Le Pénis

fondateurs de l'hystérie se résume en la scène suivante : _Chez le garçon : Il est saisi d'horreur à la vue du corps de sa mère ou de tout autre femme avec laquelle il existe un lien d'amour. “La vision du corps féminin perçu comme un corps privé de pénis provoque l'angois parce que l'enfant pense qu'il peut-être lui-même victime de pareille castration.” Cette angoisse liée au fantasme déstinée à se convertir est dite “angoisse de castration”. _Chez la fille : D'après Freud, le fantasme féminin de

à 6 ans. Zones érogènes : le pénis ou le clitoris. Pendant ce stade, l’enfant désire écarter le parent du même sexe pour avoir pour lui tout seul le parent du sexe opposé (lui arrive de déclarer vouloir épouser celui du sexe opposé quand il sera grand). Ce conflit est nommé complexe d’Œdipe par Freud (selon du légende grecque). Selon Freud, le stade phallique se déroule différemment chez les garçons et chez les filles. Garçon : plaisir et fierté d’avoir un pénis. Quand ils découvrent que les

pas être castré, le garçon s’identifieras à son père et chercheras des compagnes lui rappelant sa mère. Chez les jeunes filles, elle se fait avec la découverte qu’elle est privée d’un pénis tout comme sa mère. La jeune fille s’identifiera donc à sa mère et voudra donc chercher, chez les hommes, le moyen d’avoir un pénis à elle, par l’enfantement d’un petit garçon. Freud décrit également les déviations sexuelles, non comme des maladies, mais des erreurs dans le processus d’indentification sexuelle (soit

une phase anale où ils tirent leurs plus grandes satisfactions des fonctions excrétoires qui leur sont communes ; leur développement génital est analogue ; ils explorent leur corps avec la même curiosité et la même indifférence ; du clitoris et du pénis ils tirent un même plaisir incertain ; dans la mesure où déjà leur sensibilité s'objective, elle se tourne vers la mère : c'est la chair féminine douce, lisse élastique qui suscite des désirs sexuels et ces désirs sont préhensifs ; c'est d'une manière

en lui même. L’organe de jouissance est l’organe externe dont le modèle est le pénis assimilé au phallus, d’où le nom de stade phallique. Le phallus est investit d’un point de vue de sa puissance potentielle, c’est la conception imaginaire du pénis avec un symbole de puissance commun à l’homme et à la femme. Il faut entendre par phallus le fantasme de puissance et de complétude que peut procurer la possession du pénis (ex : se promener nu, se montrer pour se faire reconnaitre comme le phallus).

est-il alors, demande Winnicott, de l’idée qu’il s’agirait d’un symbole du pénis ? La réponse paraît désarmante dans sa simplicité, et en dit long sur l’impact que peuvent avoir les belles théories sur la manière d’épeler les phénomènes. Pour l’enfant, il ne peut s’agir d’un pénis ou d’un phallus parce qu’à ce stade, l’enfant ne sait rien ou pas grand chose du pénis, de sa fonction et de sa signification. Qu’est-ce que le pénis pour un bébé de sept mois ? Peut-être tout au plus quelque chose qui a plus

primordiaux : Sexe déterminé physiologiquement au cours du développement embryonnaire. (testicule chez le mâle, ovaire chez la femelle; et autres organes jouant un rôle dans l’accouplement et la reproduction : oviducte, utérus, vagin, spermiducte, pénis…). La formation des gamètes (Gamétogenèse) a lieu dans les glandes sexuelles ou gonades. On peut noter la Spermatogenèse : Formation des gamètes mâles (spermatozoïdes) et l’Ovogenèse : Formation des gamètes femelles (ovules). [pic]

de ces deux maladies peuvent avoir des conséquences sur la sexualité. Les principales complications possibles sont les troubles de l’érection, de l’éjaculation, de l’orgasme, de la libido, de la continence urinaire et la diminution de la taille du pénis. Les difficultés de l’érection : surviennent dans 30 à 80 % des cas, mais quatre patients sur cinq parviennent alors tout de même à obtenir une érection suffisante, généralement grâce à des traitements, pour avoir un rapport sexuel avec pénétration

qu'ils sont situés dans la même région du corps et qu'ils partagent un certain nombre de fonctions. L'appareil urinaire est pratiquement le même chez l'homme et chez la femme, à l'exception notable de l'urètre, qui chez l'homme se prolonge dans le pénis, alors qu'il s'ouvre dans la vulve chez la femme. Le système urinaire comprend des organes (les reins), différentes structures (la vessie, l'urètre, l'uretère) et de nombreux vaisseaux sanguins permettant d'éliminer les déchets azotés produit par

du corps de l’enfant qui se transforme en celui d’un adulte. Dès la naissance et pendant toute l’enfance, un garçon et une fille se distinguent par leur caractères sexuels primaires, c’est-à-dire leurs organes reproducteurs : les testicules et le pénis chez le garçon ; les ovaires, l’utérus et la vulve chez la fille.A la puberté, le corps se transforme progressivement, les caractères sexuels secondaires apparaissent et distinguent un homme d’une femme. | -------------------------------------------------