Le Vieux Fusil

montagnes. 3 thèmes du livre : Thème 1 : le mystère Le mystère est un des grands thèmes du livre, car l’histoire que cache Sasseinere est très mystérieuse, au début on voit que les jeunes ne croient pas à ses légendes mais qu’en revanche les vieux sont sure que cette histoire de montagne maléfique est belle et bien réelle. Puis quand tous ces animaux meurent on en connait pas la cause on est encore plongée dans le doute que se soi vraiment à cause de la montagne. Toute la première partie est

gentilhomme de campagne, demi-brute aimable, d’un caractère gai, doué de cet esprit gaulois qui rend agréable la médiocrité, habitait une sorte de ferme-château dans une vallée où coulait une rivière. Des bois couvraient les collines de droite et de gauche, vieux bois seigneuriaux où restaient des arbres magnifiques et où l’on trouvait les plus rares gibiers à plume de toute cette partie de la France. On y tuait des aigles quelquefois ; et les oiseaux de passage, ceux qui presque jamais ne viennent en nos pays

chez Grasset. Le jeune éditeur a du flair et est passionné par le théâtre, il est nommé administrateur du Vieux Colombier. Mais la Grande Guerre éclate, le jeune homme se sent incapable d’y participer et se fait réformer . Il publiera certains de ses amis écrivains tombés au front , Charles Péguy et Alian Fournier, mais aussi le premier roman de Drieu La Rochelle. En 1917, il part avec le Vieux Colombier à New York . En 1918, il crée la Librairie Gallimard , indépendante de la NRF après une querelle

lequel il a été embarqué, les conditions de vie sont déplorables. Pour regagner leur liberté, Amadou et ses congénères se rebellent. Certains réussissent à retourner dans leur village grâce à un canot s’échouant sur une plage Sénégalaise. Devenu vieux et sage, Amadou raconte à ses petits enfants l’aventure qui lui a fait subir l’esclavagisme… Mes chers enfants, je vais vous raconter une incroyable histoire qui s’est passée lorsque j’étais jeune. Un jour, Tamango, un célèbre guerrier et chef de

les soldats dans les tranchées « on s'accroche à son fusil,à son couteau dont le métal oxydé,terni bruni par les gaz ne luit plus qu'à peine sous l'éclat gelé des fusées éclairantes,dans l'air empesté par les chevaux tombés puis du coté de ceux qui tiennent encore à peu près droit dans la boue,l'odeur de leur pisse et de leur merde et de leur sueur, de leur crasse et de leur vomi,sans parler de cet effluve envahissant de rance,de moisi de vieux alors qu'on est en principe sur le front Conclusion

LES CHANTS MODERNES 1 AUX POETES Poètes, croyez-moi 1 ne dites plus : « Ma lyre! » Ne dites plus : « 0 Muse ! » Oubliez ces vieux mots ! Imitez Rabelais quand il disait : les pots ! Au lieu t du dieu Bacchus et de son saint délire ! » Laissez tous les dieux morts dans leurscieux Délivrez-nous enfin de la mythologie; Laissez le vieux Silène et sa pause élargie, Et ses grands boucs lascifs de guirlandes liés! oubliés;' — — 56 Jupiter est sans foudre et Venus est ridée : La Ménade en

Gaulle semble être issu d'une forme germanique (franque ou normande) : De Walle, signifiant le mur (d'enceinte), le rempart, où De = le et Walle = mur, le w germanique ayant évolué en g en roman [2]. Walle provient du vieux saxon wal, qui a donné l'anglais wall ou le danois val. Le vieux saxon wal est un emprunt au latin vallum (rangée de pieux, palissade, rempart), de vallus (pieu). Bien qu'étymologiquement le « de » dans de Gaulle ne semble pas être une particule nobiliaire, le patronyme de Gaulle

Tout au long de la nouvelle il mène à terme des actes héroïques sans leur donner la moindre importance. Son héroïsme est mis en valeur avec l’arme singulière qu’il porte à la main pour attaquer la caserne, un marteau, alors que les autres ont des fusils. La première personne qu’il a sauvé est la femme qui voulait elle-même sauver son fils lors du siège de la caserne de la Montaña, il en a sauvé deux en sauvant la femme. Il sauve des vies à chaque combat qu’il mène, la femme et ses enfants au bord

entrer. Il y avait des hommes, des femmes, des vieux tous criaient « Louis Philippe dehors ! ». Je ne pouvais pas partir, j'ai suivi ce flot, comme happée par le Palais. Ensuite tout est allé très vite. Le flot m'a amené dans la chambre Royale... !!! Tu aurais vu, ma chérie, comme c'était beau ! Tout les, bijoux, les parfums, les parures, les tentures, … je me suis même enduite d'une pommade à l'odeur de rose. Des cris de haines, des coups de fusils puis la Marseillaise... le flot est parti comme

de poussières. Le soleil aux rayons ardents brûlait sa nuque brune. Le pas était beau et fier, ni lourd ni léger. Le paysan était un prince, celui de la terre et de l’effort. Le château était son domaine même si le propriétaire était un autre : un vieux rustre sans éclat, un gros monsieur au cœur sec, à la poitrine démesurée et aux moustaches acérées. Mélange encore doucement le sable et la mer. Avance droit dans mes yeux. Bouscule les habitudes et méprise l’indifférence des âmes sèches. Donne