Le Vieux Fusil

Les populations répondent en patriote à la mobilisation et quand sonne le tocsin de la mobilisation dans les villages, les hommes abandonnent tout pour aller combattre sur le front. A l’arrière restent les hommes trop jeunes ou trop vieux pour servir leur patrie, les femmes et les enfants. Les civils sont alors mobilisés pour soutenir l’effort de guerre. Thème 1 : « Mobilisés pour combattre. » Lorsque la mobilisation est décrétée le 1er août 1914 , elle trouve une opinion marquée

agenouillé m’a pris les épaules, il m’a fixé de ses yeux verts que nous avons en commun. _Tu ne sais pas de quoi ils sont capables. Puis il murmure. Et je ne veux pas que tu le sache. A ce moment-là mon père sorti de la maison par la baie vitrée un fusil à la main, il tira sur un des soldats qui s’écroula parterre dans une flaque de sang et ma mère me vit, elle me fit signe de retourner sous l’eau, mais je ne peux pas m’arracher à ce spectacle, le dernier soldat attrapa violement Carine poussa la

Belgique. Il travaillera dans les mines mais aussi sur d’autres chantiers, devenant charpentier, électricien… empruntant une fausse identité afin de rester sur le territoire belge. A cette époque, et comme beaucoup d’ouvriers, il loge dans un vieux wagon désaffecté. Il s’investi beaucoup auprès de la communauté polonaise fort nombreuse, qu’il aide du mieux qu’il le peut. Son activité politique et syndicale se poursuit également activement. En 1936, quand l’alliance fasciste voulue renverser

par lui briser la nuque, comme il l’a fait pour les chiots de Slim. Pour éviter que son ami ne soit victime de la vengeance promise par Curley, mais sans doute pour mettre un terme à ce qu’il ressent comme un poids, George tue Lennie avec un luger ( fusil dans le temps) dérobé à Carlson. Le premier et les derniers chapitres de ce récit ont pour décor la vallée de la Salinas, ce qui confère au texte une structure circulaire et close, dans l’atmosphère paisible, mais aussi mortifère de « l’eau dormante »

lespeinturesidiotes, dessus de portes, décors, toiles de saltimbanques, enseignes, enluminures populaires ; lalittératuredémodée, latin d'église, livresérotiques sans orthographe, romans de nos aïeules, contes de fées, petits livres de l'enfance, opéras vieux, refrains niais, rythmes naïfs. Je rêvais croisades, voyages de découvertes dont on n'a pas de relations, républiques sans histoires, guerres de religion étouffées, révolutionsdemœurs, déplacements de races et de continents : je croyais à tous les

et attendit. Mais comme elle se faisait attendre et qu'il était fatigué, il s'endormi. Le lendemain matin, il se réveilla avec la femme dans son lit qui lui dit qu'il avait été réveillé par un coq et qu'il pouvait se rendormir. Un fils Deux vieux amis, l'un Sénateur, l'autre de l'académie française discutent de leurs rencontres amoureuses et des enfants qu'ils ont faits. Ils disent qu'ils ont bien dû rencontrer deux à trois-cents femmes et qu'ils ont dû avoir des enfants avec beaucoup d'entre

Le vieux qui lissait des romans d’amour Auteur : Luis Sépulvéda ------------------------------------------------- Personnages principaux  : * Antonio José Bolivar Proaño : le véritable héros de ce récit qui va pourchasser tout au long du récit l’ocelote. * Dolores Encarnacion : la femme de Antonio José Bolivar morte dans le récit avant la première page; nous savons peu d'elle hormis les souvenirs que nous transmet son mari. * Nushiño : l'ami d’ Antonio José Bolivar il meurt tué

une pensée se pense, le monde s'est ouvert. Le poète est passé : un océan consume ses bateaux endormis. La plage est d'or et tous les ors s'allument pour s'offrir aux amis. Le poète est passé : il n'est plus de délire qui ne soit oeuvre d'art. Le vieux corbeau devient un oiseau-lyre. Il n'est jamais trop tard pour vivre quinze fois : si le poète hirsute repasse avant l'été, consultez-le car de chaque minute il fait l'éternité. Alain Bosquet, Un Jour après la vie (1984)  Texte A Dans ce premier

parti en excluant les vieux bolchéviks, lors des grands procès de Moscou (1936/1939) et s’entoure de jeunes communistes dévoués à sa personne. Il veut moderniser le pays à n’importe quel prix ; Une très forte répression frappe toute la société. Staline met en place une vraie terreur de masse : - le NKVD, une police très forte est installée - le Goulag, la direction générale des camps de travaux forcés, et les camps eux-mêmes. Les opposants y sont déportés ou fusillés : 15 000 000 de personnes

fait la connaissance de Baudelaire. De la souffrance, lisible sur le visage des soldats partant au front, décrite par Guillaume Apollinaire dans son poème intitulé « Départ » en passant par « La complainte d’un fusillé » où Jacques Prévert exprime l’attente longue et douloureuse de la mort par un soldat agonisant. Nous pourrions faire également escale dans «  Le bal des pendus » où Arthur Rimbaud tente de sauver, par des paroles gorgées d’ironie, un poète et un