Le Rsa Et Pauvreté

cependant certains y accèdent plus facilement que d'autres. En France de 1960 à 2010 le niveau de vie a été multiplié par cinq mais le taux de pauvreté n'a pas changé (5%). Si le taux de pauvreté ne régresse pas, il n'augmente pas non plus, notamment grâce aux aides sociales mis en places par le gouvernement. Des aides comme le Revenu de Solidarité Active (RSA), le Revenu Minimum d'Insertion (RMI), la Couverture Maladie Universelle (CMU) et tant d'autres. Il y a donc une amélioration des conditions

l'Etat à accru son poids dans l'économie (dans certain pays le poids de l'Etat dépasse 50% du PIB). Cette augmentation du poids de l'Etat est liée à la remise en cause au début du 20es de l'efficacité du marché puisque celui-ci à été créateur de pauvreté et d'injustice social, il existe aujourd'hui un débat sur le bon niveau de l'Etat. I. La régulation par le marché A. Marché et formation du prix Le prix est l'élément essentiel sur le marché, en situation de concurrence parfaite on atteint

rigueur en même temps. C) L’objectif de cohésion sociale Situation d’un groupe solidaire à l’existence de buts communs. Donc lutte contre tout ce qui porte atteinte à la solidarité et à l’intégration : pauvreté, exclusion ,disparités régionales de l’emploi, du niveau de vie. Ex : le RSA * Vocation à accompagner les personnes sans emploi ou avec de faibles revenus d’activité, pour améliorer leur situation, favorisant la cohésion sociale. D) Les limites de la politique budgétaire

des pouvoirs publics ont pour objectifs d’augmenter la croissance du pays en question (PIB) ainsi que de réduire ses inégalités (pauvreté). Les pouvoirs publics peuvent alors augmenter les revenus secondaires (qui proviennent de la redistribution) qui permettront aux plus pauvres de consommer et d’investir. Les pouvoirs publics peuvent également augmenter le SMIC et le RSA. Les pays de la zone euro ne peuvent pas intervenir sur la monnaie (variation du taux d’intérêt) car c’est la BCE qui les fixent

conseiller et accompagner les ménages en difficultés ou en situation de précarités (RSA, accompagnement à l'insertion, accès et maintien dans le logement...) ; de développer un travail en réseau avec les différents acteurs sociaux locaux et contribuer au diagnostic social territorial. La MDS où j'effectue

assurantiel, la généralisation du salariat... IIIème épisode.   L’Etat-Providence à l'épreuve du capitalisme (XXème siècle à nos jours) 1) Contexte : Libéralisme, Mondialisation et Révolution technologique 2) Les mesures prises : Pôle Emploi, RSA, décentralisation, système     assurantiel, … (voir tableau de Thomas) 3) La valeur travail : (Refs docs: Conférence de Mme ROYER, ….) 4) Les figures du travailleur : le précaire 5) Les figures de la désaffiliation : le chômeur longue durée Conclusion

créer une «  taxe portant sur le travail fourni par les robots ou des charges d’utilisation et d’entretien des robots ».1. La piste la plus probable est aussi celle d’une réforme des aides sociales : «  fusion du RSA, de la prime d’activité voire des APL  ». Ce qui implique la disparition d’autres prestations sociales. Dans ces conditions, le revenu universel est-il vraiment un progrès pour les plus défavorisés ? [3: Les contours de l’expérimentation

restés dans cette situation, 14 000 en sont sortis et 6 000 nouveaux sont entrés. Les trois quarts des allocataires à bas revenus sont sans emploi, qu’ils soient chômeurs ou inactifs. Cependant 28 000 allocataires travaillent sans échapper à la pauvreté. Si l’allocataire et son conjoint déclarent chacun une activité, ils sont encore un sur quatre à rester en deçà du seuil de bas revenus. Il est probable qu’il s’agisse dans ce cas d’activité à temps partiel ou d’une alternance d’activité et de chômage

étendu à des fractions de la population qui ne relevaient pas de la logique assurancielle fondée sur l'emploi, et de nombreuses autres prestations ont peu à peu vu le jour (allocations familiales, minimum vieillesse, allocation logement, RMI devenu RSA). Ces prestations ne sont pas conditionnées par l'exercice d'un emploi. Tout citoyen peut en bénéficier. On parle alors d'une logique « universaliste », qualifiée aussi parfois de « beveridgienne » qui ne repose pas sur l'emploi mais sur l'appartenance

souvent marginalisée par une desserte qui la coupe des centres et des banlieues aisées. Les « banlieues » comme l’on dit en France pour parler des territoires urbains pauvres sont souvent effectivement en périphérie des villes même si des isolats de pauvreté existent encore parfois en centre ville. La plupart du temps (Bordeaux, rénovation des quais de la Garonne, Les Lilas en Seine-Saint-Denis et la rénovation des quais de l’Ourcq) la rénovation urbaine expulse les habitants loin des quartiers rénovés