Lecteur S Identifie Au Héros

épée »). Un Oxymore : C'est une alliance de mots dont le rapprochement est inattendu. L’oxymore fait coexister deux termes de sens contraires. Ex : dans Le Cid de Corneille : « Cette obscure clarté qui tombe des étoiles […] » (acte IV, scène 3). Identifier le registre littéraire Lyrique | Expression mélodieuse de sentiments intimes de l’auteur. Champs lexicaux du sentiment. Présence de je/tu. Ponctuation expressive. Langue soutenue | Épique | Affrontement à des forces qui dépassent

d’un écrivain et d’une production.: 1. L’écrivain. 2. La production algérienne. II- Réception de La Colline oubliée: 1. Une lecture politique. 2. Une lecture thématique. III- L’inscription du lecteur dans l’écriture 1. Le glossaire: lecteur étranger et traduction. 2. La présence du lecteur naturel. 3. Un lecteur fictionnel. Conclusion. Bibliographie. Page 1 6. 7. 12. 17. 18. 30. 41. 42. 49. 53. 56. 60 2 Présentation du travail On parlera de littérature algérienne avec le roman de Mouloud

Le récit enchâsséRécit 1ere personneDimension autobiographique, mémorielle, au récit de FrankensteinNarrateur s’adresse directement à son interlocuteur => récit oral entre F et W, avec différentes tonalitésCrée un effet de proximité entre lecteur et narrateur + effet de vraisemblance (car qqn rapporte les paroles que qqn a rapporté) 2. Les préparatifs de la naissance de la créature Prépare lentement le moment où F va donner naissance à la créatureIdée longuement préparée

façon originale de traiter son sujet et c'est justement pour cela qu'on l'étudie. Des problématiques possibles pourraient être ainsi : En quoi ce début annonce-t-il bien un roman réaliste ? Comment cet incipit parvient-il à déstabiliser le lecteur ? Dans quelle mesure ce début de roman fantastique crée-t-il une ambiance typiquement romantique ? Dans quelle mesure cette scène d'exposition rompt-elle avec la tradition ? Comment cette scène d'ouverture a-t-elle pu provoquer le scandale lors

I) A) Ds antiquite -> notion de heros est bien complexe et peut etre aussi bien : - mythique en ayant 1 rapport avec le monde des dieux que - legendaire- fictif - reel avec 1 lien avec l’histoire antique Il est tres connu pour accomplir de nombreux exploits extraordinaires et pour lutter raremt pour lui^m ou pour sa gloire, il defend surtout des valeurs, son roi, sa patrie, sa famille, 1personne aimee. Il est aussi rarmt un hero parfait et a des

Armstrong, recon­ nue pour ses ouvrages portant sur les grandes religions, répond à ces ques- N* 105 . NUIT BLANCHE . 60 tions avec force exemples dans Une brève histoire des mythes1, traduit de l'anglais par Delphine et Jean-Louis Chevalier. Elle identifie six grandes périodes, allant du paléolithique (20 000-8000 ans avant J . -C) , qui correspond à l'époque des chasseurs, à la « grande transformation occidentale » (1500-2000 ans après J.-C.) qu'est celle de « l'enfant du logos ». Dès la fin

parental, prétention aux beaux usages et satire de la pédanterie. Parmi ses grandes pièces, seul l'Avare (1668) est fondé sur la déviance pathologique d'un personnage. Définitions globales devant être connues Adjuvant : personnage qui aide le héros dans un récit, contraire de l’opposant. Alexandrin : vers de 12 syllabes le classique comprend quatre coupes avec un arrêt à l’hémistiche. Allégorie : Figuration d’une abstraction par une image, souvent par un être vivant= personnification Allitération

"causalité narrative". 6. Tout récit comporte une sorte de "morale", que celle-ci soit exprimée ou sous-entendue. On ne raconte pas "pour rien": même les faits divers de journaux ont certaines finalités — inciter à la prudence, exploiter le goût des lecteurs pour le sensationnel, amuser... Fonction symbolique donc. Ces critères sont énoncés dans l'ouvrage de Jean-Michel Adam, Le récit, Collection "Que sais-je?" N°2149. 1.4 TYPOLOGIE DES RECITS Deux grands groupes : véridiques et fictifs. On

double fonction : divertir et instruire à un divers public. A un premier niveau de lecture, l'apologue propose une histoire généralement simple, ordinaire avec des personnages représentatifs d'une société. Un second niveau de lecture doit amener le lecteur à interroger son sens, à en dégager la valeur symbolique et les enseignements qui peuvent en être déduits. Ce qui est exactement la définition d’une fable. Celles de La Fontaine sont donc des apologues. Il le dit lui-même : dans la Préface de Fables

exil ne l’empêche pas d’effectuer chaque année un voyage, notamment au Luxembourg et dans la vallée du Rhin.En septembre 1870, quand la défaite de la France contre la Prusse conduit à la troisième République, il est accueilli en héros à son retour en France. Accueilli en héros, il reprend la lutte, mais ne reste député à l’Assemblée (alors à Bordeaux) qu’un mois. Puis, quand il se représente, à plusieurs reprises il est battu jusqu’à son élection comme sénateur en 1876, fonction interrompue par la dissolution