Le Morne-Rouge

en 1955, en mémoire du groupe Manouchian, résistants étrangers fusillés par la Gestapo en 1944. L'annonce de leur condamnation avait été faite par le biais d'une affiche reproduisant leurs photographies, et qui est restée sous le nom de l'Affiche rouge. Le poète tente de raviver le souvenir des résistants. Nous étudierons d’abord http://www.bacdefrancais.net/strophes.php[05/03/2011 21:51:06] Strophes pour se souvenir - Louis Aragon - Roman Inachevé L'apologue Les registres L'argumentation

en 1955, en mémoire du groupe Manouchian, résistants étrangers fusillés par la Gestapo en 1944. L'annonce de leur condamnation avait été faite par le biais d'une affiche reproduisant leurs photographies, et qui est restée sous le nom de l'Affiche rouge. Le poète tente de raviver le souvenir des résistants. Nous étudierons d’abord l’aspect historique puis la lettre de Manouchian enchâssée dans le poème. I L’aspect historique présent dans ce texte Le poème fut écrit dans un but précis, remémorer

L’affiche rouge Titre de l’étude : repérer le discours argumentatif quel qu’en soit le support à travers 3 oeuvres De l’art pour manipuler, de l’art pour dénoncer Des hommes victimes ou bourreaux pendant la seconde guerre mondiale L'Affiche Rouge, lettre de Manouchian à sa femme, poème d’Aragon Des libérateurs ? La Libération par l'armée du crime Dimensions : Hauteur 123 cm - largeur 82.5 cm Lieu de conservation : Musée de l'Armée (Paris) UNE AFFICHE DE PROPAGANDE : L'AFFICHE ROUGE Introduction

Le chevalier double Qui rend donc la blonde Edwige si triste? que fait-elle assise à l'écart, le menton dans sa main et le coude au genou, plus morne que le désespoir, plus pâle que la statue d'albâtre qui pleure sur un tombeau? Du coin de sa paupière une grosse larme roule sur le duvet de sa joue, une seule, mais qui ne tarit jamais; comme cette goutte d'eau qui suinte des voûtes du rocher et qui à la longue use le granit, cette seule larme, en tombant sans relâche de ses yeux sur son coeur

position que le personnage principal. Il pénètre, arrive dans l'univers du roman, comme Etienne Lantier arrive à Moscou (découverte des lieux et des autres personnages). Exemples d'ouverture : •Une vie (Maupassant). •Mme Bovary (Flaubert). •Le Rouge et le Noir (Stendhal). 2. Le point de vue Plusieurs points de vue sont adoptés. + Recherche du point de vue : Verbes de perception, puis analyse du sujet. On remarque des passages qui apparaissent en point de vue interne, mais à la première

Salée : 10m, St Esprit : 29m. Cependant, au Nord de la montagne du Vauclin (504m) se trouve un prolongement de collines ou « mornes », dont les altitudes varient entre 200 et 300 m. Les points culminants sont le morne Baldara (251m), le morne Acajou (304m), le morne Valentin (266m) et le morne bois soldat (198m). Dans cette partie méridionale, le relief est très morcelé et les paysages variés. Le littoral est ici beaucoup plus découpé que dans la partie nord de l’île. Les anses, les caps, les îlots

contemporain. Vue du narrateur puis d'un passant. Rupture temporel: Analepse car le lieu change. Nom de l'œuvre = Nom du magasin, éponyme. Nous avons des marques du jugement du narrateur: jaunâtre, blanchâtre et des connotation morbide ---> comparaison « morne «   = les éléments du décor sont soumis au jugement du narrateur. Plans: Une description réaliste Précision spatiales Précision temporelles Tournures impersonnelles Description subjective: Décor sinistre L'utilisation

le bus, le cadre spatio-temporel ou bien le camion responsable de l'issue fatale, tous font l'objet d'une description riche en adjectifs, expansions du nom ou subordonnées relatives. Ainsi, nous apprenons que la "dame au tailleur bleu" a "un visage rouge", un "chemisier blanc", des yeux "petits" et "enfoncés dans ses orbites", une description riche en détails et en couleurs qui crée un personnage qui prend corps sous le regard du lecteur. De même, le camion bleu, présenté à travers le rythme binaire

imposante de l'appareil la surprend, ainsi que la forme , " étrange " (l.6) ; de ses récipients, et l'enroulement " sans fin "(l.6) de ses tuyaux. Dés le premier regard , il possède quelque chose d'inquiétant, avec sa couleur de " cuivre rouge " (l.3).. : le rouge est tout particulièrement chez Zola la couleur du sang et de la violence. Le contraste entre la cornue " énorme "(l.5), et le " filet limpide "(l.5), qui en tombe, intrigue. C'est bien une " cuisine du diable " (p. 62) qui s'accomplit dans

Texte 1 -  Victor Hugo (1802-1885), « J'aime l'araignée », Les Contemplations, Livre III, « Les luttes et les rêves », XXVII (1856). J'aime l'araignée et j'aime l'ortie,     Parce qu'on les hait ; Et que rien n'exauce et que tout châtie     Leur morne souhait ; Parce qu'elles sont maudites, chétives,     Noirs êtres rampants ; Parce qu'elles sont les tristes captives     De leur guet-apens ; Parce qu'elles sont prises dans leur œuvre ;     O sort ! fatals nœuds ! Parce que l'ortie est une