Le Passé Maître Immédiat

le Moi. C'est le désir conscient d'un être qui constitue cet être en tant que Moi et le pousse à dire Je. Le désir biologique est condition nécessaire mais non suffisante. A lui seul, ce désir ne constitue que le Sentiment de soi, connaissance immédiate de soi, à dominante affective et intuitive, sans aucune représentation intellectuelle. Seul le désir du désir est générateur du moi. Le désir nthropogène diffère du désir animal par le fait qu'il porte non pas sur un objet réel, « positif », donné

qui nous permet donc de libérer du temps pour nous consacrer à d'autres activités. Dans l'antiquité, étaient considérés comme une vie de bonheur, la vie politique, la vie d'étude et de plaisir. Selon Aristote l'homme a le désir de savoir donc si il passe sa vie à étudier, alors il s'est accompli. Il pense donc que le savoir, la science a une fin en elle-même. Le travail ménage un temps de loisir pour se consacrer à une activité libérale. D'où la tentation de réduire l'effort pour pouvoir se consacrer

de l’homme suppose le désir, défini comme une tension vers un but qu’on imagine source de satisfaction. En tant que manque, générateur de souffrance, le désir exige sa propre suppression. Tandis que l’animal supprime ses désirs par une jouissance immédiate, l’homme parvient à différer la jouissance par la médiation de son travail. Car si la jouissance supprime l’objet du désir, le travail le remplace par un autre objet. Ainsi le travail est « désir refréné, évanescence contenue » (Hegel, Phénoménologie

intimement lié à la conscience. Aussi, certains matérialistes affirment que la conscience n’est pas source de vérité, mais au contraire d’illusion et d’erreur. Aussi, ils contredisent la vision idéaliste en affirmant que la conscience ne nous laisse pas maîtres de nous-mêmes. La conscience facilite-t-elle le bonheur, ou au contraire l'empêche-t-elle ? La conscience semble à première vue ne pas être l’ennemie du bonheur, mais au contraire indispensable à ce dernier, et permettre de l’atteindre. Cependant

quand ils s'intéressent à moi obligé de deviner la signification de mes comportements en formulant sur eux des hypothèses plus ou moins complexes. Ainsi peuvent-ils se méprendre sur mon attitude lorsque je ris jaune, alors que je sais d'un savoir immédiat ce que mon rire dissimule. La présence d'autrui ne semble donc pas pouvoir apporter quelque chose d'essentiel relativement a la conscience que j'ai de moi-même. Pourtant, en certaines circonstances, autrui parait plus clairvoyant que moi sur mon

de vue : que, premièrement, le monde extérieur sensible cesse de plus en plus d'être un objet appartenant à son travail, un moyen de subsistance de son travail ; et que, deuxièmement, il cesse de plus en plus d'être un moyen de subsistance au sens immédiat, un moyen pour la subsistance physique de l'ouvrier. Karl Marx, Manuscrits de 1844 . TEXTE 3 : « Travailler, c’était l’asservissement à la nécessité »Dire que le travail et l'artisanat étaient méprisés

| |Dans son Dom Juan, Molière a dépeint un libertin d'idées et de mœurs. | |Cependant, si le comportement de Dom Juan est licencieux et s'il prône le plaisir immédiat, c'est le libre penseur qui | |l'emporte, celui qui ne croit pas aveuglément et qui doute, celui qui raisonne devant les évidences de la vie dont se | |contentent ses contemporains.

dévetir son maitre en lui racontant ses aventures amoureuses. Plusieurs thématiques sont abordées et plusieurs récits son narrés à travers ce roman. Le personage Jacques se veut bavard et philosophe pour être l'outil don’t se sert Diderot pour faire passer sa critique sociale. Son incipit est l'ouverture de son roman Jacques le Fataliste et son maître qui  est un roman rédigé sous forme de dialogue philosophique (entre Jacques et son maître). L'écriture

influence décisive sur la philosophie contemporaine. · Chez Hegel, distinction entre le « sentiment de soi » et la « conscience de soi » : - le « sentiment de soi » : le simple sentiment qu’on a de ses propres sensations immédiates (s’éprouver par ses perceptions) Ex : le nouveau-né, il n’a pas de recul sur ce qu’il est - la « conscience de soi » : suppose une médiation, à partir de laquelle elle va pouvoir émerger : elle

: donnant-donnant. Si le Dieu des chrétiens se montre le plus fort, Clovis se convertit. Succès immédiat. Rôle de saint Remi : pour l'archevêque, c'est un catéchuménat, pour Clovis c'était un pas pour établir des liens avec le nouveau Dieu. Attitude du peuple : Clovis doit en tenir compte, car dans un tel changement, la décision dernière appartenait au peuple. Miracle : ralliement spontané et immédiat. La cérémonie (à Noël cf S. Avit), beauté du baptistère. Le roi nouveau Constantin parce que comme