Le Passé Maître Immédiat

semaine. Elle a toujours été présente lorsque je rencontrai un problème, et toujours prête à répondre à mes questions. Nom | Profession | M.GOBERT | Directeur / Maître des CE2. | Mme TIAGO-GARCIA | Maîtresse des CM1 / CM2. | Mme GRENIER | Maîtresse des CM1 / CM2. | M.CHEREAU | Maître des CP. | Mlle DELAFOY | Maîtresse des CP. | * Merci aux professeurs du collège St Pierre St Paul, cette séquence d'observation, a parfaitement répondus à mes

pédagogique contemporaine. Après avoir clarifié certains conceptsclés tels que instruction*, éducation*, pédagogie*, didactique* et formation*, l'auteur rend hommage aux grands pédagogues du début de ce siècle. Il passe ensuite en revue des questions pédagogiques aussi diverses que: l'autorité du maître, la motivation des élèves, le travail par objectifs, la pédagogie différenciée, la vie mentale, l'évaluation et la transmission des valeurs. Chapitre I et II : Cet ouvrage nous initie à la pensée pédagogique

l'on fait ou de ce que l'on dit, aussi bien que de ce qui se passe autour de nous. La conscience disparaît lors de l'endormissement, et nous revient, si l'on peut dire, au réveil. Comme dit Alain * , « dans le sommeil, je suis tout ; mais je n'en sais rien ». J'y suis en quelque sorte sans y être, car privé de conscience. Etre conscient, c'est donc être présent, à soi comme au monde environnant. Cette conscience spontanée, immédiate, est cependant capable de se représenter à elle-même. On parle

l'existence de la conscience comme une première certitude, qui met fin à tout le doute antérieur. D'autre part, le sujet est capable de se saisir lui-même de manière immédiate. La conscience a donc la particularité de n'avoir besoin d'aucune médiation pour rendre compte d'elle-même : la conscience possède une relation immédiate à elle-même .La psychologie scientifique, qui se développe à partir du XIXe siècle, va émettre une critique encore plus virulente à l'égard de la notion philosophique

| | |L’objectif est donc de mettre en mouvement les élèves pour les amener à changer leurs représentations | | |immédiates en savoirs légitimes. | | |

tragique: impuissante, fait souhait de mahleur, projette sa puissance à venir --> Elvire = perso dominant: touche tragique voir pathétique. Mais la présence de Dom Juan et Sg. Va contrebalancer le climat II) Une scène de comédie entre maître et valet 1) Dom Juan l'hypocrite Héros éponyme mais peu de paroles, une seule tirade A eu le tps de chercher un échapatoire *revendique hônneté *discours très argumenté: structuré Joue les dévôts: *chp.lex. Sainteté : défie

Explication de l’extrait du texte “Essai sur les donnes immédiates de la conscience” de Bergson pag.9-10 de « Un troisième élément intervient » jusqu’à « et tout notre volonté » INTRODUCTION Bergson dans le premiers pages du chapitre I , nous amène a dévoiler à travers plusieurs exemples, comment on arrive souvent à confondre des changements d’intensité (et donc de qualité) avec des changements de grandeur (et donc de quantité). Après avoir éclairé que l’ « intensité pure » doit se définir

être différent. Il est variable selon les personnes mais aussi pour la même personne. Le désir est superficiel, c’est-à-dire inventé, créé par l’homme. Une fois qu’un désir est comblé, un autre né. Les désirs reflètent l’éducation, la culture, le passé. Les désirs sont un manque insatiable, ils ne sont jamais pleinement comblés. ( Dans la littérature par exemple, Dom Juan incarne le désir amoureux) Un besoin peut devenir un désir et inversement, par exemple se nourrir est un besoin mais il peut

du monde. A partir de là on peut distinguer deux grand courants Hédoniste, l’hédonisme radical et l’hédonisme modéré 1°_L’Hédonisme radical d’Aristippe Seul le présent immédiat compte. Il fat cueillir tout de suite sans hésiter tous les plaisirs qui se présentent et fuir toute les douleurs. « Carpe diem » Prendre en compte le passé et le futur est inutile il faut vivre au présent car on peut toujours mourir demain. Par exemple fumer est un plaisir donc je fume trois paquets par jours. On me dit que

même qu'il n'arrive sur scène, Sga en a dressé un portrait des plus noirs , c'est « le plus grd scélérat que la terre ait jamais porté, un enragé, un chien, un diable, un Turc, un hérétique, qui ne croit ni Ciel, ni saint, ni Dieu, ni loup-garou, qui passe cette vie en véritable bête brut, en pourceau d'Epicure, en vrai Sardanapale, qui ferme l'oreille à toutes les remontrances chrétiennes qu'on lui peut faire, et traite de billevesées tout ce que nous croyons ». La suite de la pièce nous prouve que