Le Vieux Fusil

jours. Ces trois jours s’appellent les trois glorieux. Tout le monde veut la liberté, le peuple est entrain de mourir dans la guerre exigeant la liberté. C’est une révolution totale dans laquelle participent les enfants, les femmes, les hommes et les vieux. Dans le tableau on peut voir un bourgeois qui est entrain de lutter, ca nous montre que tous les clases sociales sont entrain de lutter par la même cause, la liberté. Dans le tableau on trouve trois symboles de la république: le drapeau de la république

de campagne, demi-brute aimable, d'un caractère gai, doué de cet esprit gaulois qui rend agréable la médiocrité, habitait une sorte de ferme-château dans une vallée où coulait une rivière. Des bois, couvraient les collines de droite et de gauche, vieux bois seigneuriaux où restaient des arbres magnifiques et où l'on trouvait les plus rares gibiers à plume de toute cette partie de la France. On y tuait des aigles quelquefois; et les oiseaux de passage, ceux qui presque jamais ne viennent en nos pays

endormis et couchés. Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête, Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt, Lui que jamais ici on ne vit en défaut, A déclaré tout bas que ces marques récentes Annonçait la démarche et les griffes puissantes De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux. Nous avons tous alors préparé nos couteaux, Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches, Nous allions pas à pas en écartant les branches

au héros et les deux à attribuer à Alban ? (1 pt) a) « Dans cette guerre, je veux sauver la paix de ma conscience, plus que ma peau » b) « Tu ne cherches pas à connaître la raison de cette… connerie ? » c) Tapotant la crosse de son fusil : « Pour nous en sortir ici, c’est en ça que je crois ! » d) « Je prie chaque jour pour que Dieu ait pitié de nous, qu’Il nous protège et nous aide ! » 10) Comment s’appelle la marraine de guerre du héros ? Que craint-il ? (1 pt) 11) Qui fait

lanière de lard. Joseph : Le père de Marcel qui est instituteur et un grand érudit, élevé par l’école républicaine, il demeure complètement anticlérical. Augustine : La mère de Marcel, couturière et très sensible.Ce dernier est riche, mais trop « vieux » pour Augustine, sa sœur. Rose : Sœur d’Augustine et femme de Jules. Jules (Oncle Jules) : Mari de Rose et oncle de Marcel, 37 ans, fonctionnaire à la Préfecture de Marseille et grand chasseur qui roule les « r ». Résumé : Dans cette

l’importance et il a su garder de la considération dans la paroisse. » (p.29) o « Didace ne l’entendit même pas. Une grosse joie bouillonnait en lui avec son sang redevenu riche et ardent. Sa face terreuse sillonnée par l’âge, ses forces en déclin, son vieux cœur labouré d’inquiétude? Un mauvais rêve. Il retrouvait sa jeune force intacte : Didace, fils de Didace, vient de prendre possession de la terre, Il a trente ans. Un premier fils lui est né. Le règne des Beauchemin n’aura jamais de fin. » (p.114)

! Nous n'avions qu'une idée en tête : gagner cette bataille, & en triompher ! Tout d'abord, ce fut les cavaliers qui allèrent de l'avant. Ensuite, l'artillerie suivit : ils étaient armés d'à peu près tout ce qu'ils avaient pu trouver : de vieux fusils, de mousquetons, de baïonnettes.. et d'autres outils dont je n'arrivais pas à me souvenir. Les fantassins fermaient la marche. Ce type de combattant ne faisait pas partie de l'armée avant celle de Louis XVI, laquelle était essentiellement composée

reposer tout l'édifice des Rougon-Macquart est la fameuse pierre tombale qui apparaît trois fois dans le roman. Présente dans les toutes premières pages et dans les dernières, c'est la pierre qui sert de lieu de rendez-vous à Silvère et Miette dans le vieux cimetière désaffecté, et c'est celle sur laquelle le gendarme va fracasser la tête de Silvère (fin du roman). Le mythe fondateur est cette pierre tombale sur laquelle on peut lire "ci-git Marie… morte": Miette (prénom provençal) qui signifie Marie

Le port d’arme existe dans d’autres pays du monde, c’est le cas de la Suisse notamment où toute personne en âge de faire son service militaire conserve un fusil de guerre et souvent un pistolet. Pourtant, jamais personne ne parle de la Suisse pour ces excès, car c’est un pays paisible. La Constitution américaine dit : Une milice bien organisée étant nécessaire à la sécurité d'un État libre, le droit qu'a le peuple de détenir et de porter des armes ne sera pas transgressé. Ainsi, les armes servent

liberté. D’abord, je voudrais vous remercier au nom de toute ma génération qui découvre votre héroïsme et vos souffrances durant cette terrible guerre si meurtrière. Sachez que je vous admire beaucoup car certains d’entre vous, pas beaucoup plus vieux que moi, ont fait preuve d’un courage inouï, un courage que je n’aurais certainement pas eu. En effet, je ne peux pas m’imaginer en train de supporter tous les supplices que vous avez subis : le froid, les hivers, la boue, les rats, le manque d’hygiène