Le Particularisme Breton

roi possédait en propre, et maints châteaux forts au milieu de ses terres abritaient encore des seigneurs qui le bravaient. Comme chef féodal et duc de France, le roi avait pour vassaux directs les comtes de Blois, d'Anjou et du Maine et les comtes bretons du Mans et de Rennes pour arrière-vassaux. Huit grands fiefs, relevant nominalement de la couronne, indépendants en fait, se partageaient le reste du territoire, si étroitement borné à l'Est par l'Empire germanique qu'il ne touchait même pas partout

pouvoir royal. – Les particularismes locaux, qu'ils soient ethnique (présence d'un ancien peuple germanique), culturel ou politique, sont restés forts, ce qui fait que la France carolingienne était loin d'être unifiée. Ainsi, des grandes régions comme la Bourgogne, donc l'ancien territoire des Burgondes, ou l'Aquitaine, qui avait fortement romanisée et avait constitué pendant longtemps un royaume, ou la Bretagne, qui a un peuplement spécifique (les bretons qui sont venus d'Angleterre) et

cultures (propos échangés entre Aimé Césaire et Breton par exemple.) L’étude des rencontres entre intellectuels peut servir aux comparatistes à reconstituer un climat de pensée, l’histoire des idées, des mentalités. (Cf. : Breton : Martinique, charmeuse des serpents, après sa rencontre à Fort-de-France de Césaire). Cette rencontre a servi puisqu’elle a eu un impact sur l’histoire du Surréalisme dans son expansion aux Caraïbes et en Amérique. Breton a découvert un poète français dans un espace français

exposent deux conceptions très différentes de l’écriture littéraire : Boileau la place sous l’égide de la raison et de la clarté dès les premiers vers, conclus par la célèbre maxime Ce que l’on conçoit bien s’énonce clairement (v. 6), alors que, pour Breton, la première phrase de l’écriture automatique doit être étrangère à notre pensée consciente (l. 10). Pour lui, il s’agit d’écrire vite, sans sujet préconçu (l. 7) et sans se relire pour rester dans l’esprit et la liberté du jeu surréaliste (l. 17)

commissions régionales en 1958, cette fonction disparaît : évincé du siège du ministère public au stade de l’appel, le directeur n’exerce plus qu’un droit d’observation, de manière facultative[254]. On peut toutefois remarquer que toute trace du particularisme des juridictions d’appel n’a pas pour autant disparu dans la composition de la chambre qui sera amenée à juger les appels formés contre les décisions de première instance. L’article 8 du décret du 22 décembre 1958 relatif à l’organisation judiciaire

interactionniste L’acteur est « personnifié et pluriel » (E. Goffman). L’acteur agit en tant que personne particulière. Il évolue dans un environnement. Il existe donc de ce fait une multitude d’interactions entre les acteurs en jeu. Il s’agit d’un « particularisme fondamental qui induit une posture idiosynchrasique ». L’acteur devient donc dans cette analyse « acteur pluriel ». « Ce tel-00358078, version 1 - 2 Feb 2009 sont invariablement ces personnes complexes, ayant des stratégies mouvantes, en permanente

le même ; les réformes qui sont demandées de part et d'autre se contredisent plus qu'elles ne se ressemblent. Il y a bien un point par où ils paraissent se rapprocher, c'est que tous deux redoutent pour la société ce qu'on pourrait appeler le particularisme économique. Tous les deux sont préoccupés des dangers que l'intérêt particulier peut faire courir à l'intérêt général. L'un et l'autre sont animés de ce double sentiment que le libre jeu des Émile Durkheim (1928), Le socialisme : sa définition

(problématique de distribution), Alain Debenedetti (université Paris-Dauphine), Giacomo Del Chiappa (université Biocca, Milan), Pierre Desmet (université Paris-Dauphine et Essec), Marc Filser (IAE de Dijon), Gérard Gallo (L’Echangeur), Charlotte Gaston-Breton (université Paris 10 Nanterre), Francis Guilbert (IAE de Lille), Hervé Guyon (université de Bretagne occidentale), Marie-Louise Héliès-Hassid (université Paris-Dauphine), Joël Jallais (IAE/IGR de Rennes), Virginie Lainé (Ségécé), Jean-Pierre Lanzetti

laquelle il y a eu d’abord la création de groupes parlementaires. Ceux-ci vont se constituer sut la base d’affinité diverses. Ces groupes étaient dépourvus de structures claires, précises et contraignantes. Le premier qui a vu le jour est le Club Breton qui devient par la suite un groupe d’échange fondait sur les opinions, politiques communes. Autre groupe, le club des Jacobins, puis le club des girondins, ce dernier étant composé des députés de la gironde et était très méfiant vis-à-vis du pouvoir

le même ; les réformes qui sont demandées de part et d'autre se contredisent plus qu'elles ne se ressemblent. Il y a bien un point par où ils paraissent se rapprocher, c'est que tous deux redoutent pour la société ce qu'on pourrait appeler le particularisme économique. Tous les deux sont préoccupés des dangers que l'intérêt particulier peut faire courir à l'intérêt général. L'un et l'autre sont animés de ce double sentiment que le libre jeu des égoïsmes ne suffit pas à produire automatiquement l'ordre