Le Plaisir

Axe I : la représentation l'occasion d'une sortie en groupe, plaisir de se retrouver et de faire partie d'un public. IA2 : Le plaisir de participer à la création du spectacle : une représentation n'est jamais finie, elle renaît chaque soir de manière différente. IA3 : Le plaisir du renouvellement : chaque mise en scène est une interprétation d'un texte qui lui est unique. Chaque mise en scène en fait une nouvelle pièce, une interprétation personnelle. IPP2 : C'est un lieu de communication, de

ses désirs? Mais nous devrions plutôt parler du plaisir qui n'est que chronique et n'apporte pas nécessairement le bonheur? Ce plaisir serait en fait d'obtenir ce que l'on a pas encore, c'est l'objet de notre désir. Mais outre l'objet et notre tentative de possession ou de ressentiment, le désir se s'apparente-il pas avec le plaisir même de désirer, et dans notre quête perpétuelle du bonheur, ne cherche-t-on pas à désirer plus pour plus de plaisir? Mais n'y a t-il rien de plus artificiel que de vouloir

cet état qui nous remplit d’impatience, de souffrance de devoir patienter et à la fois du bonheur. « On jouit moins de ce qu’on obtient que de qu’on espère» Rousseau nous montre bien que la notion de jouissance, s’apparente bien avec celle du plaisir. Cependant cette jouissance ne vient pas de la possession, de l’obtention « on obtient » mais elle provient de l’espérance « on espère ». « On est heureux qu’avant d’être heureux » C'est-à-dire qu’on est plus heureux en attendant le cadeau et non

morale du prochain, dénuée de plaisir et d'intérêt. En effet beaucoup de gens ont de la bienveillance pour des personnes qu'ils n'ont jamais vues mais qu'ils jugent honnêtes ou utiles, et l'une de ces personnes peut éprouver ce même sentiment à l'égard de l'autre partie. Les étapes de son raisonnement sont les suivantes : Tout d'abord, il commence par dire que nul ne tombe amoureux sans avoir était charmé par l'extérieur de la personne avant, que celui qui éprouve du plaisir à l'aspect d'un autre n'en

est juste l'occasion d'un plaisir, que les hommes pourraient s'en passer, qu'il ne répond pas à un besoin, qu'il y a des objets bien plus utiles que l'oeuvre d'art, qu'il coute cher et est réservé qu'à quelques priviligiés mais aussi que l'oeuvre d'art est rare et unique. Argument: * l'oeuvre ne sert à rien. On ne l'utilise pas comme les objets techniques, on ne la consomme pas comme les bien de consommation: on les contemple. L'oeuvre a pour but de procurer un plaisir, celui de la beauté. Or cela

les idées, de s’évader dans un monde imaginaire, de nousdistraire, et d’admiré l’œuvre en éprouvant quelque fois un certain plaisir. Apprécier l’art c’est se libérer de ses propre angoisse, une sorte de satisfaction des désires inconscient, c’est faire preuved’audaces.??? ????En revanche l’art peut-être inutile lorsque l’on y trouve aucune utilité. Si l’on trouve aucun plaisir à exprimer notre art ou le regarder, l’art devient inutile et complètementinessentielle. Pour que l’art soit utile, il faut

d’excitation donc de mener au plaisir peu être considéré d’un bon point de vu lorsque celle-ci est exécutée dans l’égalité. Il est possible d’atteindre cette équilibre lorsque les deux partenaires ont les mêmes degrés de volonté qu’en t’a exécuter l’acte. Le désir est le principal déclencheur et doit être ressentie de la même façon et non seulement pour plaire à l’autre. L’unisson est considéré comme étant acceptable quand chacun recherche à faire ressentir le même plaisir l’un à l’autre. Au moment

vie de jouissance où l’éphémère règne en maitre, où il importe peu de garder mais où seul l’acte même du plaisir compte vraiment. Pour Socrate, Le bonheur réside dans la tempérance, qui est la vertu caractéristique du sage, consistant à avoir une attitude correcte, mesurée, modérée face aux désirs, plaisirs, passions. En revanche, pour Calliclès, le bonheur consiste à satisfaire tous nos plaisirs, à assouvir toutes nos passions, indépendamment de toute contrainte. Dans un premier temps, nous étudierons

1677 Le plaisir est le commencement et la fin de la vie heureuse. En effet, d’une part, le plaisir est reconnu par nous comme le bien primitif et conforme à notre nature, et c’est de lui que nous partons pour déterminer ce qu’il faut choisir et ce qu’il faut éviter ; d’autre part, c’est toujours à lui que nous aboutissons, puisque ce sont nos affections qui nous servent de règle pour mesurer et apprécier tout bien quelconque si complexe qu’il soit. Mais, précisément parce que le plaisir est le bien

Abidjan le 04 janvier 2012 Monsieur N’CHO Konan Vincent vice Gouverneur District d’Abidjan Objet : Note de remerciement Monsieur, C’est avec une joie immense et un réel plaisir, que nous vous adressons cette note, en guise de remerciement à l’acte que vous avez posé dans la réalisation de notre arbre de noël 2011. Monsieur, nous vous en somme infiniment reconnaissant. Aussi pouvons-nous compter sur votre détermination à œuvrer pour le bien-être de la population de notre chère commune