Le Savoir Me Rend Il Nécéssairement Libre

* L’énoncé se présente sous forme de questions comportant une ou plusieurs notions du programme. * Peut-on tout démontrer ? (démonstration) * Est-on d’autant plus libre qu’on est plus conscient ? (liberté / conscience) * A quoi reconnaît-on un comportement inhumain ? (Nature humaine) * Faut-il quelconque savoir pour être heureux ? (bonheur) * L’Etat est-il l’ami ou l’ennemi de l’individu ? * Quelle est le sens de l’expression : « avoir le droit de » ? I. Introduction

cette souffrance dans le désir, ce qui implique de savoir quel désir peut me faire faire souffrir, quel désir est réalisable et me rend satisfait. Ainsi Epicure a introduit sa philosophie de mesure des désirs. Celui-ci a déterminé deux type de désirs : les désirs naturels et les désirs vains, et parmi eux se trouvent les désir impossibles qui par définition ne peuvent être satisfaits. Dans ce cas, le désir de l’impossible m’apporterait-il nécessairement de la souffrance ? Ainsi nous verrons dans un premier

l’homme à réfléchir sur lui-même et à se transformer : réfléchir =penser ; méditer ; voir son reflet dans un miroir  CS est réflexivité. ETYMOLOGIE : « conscientia » issu du latin et qui renvoie a « cum scientia » > càd accompagné de savoir. Il y a donc une dimension réflexive dans la cs. La pensée est réfléchie donc consciente d’elle même et on ne peut pas confondre la cs avec un simple processus cérébral car le cerveau est juste un support. Processus de cs est spirituel. Cs réfléchie

montrer le rapport Homme/Nature dans la mesure où l’Homme modifie la matière naturelle pour arriver à un objet qui n’aurait pas eu lieu d’être au naturel. L’objet technique à pour vocation son utilisation. Technique : La tekhnè ou technê, désigne le savoir-faire des métiers de l’artisanat ou de l’art, l’action efficace. C’est la transformation de la matière (naturelle). L’objet d’art à pour finalité la beauté. Il résulte aussi d’un travail de la nature et de l’Homme (exemple les couleurs primaires

sujet : Etre libre, c'est, si on le définit spontanément, exercer sa liberté, avoir un rapport au monde caractérisé par cette liberté, en un mot, faire ce que l'on veut comme on le veut. Cette liberté peut se définir de plusieurs manières : ce peut être une liberté de mouvement, une absence de contraintes physiques, mais aussi une liberté de pensée, une liberté de ne pas être touché par certaines choses, de se détacher des contraintes du monde. Donner une définition unique

qui sera paru en même temps que l'épitre sur la tolérance de Locke. (thème: pourquoi n'y a t-il pas de religion civile?) Spinoza: communauté politique basé sur le commerce // contexte hollandais (qui va dans le sens contraire de la concurrence libre et non faussée des allemands) → Comment réduire la part de la concurrence politique? Leibniz est confronté aux enjeux européens: guerre de religion (catholique/ protestant), problème dynastique. Il essaye de faire des traités de paix mais il ne

incompatibles. Comment concilier la spontanéité et la maîtrise de soi ? L’autonomie et l’absence de contraintes ? Comment interpréter cette multiplicité des définitions ? La liberté est-elle indéfinissable ? Partons de la définition la plus commune :  être libre c’est pouvoir faire tout ce que l’on désire. Au premier abord, la liberté se situe au niveau de l’action et se définit comme liberté de mouvement et pouvoir faire. Notre liberté augmenterait avec notre capacité à agir et à satisfaire nos désirs

Être libre, est-ce ne se soumettre à rien ? Inventaire conceptuel Être libre : invite à s'interroger sur l'état de liberté, donc sur la liberté une fois qu'elle est acquise ⇒ il convient d'étudier la liberté effective (réelle), et non la sensation de liberté, ni l'idée de liberté. La liberté peut être conçue de plusieurs façons, et notamment comme licence (latin licet : il est permis) c'est-à-dire comme possibilité de satisfaire tous ses désirs. On peut dire qu'il y a une définition

š› Christiane MENASSEYRE Doyenne du groupe de Philosophie Juin 1999 BACCALAUREAT GENERAL Série Economique et Sociale 1996 š› š› SERIE ECONOMIQUE ET SOCIALE : Groupement 1 – Session Juin 1996 Peut-on être plus ou moins libre ? A quelles conditions une démarche est-elle scientifique ? Dégagez l’intérêt philosophique du texte suivant en procédant à son étude ordonnée : Chacun a pu remarquer, au sujet des opinions communes, que chacun les subit et que personne ne

naissant, il n’y appartient que potentiellement. L’éducation permet donc l’émergence de son humanité. Ainsi, quelle que soit sa déficience, l’enfant appartient à l’espèce humaine. L’autre particularité, c’est que l’accumulation du savoir et des acquis est tellement grande que chaque être humain ne peut se l’approprier que partiellement. Cela veut dire que les enfants déficients, en tant que membre de l’espèce humaine, peuvent revendiquer cet « inachèvement », car il y a possibilité