Le Miroir Déformant

pourquoi une partie de moi ne partage-t-elle pas ses vérités avec les autres ? La réponse est encore plus simple : ce n’est plus les opinions des autres qu’il faut remettre en cause mais mon propre référentiel : moi. Ce moi qui forge l’égo, est un miroir déformant de la réalité. Entre l’égo et l’être existe une distorsion qui les empêche de n’être qu’un. Qui dirige ce moi ? Qui est le maître à bord ? Si je veux que cette égo soit être, qu’il devienne le lieu d’une vérité partagée, un lieu d’universalité

lumière incarne la flamme de la bougie qui elle incarne la mémoire * La lumière dissimulé et ponctuelle laisse penser a une trace humaine passé * Idée de fantôme / cauchemar * Travail sur l’ombre principalement Anish Kapoor : * Miroir déformant * Ovale qui absorbe la lumière * Pièce fortement éclairé Eliasson : * Création d’un phénomène lumineux reprenant le soleil naturel (phénomène naturel) * Installation monumentale

soumission les uns avec les autres au sein d’un système hiérarchique qui maintien l’ordre et la pérennité de la société. Inscrit dans nos relations quotidiennes avec autrui, il est donc naturel de retrouver ce sujet dans les comédies, miroir plus ou moins déformant de la réalité. Dès l’Antiquité, le théâtre s’attache ainsi à retranscrire la complexité des relations humaines, comme le démontre la comédie du Soldat fanfaron, de Plaute, qui oppose un mercenaire vaniteux, Pyrgopolinice, et sa suite,

scrupules, ambition, égoïsme, spéculation, jalousie, cruauté, déshumanisation. Les personnages semblent des marionnettes esclaves de leurs passions. Les employés se rencontrent dans les toilettes où surgissent les confidences. On a parlé de « miroir déformant et amplifiant » de ce qui se passe dans bien des entreprises… Les Ratés, créée également à Grenoble au théâtre Le Rio en 2000, sort du réalisme de Dancing pour pénétrer dans les contrées oniriques si chères à Pontcharra. Deux jumeaux, Jef et

avec l’art. Ils mettent en jeu la distance qui sépare le souvenir de la vérité. Le rapport entre les images de Cindy Sherman et leur original est comparable au souvenir incomplet d’un tableau face au tableau lui même. Ils témoignent des processus déformant de la mémoire. Nous sommes dans l’espace entre ce que nous percevons et les images souvenir. Le fait qu’elle ait travaillé à partir de reproductions corrobore la thèse de Baudrillard selon laquelle nous vivrions dans un monde de simulacre. Pour se

de chagrin» n’était pas une périphrase renvoyant, de façon cryptée, à un objet tout différent: en 1982, une collaboratrice de la Revue de littérature comparée croyait par exemple pouvoir affirmer que la mystérieuse peau était en réalité... un miroir déformant. Et comment interpréter les jeux de mots auxquels la «peau de chagrin» se prête et qui contribuent à rendre le titre du roman à peu près intraduisible? Le rôle joué par le talisman dans le récit ne semble pas non plus tout à fait clair: Maurice

Les laïcs n’attendent plus leur salut de leurs représentants mais souhaitent le prendre en main : ils n’hésitent plus à organiser des débats, souhaitent participer aux décisions », poursuit Philippe Portier. «La blogosphère catholique est un miroir très déformant» Pour certains, ces débats – parfois vifs – qui agitent l’Église sont donc signes de bonne santé. « On voit bien que le rapport à l’autorité change. Le débat d’opinion ne tombe pas d’en haut : c’est plutôt bon signe », se félicite ainsi Jean-François

classification ou relations dynamiques, il faut prendre la précaution de dire que la frontière qui les sépare n'est pas absolument étanche. Identité / Altérité : Les Fleurs bleues se caractérisent non seulement comme un roman du rêve en miroir (qui rêve de qui, v. quatrième de couverture et Rêve), mais comme un roman du doute identitaire : deux personnages portant un nom différent peuvent se reconnaître ou avoir des troubles qui le font se projeter ou s'aliéner en un autre personnage

99"PROCHAIN EPISODE" ET "MENAUD, MAITRE-DRAVEUR" Le decalque romanesque Robert Major L COMPLEXE et déroutante d'Hubert Aquin a peu d'égales dans notre littérature. Seul Jacques Ferron, sans doute, peut rivaliser avec l'extrême fascination qu'exerce Aquin sur une diversité de lecteurs depuis qu'en 1965, avec son premier roman, il s'est fait connaître d'un plus vaste public que celui de la revue Liberté. Mais contrairement à ce qui se produit chez Ferron, où le talent du conteur et les clins d'oeils

tend vers la déraison[45] ou qu'elle se représente un imaginaire constitué par un réel[46] dans lequel un événement décalé[47] intervient, ceci pour le cadre du fantastique. C'est donc une expérience consciente de l'imaginaire qui devient le miroir déformant du réel[48], elle est une expérience insupportable qui crée un bouleversement mental momentané – de l'ordre, de la norme, de l'entendement – chez l'individu : personnage et/ou lecteur, ceci pour l'aspect du fantastique. Ce bouleversement peut