Le Morne-Rouge

copines Comme ceux qui, avant moi, étaient dans la vitrine L'agenda coupable devient machine à remonter le temps Notre premier rendez-vous, vendredi 2 Juin à 20h00 Mon nom de plus en plus présent, jusqu'au jour de l'emménagement Et soulignée en rouge, la date de mon anniversaire Je passe dans le futur, je descends mercredi prochain T'as rendez-vous à midi, avec un certain Sébastien Boulevard de "c'est fini", au Bistrot des Amants Le portrait dans le porte-monnaie bientôt ne sera plus le mien

après ? Dès les premières pages, oui. C’était ma propre vie qui était là décrite noir sur blanc, et pourtant en même temps, dès l’attaque, c’était ce qui dépassait et sauvait ma propre vie : la morne campagne, et le météore venu d’ailleurs qui fait exploser des fusées de juillet dans l’hiver et illumine la morne campagne ; le comble de la famille – fêtes de Noël, grands-parents, dindes enveloppées dans des torchons – et, s’y dérobant avec violence, le grand gars qui s’en arrache, fuit. Le fugitif éternel

25. Et il perdit ces villes avec tous leurs habitant, tout le pays à l'entour avec ceux qui l'habitaient, et tout ce qui avait quelque verdeur sur la terre. I La voyez-vous passer, la nuée au flanc noir ? Tantôt pâle, tantôt rouge et splendide à voir, Morne comme un été stérile ? On croit voir à la fois, sur le vent de la nuit, Fuir toute la fumée ardente et tout le bruit De l'embrasement d'une ville. D'où vient-elle ? des cieux, de la mer ou des monts ? Est-ce le char de feu qui

de la maladie (blessent, blême, pleure,..), il traduit son ressentiment sur la saison présente. Chanson d’automne est un poème où le paysage est un miroir permettant de renvoyer le reflet de l’âme torturé du poète. L’automne y est représenté comme morne et triste, par les sentiments qu’elle provoque et non par ses couleurs flamboyantes ou ses moments de récolte. Lors de la lecture, on pourrait penser... [continue] L HEURE DU BERGER En ce qui concerne les thèmes, justement, c'est là que je bloque

l'abbé Sérapion qui l'alerte de la machination démoniaque du diable, lui conseille de prier pour retrouver le calme et lui annonce son départ proche pour sa curé. Ayant perdu tout espoir il s'y rend et accomplit ses devoirs de prêtre, avec l'esprit morne et tout en gardant le goût amer de l'avoir perdu à jamais. Jusqu'au nuit où il est amené à un palais pour donner le dernier sacrament à la maîtresse du chatêau. Quand il arrive il apprend que la maîtresse n'est nulle autre que Clarimonde et qu'il arrive

dents !  Là-haut pas d'étoile !  L'un lutte avec l'air,  L'autre est à la pompe. - Le vent de la mer  Souffle dans sa trompe. C'est toi, c'est ton feu  Que le nocher rêve,  Quand le flot s'élève,  Chandelier que Dieu  Pose sur la grève,  Phare au rouge éclair  Que la brume estompe ! - Le vent de la mer  Souffle dans sa trompe. Victor Hugo, Les voix intérieures, 1837 Le voyage des vagabonds Ma Bohème Je m’en allais, les poings dans mes poches crevées ; Mon paletot aussi devenait idéal ; J’allais

plaque de fer, écussonnée de trois fleurs-de-lys héraldiques ! » Mais le grillon ne répondait point encore, et la salamandre éplorée, tantôt écoutait si ce n'était pas sa voix, tantôt bourdonnait avec la flamme aux changeantes couleurs rose, bleue, rouge, jaune, blanche et violette. - « I1 est mort, il est mort, le grillon mon ami ! » - Et j'entendais comme des soupirs et des sanglots, tandis que la flamme, livide maintenant, décroissait dans le foyer attristé. - « Il est mort ! Et puisqu'il est

de son analyse. L'auteur des Rougon-Macquart a mis en scène des figures saisissantes, l'ampleur de son génie. Ces figures sont presque toujours celles d'êtres qui se développent, sous l'influence de la même passion, avec une continuité imposante et morne. B) Vision de l'humanisme plus pousser par les naturaliste et réaliste : La vision de l'humanité La non tolérance humaine: un extrait pour montrer la violence et la non égalité

dans les pages suivantes. Sur cette représentation Laurence Olivier (1948) durant l'acte final, Gertrude tient dans sa main droite le poison qu'elle s'apprête à boire. Son expression faciale est figée, morne. Elle semble pensive et comprend certainement (après la scène du pantomime) que le père d'Hamlet est mort assassiné par Claudius son époux. Peut-être qu'elle sait que la boisson contient un poison destiné à son fils Hamlet. Le célèbre monologue de

nous plongerons dans les froides ténèbres » Les temps agéables et chaleureux de la période estivale semblent s'enfuir « C'était hier l'été ; voici l'automne ! » et laisser place à un hiver rude et mortel pour le poète : « Mon cœur ne plus qu'un bloc rouge et glacé ». La mort, loin d'apparaître comme l'issue normale et naturelle de la vie, est présentée comme précipitée: « on cloue en grande hâte un cercueil quelque part », « l'échafaud qu'on bâtit ». Ces deux objets allégoriques que sont le cercueil