Le Plaisir

de nous, La question posé était: le plaisir esthétique suppose-t-il une culture esthétique? Ici nous allons donc confronter deux concepts qui font débat, le plaisir esthétique et la culture esthétique. Toutefois on ne peut comprendre un sujet sans savoir ce qu'il veut dire. La notion d'esthétique renvoie à la théorie du beau en philosophie et dans l'art. L'art du latin ars, artis est une expression par des créations humaines d'un idéal esthétique. Le plaisir du latin placere qui veut dire plaire

Une vie heureuse est-elle une vie de plaisirs ? La vie est un phénomène biologique de la naissance à la mort. Le plaisir est une sensation agréable, durable, qui procure la satisfaction d'un besoin. La question ici est de démontrer si une vie heureuse est une vie remplie de plaisir. Dans une première partie, on démontrera qu’ une vie heureuse peut être une vie remplie de plaisir mais dans un deuxième temps on montrera qu’une vie heureuse peut être source de malheur, puis une troisième partie plus

d'où une fonction morale et initiatique de ces pièces théâtrales. Nombreux sont les éléments qui tendent à montrer que les raisons qui nous poussent à aller au théâtre sont celles du divertissement ou encore de la réflexion. Il s'agit alors du plaisir que peuvent apporter les pièces théâtrales aux spectateurs. Tout d'abord, si Pascal expose en 1670, dans ses "Pensées", la théorie du divertissement comme une "occupation plus ou moins agréable qui détourne l'homme de lui-même et le fait sortir

elle prend un tour pathologique. « Désir » provient du latin « desiderare » qui veut dire « regretter l’absence d’un astre », c’est-à-dire que l’on recherche un objet ou quelqu’un que l’on imagine ou que l’on sait être source de satisfaction, de plaisir. D’une part, on peut avoir peur de ses désirs, car les désirs sont des manques, et l’on ne connaît pas nos propres réactions sous cet état. De plus, sous l’emprise du manque, on peut perdre le contrôle de soi, et nos désirs initiaux peuvent

l’égard d’un contexte et d’un produit donné. 2- La nature des motivations On peut les classer en trois catégories. - Motivations hédonistes. Ce sont les pulsions d’achat qui trouvent leur origine dans le besoin d’obtenir de la vie des plaisirs. Une pulsion de ce genre est évidemment la gourmandise, qui se manifeste par l’achat de certains produits (chocolat…), comme par la recherche de certaines qualités dans ce produits : un biscuit frais craquant sous la dent, un café qui sent bon dès

contempler le ciel étoilé, alors que desiderare, c’est regretter son absence. C’est pourquoi l’expérience de désir est à première vue une expérience négative, une source de souffrance : c’est la perte d’un astre qu’on admirait et qui était source de plaisir. Le désir est-il seulement un manque ? Ne désire-t-on que ce dont on manque ? On commencera par étudier la thèse selon laquelle on désire ce dont on manque avec la distinction entre désir et besoin et le désir selon Schopenhauer et Platon. Ensuite

Le désir est l’ensemble des phénomènes organiques et psychologiques qui poussent à posséder un objet en vue d'en tirer plaisir. Cet objet peut être matériel ou non. Cette notion de désir est l’essence même de l’homme, le plus évolué des êtres vivants. Appartenant à la famille des homini­dés et à l'espèce Homo sapiens (« homme sage »). Traditionnellement défini comme « animal doué de raison », l'homme est aussi, selon Aristote, un « animal politique ». Ce serait en effet pour qu'il puisse s'entendre

pas toujours disponible ; il faut une action particulière (crier) pour le ramener à soi ; plus tard, les sensations de douleur et de déplaisir sont rejetées dans le monde extérieur pour former un moi-plaisir pur auquel s’oppose un dehors étranger et menaçant. Mais cette partition est fausse (des plaisirs viennent du monde extérieur et le corps est parfois source de souffrance). On apprend peu à peu à distinguer ce qui est intérieur de ce qui est extérieur et qui ne dépend pas de nous, faisant ainsi

extérieur et n’admire que soi, […] et ses décrets sans nature. ( VIII, 3) 13- D’abord, si la vertu est destinée à procurer du plaisir, ce n’est pas pour cette raison qu’on la recherche, […] atteindra aussi celui-là. ( IX, 1) 14- Le souverain bien est la dureté d’une âme qui ne peut-être brisée, ainsi que sa prévoyance, […] et sa beauté. ( IX, 3) 15- Au contraire, les plaisirs des sages sont paisibles, modérés et presque languissants, retenus et à peine perceptibles, étant donné qu’ils se sont présentés

stratégie, etc. Aristote se demande donc s'il n'existe une chose qui soit la fin dernière de tous nos actes, qui ne soit pas « désirable en vue d'une autre chose » mais uniquement en elle-même. La seule fin de ce genre est le bonheur : même l'honneur, le plaisir ou l'intelligence sont des fins en vue du bonheur. Le bonheur est donc la fin suprême de toutes nos actions. « Le bonheur est quelque chose de parfait et qui se suffit à soi-même, et il est la fin de nos actions. » Éthique à Nicomaque, Aristote