Le Porte Glaive

était destinée à satisfaire la Confrérie (de l’immaculée conception de Milan). On observe plusieurs différences entre ces deux ‘tableaux’. Dans la seconde version, les personnages plus volumineux et munis d’auréoles, excepter Uriel qui lui n’en porte pas. Jean le Baptiste présente une croix, ce qui lèverait le doute sur l’identité des deux enfants. L’ange Uriel ne désigne plus rien avec son doigt. Le jour semble levé dans le second tableau, contrairement au premier où les couleurs sont moins lumineuses

| |5 |Lorsqu'ils allaient, au bruit du cor et des clairons, | |5 |Ils allaient conquérir le fabuleux métal | | |Ayant le glaive au poing, le gerfaut (7) ou le sacre (8) | | |Que Cipango (13) mûrit dans ses mines lointaines, | | |Vers la plaine ou le bois, Byzance ou Saint-Jean-d'Acre

debout sur la grève, Contemplant l’étoile et le flot, Comme ceux qu’on entend en rêve, Parlera dans l’ombre tout haut ; Et ses paroles, qui menacent, Ses paroles, dont l’éclair luit, Seront comme des mains qui passent Tenant des glaives dans la nuit. Elles feront frémir les marbres Et les monts que brunit le soir; Et les chevelures des arbres Frissonneront sous le ciel noir. Elles seront l’airain qui sonne, Le cri qui chasse les corbeaux, Le souffle inconnu dont

aux dieux ! Sauvés, oui, car sous la cité entière, sous chaque maison, sous chaque temple, sous chaque sanctuaire, l'incendie préparé par des mains criminelles couvait : cet incendie, nous l'avons éteint ! Les glaives étaient tirés contre le peuple et déjà posés sur sa gorge : ces glaives, nous les avons fait tomber avec nos mains nues ! Ce matin même, devant le Sénat, j'ai révélé toute l'affaire mais maintenant citoyens, je vais vous exposez brièvement les faits, afin que chacun d'entre vous puisse

ce rideau de larmes et de sel. Je ne sentais plus que les cymbales du soleil sur mon front et, indistinctement, le glaive éclatant jailli du couteau toujours en face de moi. Cette épée brûlante rongeait mes cils et fouillait mes yeux douloureux. » Le style de l’ écriture a changé, la syntaxe est plus compliqué en comportant des lexiques plus riches : cymbales, indistinctement, glaive, jaillir... Si l’on compare avec les discours d’avant, on va noter que les registres ont été modifiés au fur et à mesure

colonne, qui était jadis surmontée de la statue en bronze doré de Trajan, (remplacée au XVIème siècle par celle de Saint Pierre). Le piédestal cubique de la statue, haut de 5m, enfermait l'urne d'or contenant les cendres de Trajan et de son épouse, et porte l'inscription dédicatoire. Base de la colonne chapiteau dorique détail de la base La frise et les bas-reliefs Les sculpteurs ont commencé en taillant des formes grossières avec des outils larges et ne permettant pas de sculpter de fins

reçu dans ma maison une jeune vierge, de ne pas la toucher, ses sentiments sont de méchantes règles pour mesurer la vertu, qu'il le sache; c'est lui au contraire qui est un fou (91). Électre sort de la chaumière. Elle est misérablement vêtue. Elle porte une amphore sur la tête. ÉLECTRE O nuit (92) noire, nourricière des astres d'or, dans ton ombre, portant cette urne posée sur ma tête, je m'en vais puiser l'eau aux sources du fleuve. Non pas que j'en sois réduite à ce degré de misère, mais je

fait leur sort est fixé ». En effet à peine lui parvient-elle la nouvelle de l´empoisonnement de Créon et de sa fille que Médée tue ses enfants. L´infanticide de Médée chez Euripide est justifié donc par la trahison même de Jason  car, « lorsqu´on porte atteinte [aux] droits [d´une] épouse, il n´y a pas plus assoiffée de meurtre qu[e] [celle-ci]. » Médée se pousse donc au paroxysme de la monstruosité et de la vengeance pour « ne pas être condamnée à la risée par l´hymen de Jason avec la race de Sisyphe

orangers fleurissent.     Entre toutes ces résidences, il en est une particulièrement aimée ; mais celle-là est plus qu'une cité, c'est un royaume, un tout petit royaume, il est vrai, un grand-duché de Gérolstein.     Perché sur un rocher fleuri, qui porte sur son dos un paquet de maisons blanches et son palais princier, le minuscule État de Monaco obéit à un souverain plus indépendant que le roi Makoko, plus autoritaire que S. M. Guillaume de Prusse, plus cérémonieux que feu Louis XIV de France.     Sans

contenu du document. Commentez ce qui dit l’auteur(s), en le confrontant avec ce que vous connaissez déjà. Soulignez les contradictions, les silences. Quel est l’enjeu du texte pour l’auteur, les auteurs ? III. Conclusion La conclusion explique la portée du document (l’impact du texte et ses conséquences) et la sincérité ou fiabilité de l’auteur. Essayez de faire une petite ouverture par rapport à ce qui viendra « après » ou en faisant une réflexion plus large sur la signification du texte. Exemples