Le Rsa Et Pauvreté

protéger ensuite. - Redistribution verticale : Les « riches » payent pour les pauvres MAIS : Trappe à chômage : Plus rentable de rester au chômage dans certain cas avec les aides, les allocations. (Aussi trappe à pauvreté, à foyer …). Donc mis en place du Revenu de Solidarité Active (RSA) qui fait que allocation et salaire peuvent être cumulés pendant un an. Donc incitation à trouver un emploi. II Définition de l’économie A Définitions classiques - Aristote : Oikos (maison) + Nomos (administration)

fiscaux : T.U.M britanniques/ Iles Vierges / Iles Caïmans Pavillon de complaisance : possibilité d’immatriculer ou d’enregistrer un navire afin de profiter des fiscalités et des normes sociales du pays. B) Des difficultés socio-économiques. Pauvreté > 30% inférieur à la métropole, chômage ( manque de diversification des activités…), habitat précaire, ville sans équipement, bidonville, prix trop élevés. Malaise social > manifestations + ou – violente (demande plus d’aides ou plus d’autonomies)

France, on compte en moyenne entre 2200 dossiers de surendettement déposés par an. De plus, le recours à l’endettement, ne sert plus à financer des projets, mais sert à faire face à des dépenses courantes. Le RSA : concerne 2 millions de ménage : 4,3 millions d’individu vivent du RSA. Crédit du subprime : crise américaine pour les classes modestes. En Espagne, cela est lié à la bulle immobilière. Même problème : agents ne savent plus rembourser les crédits. Cela peut être un problème.

La pauvreté et l’exclusion sociale et en France En France, aujourd’hui, 8 minimas sociaux représentent un planché de ressources. En effet, après plusieurs décennies de croissance économique et de généralisation de la protection sociale, la pauvreté n’a pas disparue. Pire dans les années 90, on entend parler d’exclusion, un terme nouveau qui apparaît dans le débat social. Il convient pour cela de se doter de quelques définitions préalables de la pauvreté et de l’exclusion. La pauvreté se définit

d’actualité avec une démographie qui commençait à vieillir. L’espérance de vie s’allongeait régulièrement. La complexité des régimes était arrivée à son paroxysme, leurs particularités générées dès la création n’ayant pas été résolues. De plus une nouvelle pauvreté est apparue pour les personnes en âge de travailler obligeant à créer de nouvelles prestations comme la CMU ou le RMI, qui n’étaient pas financées (I.B) I.A/ Un système de sécurité sociale généreux en France. De 1945 à 1985 nous constations une

interventions sociales et leur complémentarité en réponse à un problème socialeQuestion 1  : Il s’agit de la pauvreté des étudiants en Europe et plus particulièrement en France où 1 étudiants sur 5 est pauvre, ce qui de plus perdure depuis des années. Question 2 et 3  : Les interventions sociales qui apportent une réponse au problème de la pauvreté chez les étudiants de la région Toulouse Occitanie sont : Les aident financières :L’accompagnement sociale par

disponible des ménages = revenu primaires-prélèvements obligatoires + revenus de transfert. Des inégalités importantes subsistent : Des inégalités de revenu qui continuent de se creuser : Pr étudier pauvreté & faire comparaisons / pays on calcule : seuils & tx de pauvreté, l’indice de Sen. Des inégalités de patrimoine qui progressent : * Obj  : besoin de sécu, désir de transmiss° aux générat° futures, valorisat° de celui-ci. * 2 évo héritage de + en + vieux, jeunes

logique d'assistance relève d'un modèle d'Etat Providence Beveridgien. Ce modèle se distingue en deux systèmes propres selon le modèle d'Esping-Anderson. - D'une part, dans le système libéral ( GB, USA, Canada ). Son objectif est de lutter contre la pauvreté, les droits sociaux sont déterminés par cette dernière ainsi que le besoin, les prestations sont faibles, et sélectives sous condition de ressources, financées par l'impôt et gérées par l'Etat central. - D'autre part, selon le modèle social démocrate

familiales, aides pour la garde d'enfants). - La perte d'emploi (indemnisation du chômage) et les difficultés d'insertion ou de réinsertion professionnelle. - Les difficultés de logement (aides au logement). - La pauvreté et l'exclusion sociale (minima sociaux : revenu minimum d'insertion - RSA, minimum vieillesse, etc.)-qui sont couplées à des plans de rigueur*.Ces mesures n’ont d’autres conséquences que d’appauvrir les ménages et d’accroître la précarité ( incertitude ). L’Europe se voit alors obligée

BAROU ROMAIN – SAMI GUILLET LE TRAVAIL REND PAUVRE Introduction : Le travail est souvent considéré comme le moyen le plus efficace de sortir de la pauvreté. Cependant, dans de nombreux cas, le travail lui-même peut être un facteur qui contribue à la pauvreté. En effet, les travailleurs peuvent être confrontés à des salaires bas, à la précarité de l'emploi, à des conditions de travail difficiles et à un manque d'avantages sociaux. Dans cette optique, la question de savoir dans quelle mesure