Le Miroir Déformant

personnages : « imitent, en les grossissant, nos petitesses et nos ridicules. » (Tassé, 1988) Le public s'identifie donc malgré lui à ces personnages qu'il est facile de juger. Un des auteurs de la pièce décrit même cette dernière comme un: « miroir très déformant dans lequel les gens se reconnaissent. » (Meunier, 1988) Il précise: « Par exemple, les personnages parlent pour parler, disent n'importe quoi pour qu'il n'y ait pas de vide. » (Meunier, 1988) Le deuxième auteur, quant-à-lui, décrit sa pièce

jusqu'à si. L'on peut donc faire se succéder ces douze sons dans l'ordre que l'on veut et l'on ne doit pas répéter deux fois le même son avant d'avoir entendu les onze autres. La série peut ensuite être utilisée par mouvement inverse, puis par miroir, être jouée à partir d'autres hauteurs, puis par fragment, et enfin sous forme d'agrégation ( = superposition de plusieurs sons qui ne sonnent pas forcément bien ensemble). L'œuvre est donc construite à partir d'une série préalablement établie.

est atteinte de la poliomyélite une maladie contagieuse lui déformant un pied (le pied droit). Un des tournants de sa vie eu lieu le 17 septembre 1925, alors qu’elle rentrait de son école, son bus percute un tramway. L’accident étant terriblement brutal, Frida se retrouve transpercée du vagin à l’abdomen par une barre de fer. Cause de son accident Frida doit restée couchée sur son lit, n’ayant jamais peint auparavant elle demande un miroir et se met à peindre des autoportraits. En 1928, elle s'inscrit

qu’elle soit historique, culturelle ou scientifique elle ne pourra jamais rendre compte d’une universalité et d’une intemporalité. Prenons dans un premier temps la vérité en histoire. La reconstruction historique peut-elle être considérée comme le miroir des faits tels qu’ils ont étés réellement? L’Histoire est bien à distinguer du discours sur l’histoire: les évènements sont déterminés par une multitude de circonstances que l’homme ne peut capter qu’en infime partie et qui par conséquent ne peuvent

stratagème joué dans un mouvement tournant entre la victime, le sauveteur et le persécuteur. Il est appliqué sous forme de jeu psychologique souvent inconscient et toujours toxique. 7.8- La reformulation : Reformuler, c'est agir comme un écho ou un miroir : le client peut alors s'entendre dans la voix ou s'apercevoir dans le regard du coach. Mais même si le coach est pleinement et profondément disponible à son client, il ne peut retenir qu'une partie des messages qui s'offrent à lui : volontairement

de la situation a pour conséquence d’aboutir à une „prédiction créatrice“ : „il suffit de croire que la situation soit réelle pour qu’elle le devienne“. De la même manière, au sein des relations ethniques qui sont constituées par „un jeu de miroirs déformants“, la population portoricaine et afro-américaine des quartiers sensibles de East Harlem est défini selon la perception de la population blanche dominante, et elle s’efforcera de jouer le rôle qu’on lui prête. C'est ce qui crée le racisme. Les

langage On l’appelle aussi fonction sémiotique (du grec semeion, signe, et semiosis, désignation). Le psychologue Piaget l’a définie comme la capacité à évoquer un objet ou une personne en son absence. Le psychanalyste Jacques Lacan parle du stade du miroir, ce moment où le petit d’Homme prend conscience de son individualité, parfois avec jubilation. Le langage, insensiblement, va permettre à l’enfant de sortir du tout et tout de suite et lui donner la possibilité de se représenter le monde, sans pour

et une odeur de renfermé a remplacé le doux parfum de sa défunte femme. Tant bien que mal, max se lève et se dirige vers la salle de bain, sa barbe de trois jours manifeste bien son laissé allé, d’ailleurs le regard qu’il se jette à travers le miroir témoigne bien du dégoût qu’il a pour lui-même. Il doit faire vite car il a de la route jusqu’au Ronald Reagan air port de washington. Il se passe la main dans les cheveux pour les coiffer,s’habille, avec un smoking noir et une cravate noir a peine

conscience ? ». Si cette problématique peut sembler paradoxale en suggérant la nécessité de se méfier en quelques sortes de soi-même et de nos pensées, elle permet toutefois de prendre du recul et d’éclairer la nature de la conscience, à la fois en tant que miroir solide réfléchissant les expériences de notre réflexion et de nos actions, ainsi qu’en tant que source d’illusion, ce qui suppose d’interroger les apparences qui nous sont reflétées, susceptibles de nous tromper, ou encore des données dissimulées

transfert. Les origines et le domaine du transfert Ici les auteurs partent de l’universalité de ce phénomène dans toutes relations, au travers, de la tendance de chacun à interpréter son expérience par rapport au passé, des fantasmes inconscients déformant les sentiments et réactions dans sa relation à autrui, de la reproduction d’attitudes du stade de l’enfance, pouvant converger en une névrose de transfert caractérisée. L’acteur ignore la nature répétitive de son acte, ce passé qui altère sa compréhension