Le Savoir Me Rend Il Nécéssairement Libre

perfection absolue, celui qui se suffit à lui-même, qui n'a besoin d'être complété par rien[5]. Mais la clarté de cette affirmation s'obscurcit vite lorsqu'on essaie de déterminer les moyens d'y parvenir. « Lorsqu'il s'agit de voir clairement ce qui la rend telle, c'est le plein brouillard » (1, p. 722). Les philosophes rejoignent le sens commun quand il s'agit de constater l'indécision quant à la voie qui conduirait sûrement au bonheur : est-ce l'amour, la santé, le pouvoir, la fortune ? Chacun énonce

liberté intérieure 8 B. La liberté de vouloir 9 C. La liberté de penser 11 D. L’aliénation 12 III. Liberté et déterminisme 15 A. L’affirmation du libre arbitre 16 B. Le libre arbitre est une illusion 17 C. Liberté et déterminisme ne s’opposent pas 19 IV. Liberté et morale 21 A. Tu dois donc tu peux (Kant) 21 B. L’homme est condamné à être libre (Sartre) 21 C. La liberté : un mythe nécessaire ? 22 Conclusion 22 Annexe 23 Quelques idées supplémentaires 23 Quelques illustrations 26 Sujets

positive 5 3. L’esclave et l’enfant 5 4. La liberté d’expression 6 C. Travail et liberté 6 1. La libération par le salaire 6 2. La libération par l’apprentissage (Hegel) 7 3. La libération par la technique (Marx) 7 4. Problème : quand il est enfin libre, l’homme est devenu esclave (Arendt) 8 II. La liberté intérieure 9 A. L’origine du concept de liberté intérieure 9 B. La liberté de vouloir 9 1. La liberté des Stoïciens 9 2. L’indépendance à l’égard de nos instincts (Rousseau, Kant) 10 C. La liberté

l’affaire de la foi, acte de croire ( =/= savoir ) Croire = adhérer à quelque chose sur le témoignage de quelqu’un à qui l’on fait confiance. La foi consiste à adhérer à des vérités sur le témoignage de Dieu, on lui fait confiance car il est parfait (…si on croit) Révélation = initiative qui part de Dieu. La religion part d’une initiative de Dieu vers les hommes. La philosophie part du monde, du moi, de la raison et va vers Dieu. Il n’y a pas nécessairement opposition entre foi et raison, sauf

rendez-vous). Théorie de l’autonomie de la volonté : Doctrine selon laquelle l’obligation contractuelle repose exclusivement sur la volonté des parties. Théorie puisant ses racines dans le libéralisme économique, l’Homme serait fondamentalement libre. Les contrats devraient donc être naturellement justes puisque chacun chercherai à défendre son voulu. Conséquences de ce principe : La liberté contractuelle sur le fond (choix de contracter, du contractant, de ce qui figure dans le contrat)

connaissance. Pourtant le beau n’est-il pas subjectif ?II) Il se pourrait en effet que le beau ne soit pas le vrai, le bien ou le parfait, mais se reconnaisse seulement au plaisir qu’il procure. C’est alors que se pose vraiment la question de savoir si ce plaisir peut être partagé ou s’il n’est pas destiné à rester une expérience solitaire et incommunicable. Pour que le beau ne s’impose pas avec évidence à tous et que la tâche de produire sa reconnaissance prenne tout son sens, il faut reconnaître

raison et son ordre, on les retrouve partout : en logique, en mathématiques, en sciences, dans la société, dans la culture, et … dans l’art ! La raison a donc besoin de reconnaître dans les choses une disposition conforme à ses exigences. La raison rend le monde intelligible car la raison est une puissance de compréhension du réel. Mais n’a-t-elle pas des limites ? La raison peut-elle tout comprendre … Elle est en effet cette faculté de donner sens au monde mais aussi de reconnaître qu’il y a de l’Autre

définition même du nihilisme passif. nihilisme actif : c’est un bon nihilisme. Il met à terre ce qui tombe. Il accélère la chute de ce qui est en train de mourir. Et ainsi, il aide à la renaissance de ce qui est sain. arbitrairement = qui résulte d’un libre choix et ne répond à aucune nécessité logique sporadique = de manière irrégulière fonction du sacerdotal = rendre communes les décisions prises par les puissants et de les faire accepter comme faits irrévocables - de là le pouvoir des prêtres ressentiment

CORRIGÉ DISSERTATION    À la question «     qui suis­je     », puis­je donner une réponse exacte  ? S'il m'est possible de savoir qui je suis, au sens de m'avoir à l'esprit comme objet de pensée,  peut­être m'est­il plus dure de me  connaître, c'est du moins ce que le sujet laisse sous­entendre  lorsqu'il nous propose le défi de  l'exactitude. En effet, je peux savoir qui je suis, soit me prendre  moi­même comme objet de pensée. Mais il m'est plus difficile, voire impossible, de me saisir dans  ma nature­même

S'il m'est possible de savoir qui je suis, au sens de m'avoir à l'esprit comme objet de pensée, peut­être m'est­il plus dure de me connaître, c'est du moins ce que le sujet laisse sous­entendre lorsqu'il nous propose le défi de l'exactitude. En effet, je peux savoir qui je suis, soit me prendre moi­même comme objet de pensée. Mais il m'est plus difficile, voire impossible, de me saisir dans ma nature­même, mon essence­même, de me saisir moi avec toute mes propriétés. Le fait que je sois sans cesse