Le Sage Refuse T Il Le Désir

ses peines. Entendons par là : le premier homme, l'homme tempérant, se méfie des désirs et ne se préoccupe pas de leur donner rapidement satisfaction : il jouit de ce qu'il a déjà, sans s'occuper de ce qu'il pourrait avoir, parce qu'il sait qu'un désir satisfait est aussitôt remplacé par un autre. Le second, en revanche, est en permanence guidé par ses appétits : quoi qu'il ait, ce n'est jamais assez, précisément à cause de l'illimitation des désirs. Plus il leur cède et moins il est capable de leur

Le désir désigne l’ensemble des phénomènes organiques et psychologiques qui nous poussent à posséder un objet en vue d’un plaisir et cet objet peut être matériel ou non. Quant à la loi elle a plusieurs significations possibles. D’une part elle a un sens juridique, celle d’une prescription ou de loi divine « tu ne tueras point », d’autre part celui de règle dont la transgression est considérée comme une faute même si elle n,’est pas suivie obligatoirement de sanctions. Troisièmement elle peut

vide (I), le mouvement et les propriétés des atomes (II) / l’âme(III), les simulacres (IV) / le monde (V) et les phénomènes physiques effrayants (VI). L’extrait constitue l’introduction du livre II et s’emploie à définir ce qui fait la félicité du sage épicurien, en opposition à ce qui occupe la vie des hommes ordinaires. 1- La vie des hommes ordinaires Elle se définit par sa difficulté, la violence et l’ambition. 1-1 sa difficulté : Dès le début du texte, se déploie la métaphore de la vie

ses peines. Entendons par là : le premier homme, l'homme tempérant, se méfie des désirs et ne se préoccupe pas de leur donner rapidement satisfaction : il jouit de ce qu'il a déjà, sans s'occuper de ce qu'il pourrait avoir, parce qu'il sait qu'un désir satisfait est aussitôt remplacé par un autre. Le second, en revanche, est en permanence guidé par ses appétits : peu importe ce qu'il a, ce n'est jamais assez, précisément à cause des désirs sans limites. Plus il leur cède et moins il est capable de

prétention à vouloir changer le monde, faut il privilégier la loi du désir ou la loi du monde ? La maxime cartésienne présuppose la distinction et l’opposition du plan de l’intériorité (me vaincre, mes désirs) et de celui de l’extériorité (la fortune, l’ordre du monde) et se présente comme une solution au problème suivant : comment réduire l’écart entre le désir et le réel afin que l’homme n’ait plus à souffrir de l’adversité ? Car le désir met le moi aux prises avec les choses et lorsqu’elles se refusent

à vivre comme des taupes. En écrivant son œuvre, Edmond a critiqué la Seconde guerre mondial, chaque personnage est la personnification d'un état d'esprit de l'époque. Hess (l'adjudant), représente le pouvoir en place (Hitler). Riemann est l'homme sage, aimable. Bock, l'homme sans cœur. Waldinger est le côté un petit peu rebelle. Pour finir : Nietzké (17ans), il représente la jeunesse hitlérienne, il a été enrôlé contre son gré. Genres : Cette pièce peut être classée dans deux genres, une comédie

LE SUJET Le sujet regroupe différente notion : - La conscient - L’inconscient - Le désir - L’autrui - La première personne est la manière particulière de parler à soi-même et de soi-même. Cette question est d’abord apparue sous forme de confession (journal intime) avec Augustin, Rousseau et tout les romantiques. (cf : cours sur la dialectique). - La réflexivité c’est la réflexion consciente, il y a deux aspects : * La construction de soi par sois c’est-à-dire

positions politiques et idéologiques. Prenant comme point de départ son incarcération de courte durée pour avoir refusé de payer l'impôt, il y prône la résistance passive en tant que moyen de protestation. Cet engagement passif se situe d’abord sur le plan individuel selon lui : « La seule obligation qui m'incombe est de faire en tout temps ce que j'estime juste » explique-t-il. Il y proclame son refus de soutenir le gouvernement américain, qui tolère l’esclavagisme et mène une guerre de conquête au Mexique

manière dont lindividu réagit au choc L’effet du choc dépend bcp avec la manière dont l’individu réagit au choc, 2 manières principales : ⁃ La plus courante et la plus mauvaise : refuser / nier ce qui s’est passé vous n’allez faire qu’accroitre la douleur / sa puissance et donc accroitre votre souffrance. Refus de l’événement qui accroit ma douleur = ce que je nie devin ns puissant = idée de refoulement repris par Freud. ⁃ La meilleure manière : celle de l’accepter, il souffre mais se

bonheur provient du fait que l'on a ce que l'on désir. Or il est vrai que désirer peut rendre malheureux au sens ou on atteint jamais l'objet convoité. Faut il alors désirer l'extinction du désir pour parvenir au bonheur? mais qu'elle est cette extinction des désirs qui nous permet d'accéder au bonheur? Cela voudrait il dire que l'on accède au bonheur le jour ou on à assouvie tous ses désirs? ou cela veut il dire qu'il faut oublier toute forme de désir pour accéder au bonheur? En d'autre termes; la