Le Rouge Et Le Noir Focalisation

vent avec la métaphore des « lanières » de vent = comme un esclave dont les mains « saignaient ». « besoin douloureux » renforce sa peine. Impression d’un personnage qui est en lutte contre les éléments naturels hostiles : - la terre : « le sol noir »… - l’eau : la comparaison puis la métaphore de la mer, « embruns », les « marais »… - l’air, le vent, « rafales » - le feu : brasiers, rouges…. Qui inquiètent d’abord le personnage. Impression d’enferment, dans un espace vide, nu, comme le montrent

la focalisation et le discours rapporté. Focalisation : Exemples de focalisations et discours rapporté Mme Bovary : http://www.weblettres.net/spip/spip.php?article206 Focalisation zéro (narrateur omniscient) : Dans le récit, le narrateur en sait plus que le personnage.  Le narrateur sait tout, voit tout. Focalisation externe : Le narrateur en dit moins que n’en sait le personnage   Le narrateur est un observateur objectif, impartial (ne fait pas partie de l’histoire) Focalisation interne :

Mélanie Guilbert; il la suit à Marseille, où ils vivent en couple, et s'essaye au commerce, sans grande motivation, ni grand succès d'ailleurs. Mais, ces années d'apprentissage auront une grande influence sur le personnage de Julien Sorel dans Le Rouge et le Noir. En 1806 toujours grâce à son cousin Pierre Daru, il s'engage encore une fois et est affecté à l'intendance où il fera montre d'exceptionnels talents d'organisateur[réf. souhaitée], ses fonctions au sein de la "Grande Armée" lui permettront

a) Un regard omniscient. → Texte mené à la 3ème personne. → Le narrateur connait les détails du voyage dès le départ « il était partit », il connait aussi les pensées du personnage, son passé, ses sensations. b) Il y a en outre une focalisation interne (l'auteur voit a travers les yeux du personnage) → « il aperçut » L'auteur rend la description partielle, imprécise, incomplète : La description est faite par les yeux de Lantier qui voit dans la nuit avec des yeux fatigués. → L'ensemble

distance du lecteur par rapport au narrateur dans le livre Embrasser le ciel immense de Daniel Tammet. L’auteur est un autiste savant qui essaye d’expliquer le fonctionnement de son esprit. Le lecteur est plongé dans la sphère intime à travers la focalisation interne du narrateur. Mais la perception du monde, des chiffres est différente de celle du lecteur, ne lui permet pas s’identifier au narrateur. L’emploi de la première personne pour présenter un personnage peut également enfermer le lecteur

Points de vus (focalisation) : interne : narrateur perso de l’histoire et il en sait autant qu’un perso (Je mais souvent Il) / Omniscient : pas un perso de l’histoire, il sait tout à l’inverse des autres persos, position « divine » / Externe : pas un perso de l’histoire, il en sait moins que les autres persos, position neutre, point de vu rare & difficile Frise : - 1668 : L’avare, Molière / 1782 : Les liaisons dangereuses, Choderlos de Laclos / 1830 : Le rouge & le noir, Stendhal / 1835 :

lecteur découvre le héros au fil des épisodes, chaque réaction nouvelle permettant d'enrichir la vision qu'il a déjà de lui. D'autre part, le héros, confronté à des situations diverses, peut se transformer, voire radicalement changer. Dans Le Rouge et le Noir, Stendhal montre un Julien Sorel d'abord totalement absorbé par ses ambitions sociales, prêt à tout pour « réussir » et sortir de sa condition. Puis, à la fin du roman, un homme se rapprochant au contraire de ses pairs, rejetant l'hypocrisie

Séance 3 : L.A d’un extrait du Rouge et du Noir de Stendhal I) Un blâme de la société du XIXe siècle a) Structure et modalités d’écriture -La typographie : -1 paragraphe de présentation du récit -1 discours en 3 parties, présenté comme une lettre, mais coupé -1 paragraphe de retour au récit, montrant les réactions. -Narration : le début du récit est en focalisation interne puisque nous n’avons que les pensés et les réactions de Julien le lecteur doit

ses actions”. === Si le prince est séduit par cette ravissante jeune fille, on notera cependant qu'aucune réciprocité n'est, à aucun moment, suggérée. Ce premier constat se trouve renforcé par la façon dont Mme de La Fayette joue une double focalisation, interne et omnisciente. Le point de vue ominiscient intervient au début du texte : il établit un parallèle entre les réactions du prince d'abord, puis de l'héroïne, reliées étroitement par le point-virgule et le connecteur “et” : “Il fut tellement

D’un instinct, j’ai une pulsion d’aller la voir chez elle, que ce soit pour une dernière fois. Je veux voir si elle est aussi misérable que moi, cela me réassurerait. M’imaginer qu’elle peut vivre sans moi me rend dingue et ça me donne des idées noires. Je me lève brusquement et je me dirige vers la porte pour enfiler mes souliers. Je prends mes clés de ma Honda Civic et je sors de mon appartement. Je n’avais même pas réalisé qu’il était aussi tard, il est presque minuit. En embarquant dans ma voiture