Le Rsa Peut Il Réduire La Pauvreté

souvent considéré comme le moyen le plus efficace de sortir de la pauvreté. Cependant, dans de nombreux cas, le travail lui-même peut être un facteur qui contribue à la pauvreté. En effet, les travailleurs peuvent être confrontés à des salaires bas, à la précarité de l'emploi, à des conditions de travail difficiles et à un manque d'avantages sociaux. Dans cette optique, la question de savoir dans quelle mesure le travail peut rendre les travailleurs pauvres et comment remédier à ce phénomène

Antoine Gobelet - M Théorie du taux de chômage d’équilibre (1) • Courbe de Phillips (1958) Montre la relation décroissante entre chômage et inflation (ou hausse du salaire réel) Arbitrage entre chômage et inflation: Supplément de chômage pour réduire l’inflation d’1 point = ratio de sacrifice) Un taux de chômage élevé affaiblit les revendications de hausse de salaire Antoine Gobelet - M Théorie du taux de chômage d’équilibre (2) • • • NAIRU: non accelerating inflation rate of unemployment

de réduire ses dépenses publiques pour diminuer son déficit. Cela se traduit, pour les agents économiques par une crise de confiance dans l’avenir et l’augmentation de la croissance économique française. De ce fait, la tentation d’épargner davantage pour anticiper les problèmes à venir est grande. Notons que la France a un taux d’épargne élevé depuis une quinzaine d’années (autour de 15 à 16 % du revenu disponible brut. (Politique de rigueur : augmenter les recettes publiques et réduire le

Ketchup ? […] La démarche consistant à réinterpréter p l’inégalité g en termes de différence est l’outil de p prédilection des individus privilégiés p g qui q espèrent p bien,, p par là même,, conforter leur position p sociale. Ce type de raisonnement peut ainsi être une manière de dire : « certes, vous n’êtes pas bien riches, mais, voyez-vous, l’argent ne fait pas le bonheur. Nos niveaux de revenus sont différents ; ils ne sont pas inégaux… ». De même, si les femmes sont « faites » pour élever les enfants…

ECONOMIE DE LA PROTECTION SOCIALE Chapitre 1er : Introduction Economie : science découlant de tout ce qui peut faire l’objet d’un arbitrage. La protection sociale est un fait commun de toutes les sociétés traditionnelles. Elle offre une protection aux individus leur permettant d’améliorer la qualité de leur vie et participe activement à la solidarité entre les générations. Elle permet également de maitriser le temps en corrigeant les aléas de la vie et en proposant une certaine stabilité

pour se loger. Pourtant, jamais il n’y a eu autant d’écarts de richesse. Certains profitent encore et s’enrichissent autant que d’autres s’appauvrissent. Le travail est un droit constitutionnel et reste la meilleure protection contre la précarité. On peut alors se demander dans quelle mesure il faut comprendre ces chiffres alarmants du taux de chômage et si toutes les catégories sociales sont concernées par cette menace. Le chômage touche t-il tout le monde ou spécifiquement certains ? Avant de se

plus touchée par la pauvretés .En France, les jeunes âgés de 18 à 25 ans, sont bien les premières victimes de la crise. Nous allons dans un premier temps voir qu’est-ce que la précarité au travail, puis les plus touchée par cette précarité, et enfin qu'est ce que fait l'états pour lutter contre cela. La Précarité au travail : la précarité est la situation d’une personne incapable d’assumer ses responsabilités élémentaires et de jouir de ses droits fondamentaux. La pauvreté concerne une personne

est similaire en Seine-Saint-Denis où 64 % des immigrés de 15 à 29 ans non scolarisés n’ont pas le Bac, contre 48 % des non immigrés. De nombreux jeunes immigrés sont précocement orientés vers des filières spécialisées. Ces différences tendent à se réduire dans la mesure où les jeunes immigrés de 15 à 29 ans ayant quitté le système scolaire sans le Bac sont proportionnellement beaucoup moins nombreux aujourd’hui. Ils étaient 52 % en 1999 contre 39 % en 2007 à Paris. En Seine-Saint-Denis, ils étaient

au sein de nos économies de marché. Les théoriciens néoclassiques montrent qu’importe le moyen utilisé pour atteindre la croissance économique, seule la réalisation de cet objectif fixé de croissance (c'est-à-dire l’efficacité) compte même si cela peut engendrer des inégalités, c'est-à-dire des disparités principalement d’ordre économique entre les acteurs économiques. Produit d’une vision rawlsienne (les inégalités économiques et sociales ne sont acceptables que si elles s’inscrivent dans

d’entre elles se sont perpétuées même si elles se sont souvent considérablement atténuées. L es inégalités sont des différences qui se traduisent par un avantage ou un désavantage. Pour autant, la question de leur légitimité fait toujours débat : Peut on concevoir une société sans inégalités ? Ne s’agit il pas de la conséquence inévitable d’un système capitaliste porteur de croissance et de bien être ? Donc dans un premier temps nous verrons que les inégalités ne sont pas forcements contradictoires