moment de l’avènement d'une théorie philosophique: ’L’optimisme’ qui se base sur une le fait que ‘tout est au mieux’ dans le meilleur des mondes. C’est cette théorie soutenue par Leibniz (dans ses essais de Théodicée, paru en 1710), que Voltaire veut détruire en confrontant son héros à tous les maux connus du XVIII eme siècle tout au long de Candide. → L'optimisme, qui n'a pas le même sens aujourd'hui (caractère, tournure d'esprit

à 6 ans, il est suivi par son professeur de philosophie morale à l’Université de Leipzig. Celui-ci lui apprend à lire, mais Leibniz, enfant précoce, affirma avoir appris par lui-même le latin. En 1663, il obtient son baccalauréat en philosophie ancienne et étudie à Iéna. Il a entre autres, comme professeur, le mathématicien et juriste Erhard Weigel (en). Plus tard, Leibniz écrira une théorie de la « jurisprudence naturelle », à savoir l'invention d'une théorie des probabilités en droit. Il entre

machine à calculer (la Pascaline) qui pouvait traiter les additions et les soustractions. Figure 1 : La Pascaline de Blaise Pascal Source : Internet / www.lessupersordinateurs.com En 1673, le mathématicien allemand Gottfried Wilhelm Von Leibniz réalise une machine dérivée de la pascaline mais capable de traiter les multiplications et divisions. Son compatriote Hahn invente en 1770 la première machine à calculer exécutant directement les quatre opérations (fondée sur le cylindre inventé par