Le Sacre Royal Au Moyen Age

pratique du pouvoir par Louis XIV illustre le triomphe de l'absolutisme au xviie siècle. En France, l'affirmation de l'État moderne passe par l'affirmation du pouvoir royal. Mis en pratique par Louis XIV à partir de 1661, l'exercice personnel du pouvoir est le fruit d'un long travail réalisé par les rois de France depuis la fin du Moyen Âge. La définition de l'expression « monarchie absolue » est éclairante : absolutus , en latin, a pour sens « qui n'est lié à rien ». La monarchie

aux rois sont appelés des leudes (=fidèle).  - Le caractère patrimonial de la royauté. Le royaume des francs est considéré comme un bien propre du roi. Le royaume fait partie de son patrimoine. Il peut aliéner son royaume. Lors des successions royales, le royaume des francs va connaître des partages successoraux. A la mort du roi, le royaume des francs est divisé entre les fils du roi, de la même manière qu’au décès du père, le patrimoine est divisé entre les fils de celui-ci. Le royaume des francs

En 313 l'empereur Constantin à toléré officiellement le christianisme. Une nouvelle conception du pouvoir politique ; Après l'adoption du christianisme comme religion officielle on croit que le roi gouverne sous les commandement de dieu (moyen âge et temps modernes) St Paul « il n'est pas de pouvoir qui ne vienne de dieu » Il existe également une nouvelle conception de l'esclavage, il n'est pas supprimer mais est de plus en plus mal vu. La structure de l'église possède sa propre administration

célébrer la paix du Cateau-Cambrésis. Or la monarchie que laisse Henri II à sa mort n’est pas celle que François Ier avait trouvée en héritant de la couronne du roi très chrétien. Durant ces deux règnes, des transformations profondes ont affecté l’Etat royal qui perd le caractère féodal qu’il avait encore sous Charles VIII ou Louis XII pour entrer dans l’ère de la modernité politique. Pour certains historiens, les changements sont tels que François I er et Henri II méritent d’être considérés comme les

CHAPITRE I : LA SOUVERAINETE ROYALE. Dès le XIIIème siècle, le roi de France acquiert la stature d’un seigneur suzerain. Plusieurs légistes vont alors développer cette notion de suzeraineté, tant et si bien que le roi finit par se détacher de l’ordre féodal. Parallèlement, le principe selon lequel le roi est souverain par-dessus tout s’affirme. L’ordre royal achève d’absorber l’ordre féodal. Autrement dit, le roi ne relève d’aucune puissance temporelle. Les légistes, en se livrant à une

MONARCHIQUE..................5 CHPT 1 : L'état royal.......................................................................................................................5 1/ Le titulaire du pouvoir.............................................................................................................5 1. La personne du roi..............................................................................................................5 A) La légitimité royale.........................................

de la grande diversité des seigneuries. C’est l’absence d’un pouvoir centrale fort, de même que l’absence de véritables législations écrites qui expliquent un tel morcèlement coutumier. SECTION 1 : LE MORCELEMENT COUTUMIER Du 10/12e S le droit royal connaît un éclipse à peu près complète. A l’intérieur de chaque seigneurie, des pratiques juridiques s’affirment progressivement, et finissent par acquérir force de loi. La caractéristique fondamentale de ce droit est d’être issue de ce groupe qu’il

Droit Public ESujet traité : Clausule du sacre de Pépin « Le roi est mort, vive le roi ! », cette phrase prononcée par un messager de ville en ville signifiait deux choses, l’une que le roi est mort mais que un nouveau monarque arrive sur le trône. Afin de symbolisé la continuité et la longévité du royaume, le roi était sacré. Cette tradition ancestrale remonte en 751 lorsque Pépin le Bref, maire du palais organise un coup d’État pour monter sur le trône du royaume des Francs.

Cours d’HISTOIRE DU DROIT. Deuxième semestre. M BERNARD. PRESENTATION GENERALE DU COURS. 7 SECTION 1 : REPERES CHRONOLOGIQUES. 8 I. L’Antiquité greco-romaine. 8 II. Le Moyen-Âge. 10 A/ Le Haut Moyen-âge. 10 B/ Le Moyen-âge classique. 10 C/ Le Bas Moyen-âge. 11 III. L’époque moderne. 11 IV. L’époque contemporaine. 12 SECTION 2 : LA CONCEPTION CLASSIQUE DU DROIT ET DE LA JUSTICE. 13 I. La justice commutative. 14 II. La justice

Cours d’HISTOIRE DU DROIT. Deuxième semestre. M BERNARD. PRESENTATION GENERALE DU COURS. 5 SECTION 1 : REPERES CHRONOLOGIQUES. 5 I. L’Antiquité greco-romaine. 5 II. Le Moyen-Âge. 6 A/ Le Haut Moyen-âge. 6 B/ Le Moyen-âge classique. 6 C/ Le Bas Moyen-âge. 7 III. L’époque moderne. 7 IV. L’époque contemporaine. 7 SECTION 2 : LA CONCEPTION CLASSIQUE DU DROIT ET DE LA JUSTICE. 7 I. La justice commutative. 8 II. La justice distributive