Le Sauvage Et Le Civilisé

puisqu’elle agit avec générosité et sagesse et semble égale aux dieux. Pourtant, si on retrouve chez la princesse de nombreux points communs avec Artémis, contrairement à la déesse elle ne représente pas le monde sauvage mais la civilisation dans le sens où elle permet à Ulysse de renaître en homme civilisé. Nausicaa va en effet permettre à Ulysse de renaître, de par ce fait, elle fait office de figure maternelle pour le héros. Cette seconde naissance est à recherchée dans les symboles. En émergeant du

LA CULTURE, L'ART *** LA CULTURE : - CIVILISATION : état dans lequel l'homme développe ce qui le définit en propre, par opposition aux sauvages : sans production - LA CULTURE : s'oppose à la nature, tout ce qui relève de l'invention, scientifique, littéraire, sans éducation... de la production, des pratiques et la pensée propres à une groupe humain, s'exprimant à travers une langue, une religion, des oeuvres d'arts, des => CRITIQUE DE C.LÉVI-STRAUSS ET L'ANTRHOPOLOGIE : justifie

plus tard. Claude Lévi-Strauss manifeste dans Tristes Tropiques, paru en 1955, son empathie d’ethnologue pour des peuples abîmés. Toutes ces pages délivrent une appréciation des populations autochtones que les Européens civilisés d’alors appelaient avec condescendance des « sauvages ». Ces extraits sont remarquables en ce qu’ils prennent le contre-pied du jugement courant. Quelles qualités des peuples du Nouveau Monde les textes proposés mettent-ils donc en relief ? Les auteurs s’accordent à apprécier

sont des considérations sur des événements particuliers : l'attitude colonisatrice des Jésuites au Paraguay et leur expulsion ; la remise en cause du gigantisme des Patagons, tels que les avait décrits Magellan ; la sagesse et la qualité de vie des sauvages, tant que leur sécurité n'est pas en danger ; la présentation d'Aotourou, l'Otaïtien qui accompagna Bougainville à Paris et des remarques sur la difficulté de rendre compte des mœurs européennes tant elles diffèrent des leurs. Le chapitre se termine

sont des considérations sur des événements particuliers :l'attitude colonisatrice des Jésuites en Uruguay et leur expulsion ; la remise en cause du gigantisme des Patagons, tels que les avait décrits Magellan ; la sagesse et la qualité de vie des " sauvages", tant que leur sécurité n'est pas en danger ; présentation d'Aotourou, le tahitien qui accompagna Bougainville à Paris et remarques sur la difficulté de rendre compte des mœurs européennes tant elles diffèrent des leurs. Le chapitre se termine

les Titans ayant dépecés et mangés le dernier fils de Zeus (Dionysos) ; ils se font punir et sont anéantis. L’homme cependant va naitre des cendres des Titans ce qui rend compte de la dualité du caractère humain : comportant à la fois la violence sauvage des Titans et la parcelle divine de Dionysos. * Dès lors que l’homme existe les combats et les tensions ne sont plus entre les dieux mais bien de dieux à hommes. * La création de la femme en est un exemple. En effet Pandore (la première

point qui séduit l’imaginaire du XVIIIème siècle par rapport au monde sauvage. C’est le problème du libertinage amoureux, qui s’est également posé dans la littérature avec des œuvres comme Les égarements du cœur et de l’esprit de Crébillon ou Les liaisons dangereuses de Choderlos de Laclos. Le discours d’Orou est d’ailleurs lancé par le mot « libertin ». Diderot s’inspire donc d’un sujet traditionnel du discours sur les mœurs sauvages : la sexualité. Mais son approche est originale : il n’y a pas de

grandes découvertes, les colons n'ont pas hésiter a ''débarbariser'' les peules vivant sur place, en leur imposant leurs langues, culture et religion. On a chercher a occidentaliser ces peuples de manière a ce qu'ils ne soient plus barbares mais civilisés. Mais pouvons nous réellement conclure que ces gens vivait dans le faux ? Peut-être étaient-ils même plus heureux avec leurs usages que les occidentaux. On arrive donc a une deuxième question : A partir de quel moment peut-on considérer un

sociaux. Nous ne pouvions pas non plus voyager car le trafic touristique en avion, train et bateau n'existait pas. Pour régler le "problème", ce sont les populations "sauvages" qui sont venus jusqu'à eux. Ils ont donc installé les zoos, comme "le jardin d'acclimations", pour facilité la découverte et l'échange entre l'étranger et le civilisé. On dévoile alors les coutumes, les habits et le mode de vie des non européens. C'est aussi par curiosité que l'on installe ces zoos. En effet, ils voulaient

aborigènes, etc. Suscite la curiosité et la réflexion. Montaigne va écrire sur les « sauvages » ( ?). Bougainville publie un récit de voyage, ainsi que Diderot. La figure des hommes « primitifs ». Des scientifiques et des érudits se déplacent. Jean de Léry : Histoire d’un voyage fait en la terre du Brésil, 1578. En 1800, De Gérando publie le premier manuel sur les méthodes de considération des peuples sauvages. Période du romantisme en tant que courant artistique et littéraire (première partie