Le Plaisir

l’esprit, pleinement satisfait, comblé. Satisfaire : contenter, donner satisfaction à un désir. Tous : tous les désirs sans exception. Désir : envie, fait de vouloir quelque chose, convoiter. Envie de posséder un objet dans le but d’en tirer du plaisir. Pas de rapport avec les besoins ! Autres formulations : Faut-il nécessairement posséder l’intégralité des objets que l’on convoite pour être comblé ? La satisfaction de l’intégralité de nos désirs est-elle nécessaire pour accéder au bonheur 

subjectives. Les thèmes abordés dans ce dialogue de Platon sont le bonheur et la vertu ainsi que la liberté. Le bonheur se définit comme l'état de complète de satisfaction de tous les désirs humains. Le bonheur comme état durable se distinguerait du plaisir qui est éphémère. L'homme heureux est un homme comblé, n'éprouvant ni regret ni frustration ni douleur ni contrariété : Mais un tel état est t'il accessible ? Dans ce dialogue Socrate soumet que pour être heureux, il faut avoir des objectifs à atteindre

Conclusion 8 2. Un Stoïcien original : Spinoza 8 C. Le pessimisme 10 1. Schopenhauer 10 2. Bouddhisme 11 3. Christianisme 11 D. La sublimation 11 1. Platon 11 2. Nietzsche 12 3. Freud 13 II. Bonheur et temps 14 A. Le bonheur se distingue du plaisir par sa durée 14 B. Il faut chercher le bonheur dans l’instant présent 14 1. L’espoir nous empêche d’être heureux (Pascal) 14 2. Le désespoir est la clef du bonheur (Comte-Sponville) 14 3. Carpe diem (Horace, Ronsard) 15 C. Le bonheur est au passé :

païenne car il exalte les plaisirs charnels plutôt que spirituels ou religieux. Ronsard s’adresse à sa maîtresse, il la supplie de l’écouter, l’exhorte à se laisser aller pour se donner à lui sans retenue, comme un croyant se dévouerait à Dieu. Deux thèmes, le « temple » et le « lit », s’opposent alors. Si Ronsard reconnaît que le « temple », autrement dit l’église, est le lieu où l’on doit prier Dieu, il rappelle que le « lit » est l’endroit où il convient de vénérer les plaisirs de l’amour et d’y pratiquer

l'utilitarisme égoïste, une action est bonne si elle procure du plaisir à son auteur, elle est mauvaise si elle lui procure de la peine. Pour l'utilitarisme égoïste, en outre, une action qui entraîne du plaisir pour lui sera bonne même si elle a des conséquences néfastes pour autrui. Pour Mill, une action ne peut être bonne si elle entraîne plus de déplaisir pour autrui que de plaisir pour soi. Pour Mill, ce qui compte c'est le plaisir du plus grand nombre: « Chacun doit compter pour un, personne pour

traduire cette citation en d’autres mots, je dirais : nous ne pouvons obtenir ce dont nous rêvons, si nous cherchons à avoir plus que ce qui nous est nécessaire. Problématique : Comment trouvé justement le bonheur ? Comment faire la différence entre plaisir et besoin ? Quels sont les risques encourus par le manque d’homme raisonnable sur notre planète ? Quelles sont les conséquences de la surconsommation ? Quels sont les enjeux pour notre société ? Comment savoir quel futur nous attend si personne n’est

produit le plus de bonheur possible, c’est-à-dire le plus grand excédants de plaisirs sur les douleurs dans la mesure où chaque personne compte pour un et les plaisirs sont hiérarchisés. Ainsi, si on considèrent l’ensemble de la population on constate que si il y a législation, les gens ne sont pas confrontés à voir les publicités provocantes, tandis que s’il y en a pas, les gens le sont. Ainsi, il y a un maximum de plaisir pour la population lorsqu’il y a législation. Par ailleurs, pour la compagnie

nous évoquerons le beau esthétique c'est à dire celui qui créé des émotions, qui suscite des jugements et du ravissement. Or nous pouvons remarquer que ces sentiments nous conduisent à la notion de plaisir. Mais l'artiste a t-il pour but premier de plaire ? L'art doit-il obligatoirement susciter le plaisir ? Nous verrons tout d'abord que l'artiste doit nous présente un divertissement, ensuite nous verrons si l'artiste à d'autre but que celui de chercher à nous divertir. L'artiste doit chercher

travail dans la société. Comme Voltaire l’écrivait en 1738 lors de son discours sur l’Homme : « Le travail est souvent le père du plaisir ». Le travail peut être considéré par les avantages qu’ils apportent mais peut-il être un plaisir par lui-même ? Il nous faut d’abord rechercher quels avantages le travail procurent et voir en quoi sous certaines formes il peut être un plaisir ou une limite. Le travail est l’ensemble des activités accomplies par l’Homme pour produire des biens et des services en contrepartie

vous repériez les passages expliqués * Acquis du premier paragraphe : On a déterminé ce qu’est un jugement de goût : Il informe sur le sujet qui contemple et non sur ce qui est contemplé. Il est émis lorsqu’on éprouve un plaisir. Il faut maintenant préciser le type de plaisir dont il est question. Dans ce paragraphe, une distinction fondamentale s’impose, qui fait l’objet des première lignes du texte : Contempler et consommer. Le désir d’un objet nous met dans un rapport de consommation par